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#108 : Edward

L'inspecteur de police Joe Cavanaugh demande de l'aide à Will pour résoudre une affaire. Un homme se serait suicidé en se tirant une balle dans la poitrine. Le seul témoin est son fils de 17 ans, Edward, qui est autiste. Cavanaugh montre à Will une série de dessins faits par Edward en quelques secondes au moment du suicide. Tous les dessins représentent un homme à tête bestiale...

 

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Popularité


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Titre VO
Edward

Titre VF
Edward

Première diffusion
21.11.2008

Première diffusion en France
07.04.2009

Vidéos

Will montre les dessins d'Edward à Helen & Ashley

Will montre les dessins d'Edward à Helen & Ashley

  

Helen demande à Edward de dessiner

Helen demande à Edward de dessiner

  

Plus de détails

Ecrit par: Sam Egan
Réalisé par: Brenton Spencer

Dans un salon, une femme regarde son mari inerte, en versant quelques larmes. A l'autre bout de la pièce, il y a un garçon en train de faire un dessin d'une façon spectaculaire, il ne regarde pas ce qu'il fait.

Générique

Will discute avec l'inspecteur Joe Kavanaugh au sujet d'une affaire d'un suicide ou un homicide, un homme se serait suicidé dans la poitrine mais l'inspecteur ne pense pas qu’il se soit un suicide. Ils parlent de son fils qui est atteint d'autisme, Joe lui montre alors ces dessins qu'il fait sans regarder et très bien réussi. Will aimerait le voir.

Will montre les dessins à Helen, et ils pensent que l'enfant ne se sert pas de sa vue comme tout le monde. La mère et l'enfant viennent au Sanctuaire pour un entretien.

Henry est dans sa chambre assit sur son lit, il pense à ce qu'il est, Bigfoot tape à la porte pour son repas, Henry ne répond, Bigfoot pose alors son repas sur une table.

Pendant ce temps-là, Helen et Ashley s’entraînent à tirer. Helen tente de discuter avec Ashley au sujet de son père mais Ashley est fâchée que sa mère ne lui a pas annoncé la nouvelle elle-même.

La veuve discute dans le jardin avec Will et Helen. La femme leur montre un dessin de Edward, l’autiste, on peut y voir son autre fils, Robbie, qui a disparu. La mère raconte la scène où son mari est mort et affirme qu’il s’est suicidé. Will essaie de parler au garçon. La mère et Helen arrive et la mère explique à Edward qu’il va rester au sanctuaire quelques temps.

Helen prend l'ascenseur où elle rejoint Bigfoot, ils parlent d'Henry car Bigfoot s’inquiète. Dans sa chambre, Henry est dans son lit, en train de souffrir pour ne pas se transformer. Calmé, Henry fait des recherches sur ce qui l'est à la bibliothèque quand Helen le rejoints et ils discutent de ce qu'il est arrivé à Henry.

Edward est en train de dessiner quand Will rentre dans la pièce. En voyant ses dessins, Will a une vision sur la course poursuite qu’il avait eue avec le lézard géant. Will lui demande pourquoi il dessine des monstres. Il explique que c’est ce qu’il voit au sanctuaire. Will reparle de la mort de son père mais Edward ne veut plus parler.

Helen essaye de comprendre pourquoi Edward peut dessiner aussi vite, elle lui fait passer un test qui permet de calculer les mouvements des ses yeux pendant qu’il dessine. Les yeux d’Edward agissent un peu comme un scanner. Helen lui a demandé de faire un zoom sur une zone du dessin qu’il a effectué, on peut voir sur le dessin le plus près de la zone demandée un monstre. Helen montre tout cela à Will et Ashley, qui en déduise qu’il voit le vrai visage des gens et que ce monstre est le père d’Edward, Glenn.

Will va voir Edward et essaye de le comprendre. En discutant, Edward revoit la scène où son père est mort. Il explique qu’il a pris le fusil et qu’il a tiré sur son père.

Henry ne veut pas se transformer, Magnus lui explique qu’il existe une opération qui n’est pas sans risque, alors elle lui demande de réfléchir.

Will étudie la scène du crime grâce à des photos, il demande à l’inspecteur de police s’il peut aller sur les lieux. Il y va avec Helen et découvre une trappe dans le salon. Will pense alors que Robbie et Edward y était attaché quand ils étaient punis. Will interroge la mère qui explique que Glenn l’a menacé de tuer leurs enfants si elle le quitte. Will veut en parler à la police mais Helen désapprouve car elle ne veut pas que le sanctuaire soit assimilé à des actions punitives ou à la justice.

Edward prend l’ascenseur et voit un loup qui n’est autre que Henry. Henry décide donc de faire l’opération, il en parle à Helen. Elle est surprise de sa décision mais va tout de même la faire. Ashley essaie de convaincre Henry de ne pas faire cette opération, mais ça ne marche pas.

Helen demande à Edward de dessiner le moment du crime. Dans ce dessin, Will et Helen découvrent que Robbie était sur la scène de crime et ils pensent que Glenn menaçait Robbie. Edward a une crise d’épilepsie et ses yeux brûlent les vêtements de Helen et un lustre.

Edward risque une hémorragie cérébrale et Will s’en veut de s’être énervé contre lui pour avoir des réponses.

Ashley, Helen et Will découvrent que le père lui aussi était porteur du gène qui lance des flammes avec ses yeux. Ils en déduisent alors que peut être que c’est lui-même qui s’enfermer dans la trappe du salon pour protéger sa famille. Edward se réveille, Will s’excuse, et Edward veut dessiner ce qui s’est vraiment passé.

Bigfoot essaie de convaincre Henry de ne pas faire cette opération en lui expliquant qu’il n’a pas honte de ce qu’il est. Henry vit mal ce qu’il est et n’arrive pas à contrôler sa transformation. Bigfoot le rassure en disant qu’il finira par contrôler son pouvoir.

Edward est en train de dessiner des centaines de dessins de ce qu’il s’est passé. Henry scanne les dessins et tous regarde la scène sur ordinateur. Glenn voulait se suicider mais il a été interrompu par l’arrivée de Robbie. Il vient sauver son frère mais Glenn le menace de son arme et lui demande de partir. Robbie prend l’arme, mais Glenn chauffe la charge avec ses yeux ce qui le tue.

Will rejoint l’inspecteur. Kavanaugh explique que toutes les preuves ont disparus et que le coroner a dû restituer le corps de Glenn à un 4x4 bourré d’agents secrets. Joe ne comprend pas ce qu’il se passe, Will est surpris et Joe donne un carton concernant l’affaire sur la disparition de Robbie. Will et Henry fouille le carton. Henry prend un vêtement appartement à Robbie et part à sa recherche et finit par le retrouver dans les catacombes où Robbie a fait plein de dessins.

Henry a décidé de ne plus se faire opérer car son don peut toujours être utile.

 

Fait par Alilly1

PRECEDAMMENT DANS SANCTUARY

WILL:
Pourquoi il ne me l'a pas dit?

BIGFOOT:
Il ne voulait pas que quiconque sache. Et je lui ai promis de ne rien dire.

 

 

DANS LA RUE

KAVANAUGH: Quoi de neuf?

WILL: Hey.

KAVANAUGH: Hey. Je suis probablement le dernier que tu pensais entendre hein?

WILL: Uh, peut être pas le dernier mais pas loin.

KAVANAUGH: Écoute, je sais que tu as démissionné, mais que je sois maudit si tu n'a pas ton nom sur cette affaire.

WILL: Depuis quand tu apprecis mon point de vue sur les scènes de crimes?

KAVANAUGH: A la minute où on est tombé sur cette affaire; un suicide il y a deux nuits dans le quartier de la rivière. Classer par la crime en homicide on doit vérifier si la femme dit la vérité, à savoir que le mari s'est lui-même tirer dans la poitrine.

WILL: La poitrine... les hommes se tirent généralement dans la tête. Ce sont les femmes qui se tirent dans la poitrine.

KAVANAUGH: C'est ce que je me suis dit.

WILL: D'autres raisons de penser que ce n'est pas un suicide?

KAVANAUGH: Eh bien, les analyses sont en cours. Les voisins ont entendus le coup de feu. Pas de signes d'effraction. L'épouse et le fils de 17 ans étaient les seuls présent à l'intérieur. Elle affirme que sont mari vociférai. Le gosse ne dit rien du tout.

WILL: Eh bien, c'est sensé. Il est traumatisé.

KAVANAUGH: Le psy qui t'a remplacé quant tu es parti, Dr. Mehtar, dit que le garçon souffre d'une forme d'autisme très sévère. Une sorte de  syndrome quelque chose.

WILL: Asperger's.

KAVANAUGH: C'est ça. 

WILL: Okay, donc vous avez un ados perturbés et un possible suicide de son père. Pas de quoi m'appeler.

KAVANAUGH: J'ai penser que tu pouvais m'éclairer sur ça.

WILL: Le gosse à dessiner ça?

KAVANAUGH: Ouais. Il était en train de dessiner ça quand le coup est parti, d'après la mère. Il a dessiner ceux là en moins d'une minute. Et ils les as dessiner sans regarder.

WILL:Wow. Il est plutôt douer.

KAVANAUGH:  Ouais. Là, regarde le reste. Regarde ça. Alors, qu'est-ce que tu en pense? 

WILL: Ce gamin est intérieurement perturbé.

KAVANAUGH: Il dessine ce qu'il voit. Je déconne. Je déconne... écoute, je pensais juste que tu étais le genre de gars à aimer ce genre de truc bizarre...

WILL: Ouais, c'est brillant. Je veux dire, c'est troublant, mais brillant.

KAVANAUGH: On en a trouver des centaines rouler dans du papier de boucher, dans un placard. 

WILL:Quand pourrais-je lui parler?

KAVANAUGH:J'ai déjà contacter un ami qui est juge pour que tu puisse l'évaluer psychologiquement. Ah? Juste une chose... Tu n'as que 48 heures.

 

 

AU SANCTUAIRE

WILL:Ce sont manifestement ses propres démons, il donne vie à ses cauchemars.

HELEN:Ça me rappelle Hieronymus Bosch. Ses peintures représentaient des anormaux.
WILL:C'était un ami à vous; un amour d'adolescent ou un truc comme ça?

HELEN:C'est un peu "avant mon époque."

WILL:Vraiment?

HELEN:Petit chenapan.

WILL:Okay, regardez ça. Celui ci me semble particulièrement intéressant.

ASHLEY:Oh, c'est le sanctuaire.

WILL:Ouais.

HELEN:Ses talents de dessinateur sont étrange; aussi fidèle qu'une photo.

ASHLEY:Ouais, il a du utiliser l'imagerie par ordinateur pour ça.

WILL: Kavanaugh m'a dit que le garçon était scolarisé chez lui, et apparemment, le père ne lui autorisait pas l'accès à l'ordinateur.

ASHLEY:Okay, il a copié un photo, alors.

WILL:Eh bien, la mère dit qu'il n'a pris l'avion qu'une seule fois dans sa vie pour survoler la vieille ville.

HELEN:Il y a dix ans.

WILL:Oui, exactement. Comment avez vous su?

HELEN:C'est quand on a fait les travaux de rénovations sur la tour nord.

ASHLEY:Okay, le fait de travailler sans modèle, ça marche comment?

HELEN:Eh bien, si c'est la vérité, alors ce garçon dépasse le niveau de la simple vision.

WILL:Il n'y a aucun doute c'est un génie.

HELEN:Il est peut -être même plus que ça.

WILL:La police est pourtant plus intéressé par la mort du père que par la potentialité que le garçon soit un anormal.

HELEN:Compréhensible.

WILL:J'ai un accès temporaire au dossier. Et donc aux rapports d'expertise.

HELEN:Et à propos de la famille?

WILL:Kavanaugh s'est arranger pour que le garçon et sa mère nous rende visite, et j'espérais que vous auriez du temps pour être là?

HELEN:Je n'y manquerais pas.

WILL:Okay, cool.

 

DEVANT LA CHAMBRE D'HENRY

BIG FOOT:Henry... nourriture. Henry?

 

SALLE DE TIR

ASHLEY:C'est mon père n'est-ce pas?

HELEN:Depuis que tu es dans une poussette on te surnomme la briseuse de cœur.

ASHLEY:Il s'agissait de vieux type jouant aux échecs dans le parc.

HELEN:Tu n'a rien dit en rentrant de Rome. En fait, Tu ne ma pas parler depuis qu'on est revenus.

ASHLEY:Qu'est-ce qu'il y a à dire?

HELEN:Peut-être que tu est en colère? Que tu te sens trahie...

ASHLEY:Ne me fais pas dire ça.

HELEN:J'essaye de te faire parler.

ASHLEY:Maman, je comprend ce qui tes raisons. Il n'y avait pas de bons choix. Je ne t'en veut pas.

HELEN:Je comprendrai si c'était le cas.

ASHLEY:Okay, eh bien, tu t'inquiète de mes sentiments, c'est ça?

HELEN:Je te met en dangers à chaque seconde qui passe, mais la vérité, Ashley, c'est que je ne supporte pas te voir souffrir.

ASHLEY:Ce n'est pas de l'apprendre qui m'a blessée. C'est que ça ne venait pas de toi.

 

 

LA MAISON DES MEYERS

HELEN:Nos condoléances pour votre maris, Mrs. Meyers.

MRS. MEYERS:Merci. Mon fils va arriver. Il a trouver quelque chose à dessiner dans le jardin. Il n'est pas encore près à parler à des étrangers. Vous avez dû comprendre que Edward, est... est un garçon très, um... très spécial.

HELEN:On a vu son art. On comprend a quel point il est spécial.

MRS. MEYERS: Il l'est depuis qu'il a un crayon dans les mains. Il n'a pas toujours dessiner des sujets si sombre. Il a dessiner ça, Robbie et moi quand il avait seulement 8 ans.

HELEN: Robbie est votre autre fils?

MRS MEYERS: Oui. Il s'est enfui quand il avait 14 ans.

HELEN: Je suis désoler.

WILL: Le dossier dit que Robbie à eu des problèmes pour avoir mis le feu?

MRS MEYERS: Oh, non, non, il avait arrêter tout ça, mais Glen, il-il... l'a mis dehors.

WILL: Votre mari as t'il... abuser de vous et de vos enfants?

MRS MEYERS: Mon... mari était un homme bon. Il... Il avait ses problèmes, mais il nous aimais.

WILL: Éprouver des sentiments et infliger de la peine ne sont pas incompatible

MRS MEYERS: Quand vous êtes une mère, protéger vos enfants est tout ce qui compte.

WILL: Pouvez vous nous dire ce qui s'est passer la nuit où Glen est mort?

MRS MEYERS: Les cris m'ont réveiller.

GLEN: Tu crois que je ne t'ai pas vu? Te foutant de moi? Hey, tu me regarde quand je te parle!

MRS MEYERS: Il était saoul.

GLEN: J'ai dit regarde moi! Regarde moi! Regarde moi!

EDWARD: Je suis désoler.

MRS MEYERS: Arrête. Arrête... pose cette arme. J'avais peur que le fusil tombe accidentellement, et puis... il a retourner l'arme contre lui. J'ai appeler le 911, mais il était trop tard. Je réalise maintenant que... Glen n'aurais jamais fait de mal à Edward, ou personne d'autre. Ce n'était pas la première fois qu'il essayait de suicider. C'était...

WILL: … juste pour que vous le sachiez, l'évaluation d'Edward pourrait prendre plusieurs séances.

MRS MEYERS: Mais... Je ne sais pas quoi faire. Je dois m'occuper des funérailles, et Edward est... tellement effrayé de dormir dans sa chambre avec tout ce qui s'est passer...

HELEN: Vous pouvez nous le confier.

MRS MEYERS: Oh. Je... Je...

 

AU SANCTUAIRE

WILL: Comment ça va? Je m'appelle Will. Je trouve que tes dessins sont géniaux. J'ai toujours admirer les gens qui savait dessiner. Moi même je n'ai jamais réussi a dessiner.

MRS MEYERS: Edward? Dr. Magnus et Dr. Zimmerman, um... vont s'occuper de toi pendant quelques jours. Non, non, non. J'ai juste besoin d'un peu de temps pour faire tout ce que je dois faire. Edward... ça va. Ça va, ça va... ça va. Viens là. Ça va aller.

 

DANS L‘ASCENSEUR

HELEN: Du nouveau avec Henry?

BIG FOOT: Il ne veut toujours pas sortir de sa chambre.

HELEN: Ça a dû être le plus dur des réveils.

BIG FOOT: Je suis inquiet qu'il puisse continu à s'enfoncer.

HELEN: On peut lui offrir tout notre soutien, mais seul Henry peut resussir à surmonter ce qu'il traverse.

 

A LA BIBLIOTHEQUE

HELEN: Contente de te voir, Henry.

HENRY: Je sais que j'ai été peu présent. J'en suis désoler.

HELEN: Je comprend très bien.

HENRY: Ce n'est pas comme si vous ne m'aviez pas prévenu.

HELEN: Ce n'est pas plus facile pour autant n'est-ce pas?

HENRY: J'ai fait quelques recherches que j'aurais dû faire il y a longtemps sur mon... "côté sombre". Je n'ai jamais voulu savoir tout ça. Je pensais qu'en l'ignorant ça partirais. Vous savez, un peu comme quand on a une maladie et qu'on fait tout pour le nier.

HELEN: Ce n'est pas une maladie, Henry.

HENRY: Je ne peut pas dormir, mon odorat est incontrôlable. La nourriture à un goût horrible.

HELEN: On doit comprendre ce phénomène.

HENRY: Vous n'étiez pas là. Vous n'étiez pas là, et vous ne l'avez pas vu!

HELEN: S'il t'arrivait quelque chose, je ne me le pardonnerais jamais...

HENRY: Eh bien, il m'est arriver quelque chose, et je ne peut pas le contrôler.

HELEN: Pas encore non, mais..

HENRY: Écoutez Doc, j'ai passé ma toute ma vie à travailler avec les anormaux, apprendre à les accepter, même les apprécier, mais maintenant j'en suis un... et ça me terrifie.

HELEN: Je me suis souvent demander ce qu'il te serait arriver si je t'avais laisser dans les Moors... pour être élever pas ceux de ton espèce.

HENRY: Au moins, être humain ne m'aurait pas manquer.

HELEN: Oh, Henry...

 

AU SANCTUAIRE

EDWARD: Oui.

WILL: J'ai vu que ta lumière était allumé. Je te dérange? Je peut entrer? D'où est-ce qu'elle vienne? Ces créatures?

EDWARD: D'ici.

WILL: Ça t'aide de les dessiner? Ça les rend moins effrayantes? Il y avait aussi des dessin de Robbie; ton frère. Il doit beaucoup te manquer. Quand tu as dessiner ça cette nuit là, du monstre tenant le fusil? As tu vu ce qui s'est passer? Comment ton père est mort?

EDWARD: Je ne peut pas réfléchir.

WILL: Okay. On pourra en reparler quand tu seras moins fatigué. Bonne nuit

EDWARD: Mm... huhh.

 

AU SANCTUAIRE

HELEN: Ne t'inquiète pas, Edward, cette machine mesure le mouvement de tes yeux quand tu dessine.

EDWARD: Qu'est-ce que vous voulez que je dessine?

HELEN: N'importe quoi de mémoire; Tu as une suggestion?

EDWARD: Ce n'est pas important.

HELEN: Très bien, um... as tu déjà été à Chinatown?

 

AU SANCTUAIRE

HELEN:  La plupart des gens concentre leur vision d'une zone d'intérêt à une autre. Quand on se souvient, on extrapole, on remplit les blanc.

WILL: C'est pourquoi les dépositions des témoins oculaire sont si peu fiable.

HELEN: Exactement, son appareil visuel, à l'inverse, agit plus comme un scanner; effectuant de rapides mouvements et les archivant.

ASHLEY:Donc c'est vraiment un ordinateur vivant.

HELEN:Cette représentation lui a pris moins d'une minute.

WILL: Wow. Les détails sont extraordinaire.

HELEN: A mon sens, voici ce qui est extraordinaire. J'ai demander à Edward de se concentrer sur une partie de la scène, cette zone là, et puis, un zoom sur le zoom... dans ce cas, un visage juste visible dans l'ombre, devient ceci.

ASHLEY: Okay, Je ne suis pas sûre d'avoir compris. Edward jour à "Où est Charlie" avec les anormaux?

WILL: Sachant qu'il n'y a pas d'anormal devant la porte.

HELEN: Peut être qu'il voit le monstre qui sommeille.

WILL: Donc, qu'est-ce que vous dites? Il détecte l'anormal à l'intérieur de nous?

HELEN: Ou simplement la vraie personnalité des gens blessé.

ASHLEY: Donc un père abusif devient un monstre.

HELEN: Exactement.

 

AU SANCTUAIRE

WILL: Hey. Tu n'est pas obliger de l'éteindre.

EDWARD: Je l'ai vu.

WILL: C'est de là que certains viennent; les monstres?

EDWARD: Je dessine ce que je voie.

WILL: Tu sais, je les vois aussi.

EDWARD: Vraiment?

WILL: En fait, on a beaucoup de choses en commun toi et moi.

EDWARD: Hmm.

WILL: Les détails me saute aux yeux, des choses invisibles pour les autres. Comme maintenant, je peut voir que tu as peur de me dire ce que tu sais. Ce dessin de l'autre nuit... La créature,...c'était ton père.

EDWARD: Il... il n'était pas toujours comme ça. Il pouvait être gentil.

WILL: Il n'était pas gentil cette nuit là. Il a pointer une arme sur toi.

EDWARD: Pour me faire peur;il ne m'aurais jamais fait de mal.

WILL: Tu le vois.

EDWARD: Vous ne savez pas ce que je vois.

WILL: Bien sur que non. Tes pensées sont à toi. Les miennes sont à moi. Toi seul peut décider de les partager. Comment est-il mort, Edward? C'était Robbie?

EDWARD: Non.

WILL: Il est revenu?

EDWARD: Non.

WILL: Alors pourquoi tu pense à lui...

EDWARD: Vous avez dit que c'était mes pensées.

WILL: Comment ton père est mort? C'est Robbie qui as tirer sur lui?

GLEN: Hey! Tu me regarde quand je te parle! J'ai dit regarde moi!

EDWARD: Je... Je pensais que j'allais mourir. J'ai ramasser le fusil. Je ne voulait pas le tuer.

 

LABO DU SANCTUAIRE

HELEN: On a pu constater que ton corps a entamé une nouvelle phase de métamorphose. Tout ce qu'on sait à propos de ces protéines, c'est qu'elles évoluent sans cesse. Il peut y avoir des pouvoirs ou des capacités que tu as acquis et qu'on ne peut pas sonder. Imagine une chenille arrêter sa transformation juste avant de devenir un papillon.

HENRY: Vous pensez vraiment qu'un papillon aurait pu terasser ce serpent? Ecoutez, je ne peut pas compter sur moi-même quand je suis cette chose. Et si je blesse quelqu'un? Je ne peut pas laisser ça arriver. Donc soit vous m'enchainer à la cage soit vous me dites comment je peut arrêter ça. J'ai besoin de savoir quelles options j'ai.

HELEN: Il y a une opération, mais ce n'est pas sans risques. Il faut exciser en partie les glandes pituitaires et pinéale.

HENRY: Si je reste humain, alors ça me va

HELEN: Je veut que tu y réfléchisse bien, Henry.

HENRY: Okay… C'est fait.

HELEN: Ça peut avoir un impact sur qui tu est, comment tu pense.

HENRY: Quoi, c'est une sorte de lobotomie ou un truc comme ça?

HELEN: Non, certainement pas, mais est-ce que ça peut émousser ton intelligence? Altérer ta personnalité? On ne peut pas savoir. Promet moi que tu va y réfléchir.

 

AU SANCTUAIRE

WILL: Plus je regarde ce qu'on a, moins je c rois aux versions de Ruth et d'Edward.

HELEN: Tu penses qu'ils couvrent Robbie?

WILL: Attendez. Hey.

KAVANAUGH: Hey, bon boulot. La tache sur sa robe correspond bien au lubrifiant de l'arme. Elle l'a clairement essuyée. C'est un petit peu léger pour la retenir.

WILL: Écoute, attend un peu, okay? J'ai juste besoin d'un plus de temps.

KAVANAUGH: Allez, dis moi.

WILL: J'ai vu des trucs sur les photos de la scène de crime que j'aimerais voir sur place.

KAVANAUGH: Ooh, Je pensais qu'on devait mener cette enquête discrètement.

WILL: Hey, c'est toi qui est venu me chercher, tu te souviens?

KAVANAUGH: Très bien. Oh, et sache que Ms. Meyers à essayer de récupérer le corps de son maris. Une crémation rapide était prévue.

WILL: Le légiste à refuser j'espère?

KAVANAUGH: Ben sur, mais ça ne vas pas aider niveau confiance.

WILL: Il y a quelque chose qui ne vas pas. C'est pourquoi j'ai besoin de voir l'appartement.

KAVANAUGH: J'appellerais l'épouse, pour lui dire que tu viens.

WILL: Okay, merci.

 

RESIDENCE DES MEYERS

MRS MEYERS: S'il vous plait...

EDWARD: S'il te plait! S'il te plait! Papa? Papa! Laisse moi sortir!

MRS MEYERS: Oh, mon dieu... oh, mon dieu. Oh...

HELEN: Qui enfermiez vous ici?

MRS MEYERS: Ce n'est pas ce que vous pensez.

WILL: Et pour Robbie? Il le subissait n'est-ce pas? Comment Glen appelait-il ça? Discipline?

HELEN: D'après mon expérience, c'est souvent un signe de cruauté.

WILL: Il vous menaçait n'est-ce pas?

MRS MEYERS: Il... Il disais qu'il allait prendre les garçons, Robbie et Edward, si j'essayais de le quitter.

WILL: Le dossier dit que vous avez signalé la disparition de Robbie seulement 5 jours après.

MRS MEYERS: Glen disait de ne pas appeler la police, au cas où Robbie reviendrait.

WILL: Vous comprendrez qu'il est important que je note le moindre détail.

MRS MEYERS: Mais vous... oh, s'il vo... oh...

 

 

AU SANCTUAIRE

HELEN: Will, J'étais un peu mal à l'aise quand vous parliez du Sanctuaire comme d'une force se police.

WILL: Je devais la pousser à me dire ce qu'elle cachait.

HELEN: Découvrir qui as tué cet homme et pourquoi pourrait amener une mine d'information sur les anormaux. Mais ne faite pas d'erreur, je ne couvrirais pas d'injustice.

WILL: Qu'est-ce que vous voulez dire? Qu'il fait cacher des preuves à la police?

HELEN: Si c'est dans le but de préserver une vie extraordinaire comme celle d'Edward ou de sa mère qui essaye de protéger ses fils? Vous devez savoir que je le ferais.

WILL: Alors l'un de nous va se sentir mal à l'aise. Dans tous les cas, c'est à nous de déterminer ce qui est vraiment arriver, et ça signifie trouver Robbie

HELEN: J'y ai penser, Edward a un souvenir très précis de la mort de son père.

WILL: Il dit qu'il ne se rappelle pas de ce qui c'est passer.

HELEN: Il a reussi à se rappeler une image de cette nuit là.

WILL: Son père pointant l'arme.

HELEN: Je vous ai déjà parler de l'interpolation de données pour compléter nos souvenirs.

WILL: Ouai.

HELEN: Si ont peut obtenir d'Edward les moments clés du drame Henry pourrait programmer l'ordinateur pour qu'il complète les trous.

WILL: Donc on aurait un film du meurtre?

HELEN: Plutôt sa reconstruction d'après les souvenirs personnel d'Edward.

WILL: Huh. Il y a juste un problème. Edward ne veut pas se rappeler.

HELEN: Faisons le venir ici; il n'y a pas de mal à essayer.

 

 

DANS L‘ASCENSEUR

EDWARD:Ah...

 

 

BUREAU D'HELEN

HENRY: J'ai pris ma décision. J'ai vu comment ce gosse me regardais, et si il peut le voir, ça risque de se manifester encore. Je veut que cette chose s'en aille.

HELEN: Mal grès les risques dont on a parler?

HENRY: Ça serait préférable.

HELEN: Très bien; Je prévois l'opération.

 

LABORATOIRE D'HENRY

ASHLEY: Henry... Je pense à ce que tu as l'intention de faire et ça me fait peur.

HENRY: Eh bien, tu verrai ce qu'il y a à l'intérieur de moi, ça te ferait encore plus peur.
 
ASHLEY:  C'est juste que je ne veut pas perdre le Henry que je connais.

HENRY: Écoute, je ne suis pas trop emballer non plus, Ash, mais quoi que je fasse, je serais diffèrent.

ASHLEY: Oui, mais être un anormal n'est peut être pas aussi mauvais que tu le pense.

HENRY: Allez, Ashley, tu ne parle pas à un amateur là. On a tout les deux vu de près le mauvais côté de l'anormalité.

ASHLEY: On a aussi vu son bon côté. Sa beauté.

 

 

AU SANCTUAIRE

HELEN: Tu nous as dit que ton père avait pointer une arme sur toi, puis tu lui as pris, et a tirer sur lui. Tu peut nous montrer ça?

EDWARD: Mmm...

HELEN: Edward, c'est une main droite. Pourquoi elle est sur le côté gauche de l'image?

EDWARD: Hmm...

WILL: Ce n'est pas ta main, n'est-ce pas, Edward? Cette main droite à une cicatrice dessus. La tienne non. Je suppose que c'est Robbie.

EDWARD: Non!

HELEN: Tout vas bien, Edward. C'est Robbie que ton père menaçait?

WILL: Ta mère et ton père ont fait plusieurs description de Robbie quand il a disparus; cette cicatrice était une des marques distinctive.

HELEN: Si c'était lui qui occupait la petit pièce dans le plancher, il avait assez de raison de vouloir se venger...

EDWARD: Je vous ai dit que c'était moi!

WILL: Actuellement, ils sont à ça d'inculper ta mère pour falsification de preuves, et ça pourrait vite devenir un meurtre, a moins qu'on puisse...

HELEN: Edward! Edward...

WILL: Ça va. Robbie?

HELEN: Aahh! Edward, Edward...

WILL: Vous le tenez?

HELEN: Oui.

 

AU SANCTUAIRE

ASHLEY: Comment va-t-il?

HELEN: Toujours sous surveillance. Il a eu une crise d'épilepsie. Il reste la menace d'une hémorragie sous-arachnoïdienne.

WILL: Je suis désoler. Si je ne l'avais pas autant pousser, ca ne serait pas arriver.

HELEN: Aucun problème neurologique n'est apparu, mais dorénavant, on doit agir avec précaution.

WILL: Qu'est-ce qu'on a vu?

HELEN: Le côté sombre de son pouvoir.

WILL: C'est comme si ses yeux tirais des rayons de feu.

HELEN: Ça expliquerait les marques sur les murs de la chambre.

WILL: Et les marques sur Ruth?

HELEN: Je ne peut pas imaginer Edward lui infliger ça, du moins pas intentionnellement.

ASHLEY: Et si c'était le maris?

HELEN: Ce n'est peut-être pas des marques de cigarettes du tout. Le dossier medical dit que le père souffrait aussi de crise comme celle ci.

WILL: Si le père était un anormal, il l'a probablement transmis à Edward.

ASHLEY: L'anormalité du père était le pouvoir des yeux brulants.

WILL: Hey, Et s'il pouvait sentir le moment arriver?

HELEN: Et s'enfermer lui même pour protéger ceux qu'il aimait, oui. Glen Meyers avait peut être construit cette chambre pour lui même.

 

 

AU SANCTUAIRE

WILL: Tout va bien, tout va bien, tout va bien. Écoute, je sais que je t'ai pousser dans des recoins de ton cerveau que tu n'était pas prêt à aller, et je suis désoler si...

EDWARD: Vous n'avez pas... à vous excuser.

WILL: Je peut t'amener quelque chose?

EDWARD: Mon carnet à croquis.

WILL: Je ne pense pas que ce soir une bonne idée.

EDWARD: Ma mère n'a pas fait ça. Je peut leur le montrer.

 

 

CHAMBRE D'HENRY

HENRY: Donc apparemment, tu n'est pas d'accord avec ma décision.

BIG FOOT: Je ne porte pas de jugement.

HENRY: Que ferais tu?

BIG FOOT: Je ne suis pas celui qui essaye de supprimer sa nature d'anormal.

HENRY: Mais si tu le pouvais.

BIG FOOT: Renier qui je suis? Pourquoi? Je n'ai pas honte.

HENRY: Eh bien, je ne dis pas que tu aurais dû, mais...

BIG FOOT: Mais quoi?

HENRY: J'ai vecu toute ma vie plus ou moins humain.

BIG FOOT: Tu n'avais pas encore découvert ton don.

HENRY: Tu pense que me transformer en ce pseudo-humain est un don? Okay, ce truc entre mes dents? C'est mon pied. Je...

BIG FOOT: Tu ne voit que le mauvais côté. Chaque don en a un.

HENRY: Quel est le tien?

BIG FOOT: Mm... maintenant... tu es sur ce chemin avec moi. C'est quelque chose que tu découvrira.

HENRY: La différence entre toi et moi, c'est que tu peut contrôler ton pouvoir.

BIG FOOT: Oui. Et avec le temps, toi aussi. Au travail.

 

 

AU SANCTUAIRE

WILL: Si tu ressens la moindre gêne ou si tu veut arrêter, dis le moi, okay?

HENRY: Je pense que je suis prêt à y aller chef.

HELEN: Comprenez que l'ordinateur essaie de respecter les lois de la physique et de la psychologie quand il complète les blancs. Ce n'est pas infaillible.

ROBBIE: Edward... Edward...

EDWARD: Ce n'est pas sûr. Ce n'est pas sûr dehors.

ROBBIE: Non, ça c'est ce qu'il veut que tu crois, mais...

GLEN: Éloigne toi de lui, Robbie. Tu ne l'emmènera pas! Il n'y a rien dehors à part la honte et la haine. Je le sais. Je l'ai vue!

ROBBIE: C'est différent pour Ed et moi! Il mérite une vie!

GLEN: Fous le camp d'ici, Robbie! Je n'ai jamais voulu que tu ressente la douleur que j'ai ressentie. Je suis tellement, tellement désoler!

ROBBIE: Papa... Papa! Papa, s'il te plait, arrête!

ASHLEY: Yeah, On ne voit toujours pas quels doigt est sur la gâchette. Le corps de Robbie le cache.

HELEN: Attendez. Là. Toute la scène est reflétée dans le miroir.

GLEN: Lâche le!

ROBBIE: Lâche le fusil Papa! Arrête! Arrête! Ah!

HELEN: Robbie lâche le fusil et...

ROBBIE: Recule. Papa... Lâche le fusil! Arrête, s'il te plait! Papa!

WILL:Le père n'a pas eu à presser la détente. Il a allumé la charge directement avec ses yeux.

 

 

DANS LA RUE

KAVANAUGH: Hey, attention à la voiture.

DRUNK: Toi fais attention!

WILL: Tu as les documents?

KAVANAUGH: Personne disparues, Robbie Meyers. Non résolu. Tout est là.

WILL: Écoute, je sais que tu veut des réponses...

KAVANAUGH: Ouais, parlons en.

WILL: Quel est le problème?

KAVANAUGH: L'affaire, notre affaire, est close, effacée, disparue; tout…le fichier, le labo, la balistique, tout. Le légiste a dû restituer le corps du maris à convoi de 4x4 noirs.

WILL: Envoyés par qui?

KAVANAUGH: Ce qui se passe ici est bien au-dessus de mon niveau. Quelqu'un, quelqu'un de puissant, trouve la famille d'Edward très, très importante. Quoi, trop parano?


WILL: Bienvenu dans mon monde.

 

 

AU SANCTUAIRE

WILL: D'après ce qu'on sait, Robbie pourrait s'en vouloir de la mort de son père. On doit essayer de le retrouver. Il doit se cacher par peur.

HENRY: Tu sais, Je le comprend.

WILL: Magnus a dit que tu euh... allait te faire opérer.

HENRY: Ouais. Écoute, si je commence à avoir de la poitrine, je compte sur toi pour me prévenir.

WILL: Qui sait, ça pourrait t'aller.

HENRY: Hey, ça appartient au garçon? Robbie?

WILL: Ouais, je crois. Pourquoi?

HENRY: Je me demandais juste.

 

 

AU SANCTUAIRE

HELEN: Votre mère devrais être là d'ici deux heures.

EDWARD: Et pour Robbie?

HELEN: On fait tout ce qu'on peut pour le trouver.

WILL: Pourquoi tu avais si peur de nous dire ce que tu as fini par nous montrer?

EDWARD: Maman a toujours dit que ça serait notre fin si le monde savait pour lui.

HELEN: Tu n'a plus à craindre ça maintenant. Hello?

HENRY: Dr. Magnus, c'est Henry.

HELEN: Où est tu?

HENRY: Je suis très proche de Robbie Meyers.

 

 

DANS LES TUNNELS

HELEN: Henry dit que Robbie a vécu ici pendant tout ce temps.

EDWARD: Robbie!

HENRY: Je t'avais dit qu'il allait venir hein?

ROBBIE: Tu m'a tellement manqué.

EDWARD: Tout va bien. On peut rentrer à la maison maintenant. Maman nous attend.

HELEN: Will...

EDWARD: C'est de toi?

 

 

CHAMBRE D'HENRY

HENRY: Entrez.

HELEN: Tu n'a pas oublier pour aujourd'hui n'est-ce pas?

HENRY: Oh, je n'ai pas oublier. J'ai en quelque sorte changer d'avis.

HELEN: Tu ne veut plus te faire opérer?

HENRY: Non. Non, je ne veut plus.

HELEN: Je peut te demander pourquoi?

HENRY: Je ne suis pas sûr qu'il y ait une raison particulière. J'ai penser à Edward, Robbie, ce que je pourrais faire si je laissais une chance aux pouvoirs. Je crois que j'ai penser à des papillons. Wow, je ne peut pas croire que j'ai dit ça.

HELEN: Moi non plus. Ça ne te ressemble pas.

HENRY: Je crois qu'on peut dire que je suis un autre homme.

 

 Fait par ginger49

PREVIOUSLY ON SANCTUARY

Will: Why didn't he just tell me he was changing?

Bigfoot: He didn't want anyone to know. And I promised him no one would.

 

 

STREET

KAVANAUGH: What's up?

WILL: Hey.

KAVANAUGH: Hey. So, I'm probably the last guy you expected to hear from, huh?

WILL: Uh, not the last, but definitely down there.

KAVANAUGH: Look, I know you quit the force and everything, but damned if this one doesn't have your name written all over it.

WILL: Since when did you start appreciating my take on crime scenes?

KAVANAUGH: The minute we rolled away from this one; a suicide two nights ago in the river district. Referred to homicide so we could vet the wife's claim that her husband shot himself in the chest.

WILL: The chest... men tend to shoot themselves in the head. Women usually favor the chest.

KAVANAUGH: So I'm told.

WILL: Any other reason to think this isn't a suicide?

KAVANAUGH: Well, crime lab's still processing. Neighbors heard shouting. No sign of break-in. The wife and 17-year-old son are the only ones that were inside. She's claiming the husband snapped. Kid's not saying anything at all.

WILL: Well, that makes sense. He's traumatized.

KAVANAUGH: The shrink that took over when you left, Dr. Mehtar, he's calling the boy a high-functioning autistic. Some kind of syndrome or something.

WILL: Asperger's.

KAVANAUGH: That's the one.

WILL: Okay, so you've got a troubled teen and the possible suicide of his father. Not getting why you called me.

KAVANAUGH: I thought maybe you could make some sense of this.

WILL: The kid draw this?

KAVANAUGH: Yup. He was drawing it when the shooting happened, according to the mother anyway. Does these in less than a minute, I'm told. And he draws them without looking.

WILL: Wow. That's quite the savant.

KAVANAUGH: Yeah. Here, check out the rest. Look at that. So, what does that tell you, huh?

WILL: This kid's insides are twisted in knots.

KAVANAUGH: He draws these from life. That's a joke. That's just a joke... look, I just figured you were the guy who loves all these oddball cases, so...

WILL: Yeah, these are brilliant. I mean, they're disturbing, but they're brilliant.

KAVANAUGH: Yeah, we found hundreds more of them rolled up on butcher paper in the closet.

WILL: When can I talk to him?

KAVANAUGH: I already got a friendly Judge to steer you the psych evaluation. Ah? One catch... you've only got 48 hours.

 

 

SANCTUARY

WILL: So these are obviously his demons, nightmares brought to life.

HELEN: I'm reminded of Hieronymus Bosch. His paintings were rife with abnormals.
WILL: Was Bosch a friend of yours; high school sweetheart or something?

HELEN: There is such a thing as "before my time."

WILL: Really?

HELEN: Cheeky monkey.

WILL: Okay, check this out. Here's one I found particularly interesting.

ASHLEY: Oh, it's the sanctuary.

WILL: Yeah.

HELEN: His draftsman ship is uncanny; photographic in its fidelity.

ASHLEY: Yeah, he must have used computer imaging for this.

WILL: Kavanaugh said the boy was home-schooled, and apparently, the father wouldn't allow him access to the computer.

ASHLEY: Okay, so he copied a photo, then.

WILL: Well, the mother said he flew over Old City once on the only airplane trip he ever took in his life.

HELEN: Ten years ago.

WILL: Yeah, exactly ten. How did you know?

HELEN: That's when we did the renovation work on the North Tower.

ASHLEY: Okay, but the part about not needing to see the page, how does that work?

HELEN: Well, if the anecdotal evidence is true, then the boy must bypass the role of ordinary sight.

WILL: There's not much doubt about his being a savant.

HELEN: He may well be more than that.

WILL: Now, the police are obviously more interested in how the father died than in the boy's potential abnormality.

HELEN: Understandably.

WILL: I've been given a temporary pipeline to the case file. We can get their forensics in real time.

HELEN: What about the family?

WILL: Kavanaugh's made arrangements for the boy and his mother to visit us here, and I was hoping maybe you'd have time to be part of that?

HELEN: Wouldn't miss it.

WILL: Okay, cool.

 

 

SANCTUARY HALLWAY OUTSIDE HENRY’S ROOM

BIG FOOT: Henry... food. Henry?

 

 

SANCTUARY SHOOTING RANGE

ASHLEY: He's my father, isn't he?

HELEN: They always did call you a "heartbreaker" from the time I had you in a stroller.

ASHLEY: Come on, those were old geezers playing checkers in the park.

HELEN: You didn't say anything on the flight back from Rome. In fact, you haven't spoken to me since we got back.

ASHLEY: Yeah, well, what's there to say?

HELEN: Maybe that you're angry? Feeling betrayed...

ASHLEY: Don't put words in my mouth.

HELEN: I'm trying to get words out of you.

ASHLEY: Mom, I understand what your motives were. There were no good choices. I don't fault you.

HELEN: I wouldn't blame you if you did.

ASHLEY: Okay, well, you were worried about my feelings, right?

HELEN: I put you in harm's way with every swing of the pendulum, but the truth is, Ashley, I can't bear to see you hurt.

ASHLEY: What really hurt wasn't the news. It was that it didn't come from you.

 

 

SANCTUARY GARDEN PATIO

HELEN: Our sympathies for your loss, Mrs. Meyers.

MRS. MEYERS: Thank you. My son will be along. He found something to draw in the garden. He's not quite ready to talk to strangers. You have to understand Edward, he's... he's a very, um... special boy.

HELEN: We've seen his art. We understand how special he is.

MRS. MEYERS: He's done that since he first picked up a crayon. His subjects haven't always been so dark. He drew this of Robbie and me when he was only eight.

HELEN: Robbie's your other son?

MRS MEYERS: Yeah. He ran away when he was 14.

HELEN: I'm sorry.

WILL: The file said that Robbie got into trouble for starting fires?

MRS MEYERS: Oh, no, no, he'd stopped all that, but Glen, he-he... drove him away.

WILL: Was your husband... abusive to all of you?

MRS MEYERS: My... husband was a good man. He-he had his problems, but he loved us.

WILL: Feeling love and inflicting pain aren't mutually exclusive.

MRS MEYERS: When you're a mother, protecting your children, that's all that matters.

WILL: Can you tell us what happened the night that Glen died?

MRS MEYERS: I woke up to the shouting.

GLEN: You don't think I see it, huh? Laughing at your old man? Hey, you look at me when I talk to you!

MRS MEYERS: He'd been drinking.

GLEN: I said look at me! Look at me! Look at me!

EDWARD: I'm sorry.

MRS MEYERS: Stop it. Stop it... put the gun down. I was afraid the gun would go off accidentally, and then... Just like that, he turned the gun on himself. I called 911, but it was too late. I realize now that... Glen would never have hurt Edward, or anyone else. This wasn't the first time that he'd tried to take his life. It was...

WILL: … just so you know, the evaluation with Edward, it may take a few sessions.

MRS MEYERS: But... I'm at wit's end, honestly. I have to deal with the funeral arrangements, and-and Edward, he's... scared to sleep in the room where it all happened. I...

HELEN: You're welcome to leave him in our care.

MRS MEYERS: Oh. I... I...

 

 

SANCTUARY

WILL: How's it going? My name's Will. I think your artwork is pretty awesome. I've always admired people who could draw. I could never get much past stick figures myself.

MRS MEYERS: Edward? Dr. Magnus and Dr. Zimmerman, um... they're going to take care of you for a couple of days. No, no, no. Just give me time to do everything that I have to do. Edward... it's okay. It's okay, it's okay... it's okay. Come here. It's gonna be okay.

 

 

SANCTUARY ELEVATOR

HELEN: Any luck with Henry?

BIG FOOT: He still won't come out of his room.

HELEN: This has been the rudest of awakenings.

BIG FOOT: I worry that he will keep spiraling down.

HELEN: We can provide every support, but only Henry can come to terms with what he's becoming.

 

 

SANCTUARY LIBRARY

HELEN: It's nice to see you, Henry.

HENRY: I know I've been M.I.A. I'm sorry about that.

HELEN: I more than understand.

HENRY: It's not like you didn't warn me this day was coming.

HELEN: Doesn't make it any easier, though, does it?

HENRY: I've been catching up on some research that's long overdue on my, uh... bad self. I never wanted to know any of this. Just figured if I ignored it, it'd just go away. You know, kind of like having some disease, but being all about denying it.

HELEN: This isn't a disease, Henry.

HENRY: I can't sleep, and smells are out of control. Food tastes terrible.

HELEN: We both need to figure out this phenomenon.

HENRY: You weren't there. You weren't there, and you didn't see!

HELEN: If anything had happened to you, I would never have forgiven myself...

HENRY: Well, something did happen to me, and all I know is, I can't control it.

HELEN: Not as yet, no, but...

HENRY: Look Doc, I have spent my adult life working with abnormals, learning to accept them, even appreciate them, but now I am one... and I'm terrified.

HELEN: I often wonder what would have become of you if I'd left you on the Moors... to be raised by your kind.

HENRY: Well... at least that way I wouldn't miss being human.

HELEN: Oh, Henry...

 

 

SANCTUARY

EDWARD: Yes.

WILL: I saw your light was on. Am I disturbing you? Mind if I come in? Where do these come from? These creatures?

EDWARD: From here.

WILL: Does it help to draw them? Make it less scary? There were pictures of Robbie too; your brother. You must miss him a lot. When you drew that picture that night, of the monster holding the gun? Did you see what happened? How your father died?

EDWARD: I can't think.

WILL: Okay. Maybe we can talk again when you're not so tired. Good night.

EDWARD: Mm... huhh.

 

 

SANCTUARY

HELEN: Don't worry, Edward, this machine simply measures your eye movements while you draw.

EDWARD: What do you want me to draw?

HELEN: Anything from memory; is there something you'd like to suggest?

EDWARD: Doesn't matter.

HELEN: All right, um... have you ever been to Chinatown?

 

 

SANCTUARY

HELEN: When most people see, their focus shifts from one area of interest to another. When we remember, we interpolate, we fill in the blanks.

WILL: Which is why eyewitness testimony is so notoriously unreliable.

HELEN: Exactly, now Edward's visual apparatus, on the other hand, acts more like an image scanner; rapidly moving in parallel sweeps, and then archiving.

ASHLEY: So he really is a living computer.

HELEN: This rendering took less than a minute from start to finish.

WILL: Wow. The detail is extraordinary.

HELEN: With respect, this is what's extraordinary. I asked Edward to concentrate on one portion of the scene, this area here, and then, a zoom on the zoom... in this case, a face, just barely visible in the shadows, becomes this.

ASHLEY: Okay, so, I'm not sure I get this. Edward's got this "Where's Waldo" thing going on with abnormals?

WILL: And that's assuming that there wasn't an abnormal in the doorway.

HELEN: Perhaps he sees the monster that lurks beneath.

WILL: So, what are you saying? He detects the abnormals amongst us?

HELEN: Or simply the true personas of damaged people.

ASHLEY: So an abusive father becomes a monster.

HELEN: Exactly.

 

 

SANCTUARY

WILL: Hey. You don't have to turn it off.

EDWARD: I've seen it.

WILL: Is this where some of them come from; the monsters?

EDWARD: I draw what I see.

WILL: You know, I see them, too.

EDWARD: Really?

WILL: We actually have a lot in common, you and I.

EDWARD: Hmm.

WILL: Details jump out at me, things that go right by other people. Like right now, I can see signs that you're afraid to tell me what you know. That drawing from the other night... The creature,...that was your father.

EDWARD: He... he wasn't always like that. He could be nice.

WILL: He wasn't nice that night. He pointed the gun at you.

EDWARD: To scare me; he'd never hurt me.

WILL: You're seeing it.

EDWARD: You don't know what I'm seeing.

WILL: Of course not. Your thoughts are yours. Mine are mine. You only share them if you want to. How did he die, Edward? Was it Robbie?

EDWARD: No.

WILL: Did he come back?

EDWARD: No.

WILL: Then why are you thinking about him...

EDWARD: You said they were my thoughts.

WILL: How did your father die? Did Robbie shoot your father?

GLEN: Hey! You look at me when I talk to you! I said look at me!

EDWARD: I... I thought I was going to die. I grabbed the gun. I didn't mean to kill him.

 

 

SANCTUARY MEDICAL ROOM

HELEN: We've been able to verify that your body has entered a new metamorphic phase. Everything we know about proteans tells us they continue to evolve over their lifetimes. There may be powers or abilities that you gain that we can't even hope to fathom. Imagine a caterpillar arresting its metamorphosis before it becomes a butterfly.

HENRY: You really think it was a butterfly that brought down that snake creature? Look, I can't account for myself when I'm that thing. And what if I hurt one of you? I can't let that happen. So you either chain me up in The SHU or you tell me how I can stop all this. I need to know what my choices are.

HELEN: There is a surgical remedy, but it's not without its risks. It involves excising portions of both the pituitary and pineal glands.

HENRY: If it'll keep me human, then bring it on.

HELEN: I want you to think about this long and hard, Henry.

HENRY: Okay… Done.

HELEN: It could well impact who you are, how you think.

HENRY: What, is it some kind of lobotomy or something?

HELEN: No, certainly not, but could it blunt your intelligence? Alter your personality? We just don't know. Promise me you'll think about it.

 

 

SANCTUARY

WILL: The more I look at the evidence, the less I believe both Ruth's and Edward's accounts.

HELEN: You think they were both covering for Robbie?

WILL: Just a sec. Hey.

KAVANAUGH: Hey, nice work. The stain on her robe was a dead match for the gun oil on the weapon. She obviously wiped it down. I'm getting heat to book her just on that.

WILL: Look, hold off, okay? I need a little more time.

KAVANAUGH: Come on, talk to me.

WILL: I saw some things in the crime-scene photos I'd like to check out on-site.

KAVANAUGH: Ooh, I thought we were going to keep the investigation side of this discrete.

WILL: Hey, you came to me, remember?

KAVANAUGH: All right. Oh, and you should know, Ms. Meyers tried to take possession of her husband's body. Had a quick cremation all planned.

WILL: Well, the M.E. Didn't release it, right?

KAVANAUGH: Well, of course not, but it doesn't do much for the trust factor.

WILL: See, this just doesn't feel right. That's why I need to see the apartment.

KAVANAUGH: I'll call the wife, let her know you're coming.

WILL: Okay, thanks.

 

 

MEYERS RESIDENCE

MRS MEYERS: Please...

EDWARD: Please! Please! Dad? Dad! Let me out!

MRS MEYERS: Oh, god... oh, God. Oh...

HELEN: Who did he keep down there?

MRS MEYERS: It's not what you think.

WILL: What about Robbie? He got the brunt of it, didn't he? What did Glen call it? Discipline?

HELEN: In my experience, it's often a cover for cruelty.

WILL: He threatened you, didn't he?

MRS MEYERS: He... he said he'd take the boys, take Robbie and Edward, if I ever tried to leave him.

WILL: The file said that you didn't report Robbie as missing for almost five days.

MRS MEYERS: Glen didn't want to go to the police, in case Robbie showed up.

WILL: Then you'll appreciate how important it is I report any new evidence.

MRS MEYERS: But you... oh, ple... oh...

 

 

SANCTUARY

HELEN: Will, I wasn't entirely comfortable with you making it sound as if The Sanctuary were an arm of law enforcement.

WILL: Well, I had to push her to get at what she was hiding.

HELEN: The unravelling of who killed this man and why may well yield a treasure trove of information about this abnormality. But make no mistake, I will not help compound an injustice.

WILL: So, what are you saying? That we withhold evidence from the authorities?

HELEN: If it's in service of preserving an extraordinary life like Edward's or the mother who tried to protect those sons? You'd better know that I would.

WILL: Then I guess one of us is going to be uncomfortable. Either way, it's down to us to sort out what really happened, and that means finding Robbie.

HELEN: I've been thinking, Edward has a pixel-perfect record of his father's death.

WILL: He says he doesn't remember what happened.

HELEN: Well, he was able to retrieve one image from that night.

WILL: His father pointing the gun.

HELEN: You recall I was talking about the interpolation of data to make our memories complete.

WILL: Yeah.

HELEN: If we could get Edward to render key moments surrounding the fatal shot, Henry could program the computer to fill in the missing frames.

WILL: So we'd have a movie of the crime?

HELEN: Or as near as you can reconstruct from a person's memories.

WILL: Huh. There's just one problem. Edward doesn't want to remember.

HELEN: Let's get him down here; there's no harm in trying.

 

 

SANCTUARY ELEVATOR

EDWARD: Ah...

 

 

SANCTUARY HELEN’S OFFICE

HENRY: I've made up my mind. I saw the way that kid looked at me, and if he can see it, then it's not far from surfacing again. I want this thing gone.

HELEN: Despite the risks we've talked about?

HENRY: That would be correct.

HELEN: Very well; I'll schedule the surgery.

 

 

SANCTUARY HENRY’S WORK AREA

ASHLEY: Henry... I think about what you're about to do and it scares me.

HENRY: Well, you get a look at that thing inside me, it'll scare you even more.

ASHLEY: I just don't want to lose the Henry I know.

HENRY: Look, I'm not real thrilled about it either, Ash, but no matter what I do, I'm going to wind up different.

ASHLEY: Yeah, but, dude, maybe the abnormal different isn't as bad as you think it might be.

HENRY: Come on, Ashley, you're not talking to an amateur here. We've both seen the ugly side of the abnormal world up close.

ASHLEY: We've also seen its wonder. Its beauty.

 

 

SANCTUARY

HELEN: You said your father aimed the shotgun at you, and that you pulled it away and shot him. Can you show us that?

EDWARD: Mmm...

HELEN: Edward, this is a right hand. Why is it on the left side of the image?

EDWARD: Hmm...

WILL: This isn't your hand, is it, Edward? This right hand has a scar on it. Yours doesn't. I'm guessing this was Robbie.

EDWARD: No!

HELEN: It's all right, Edward. Was Robbie the one your father was threatening?

WILL: Your mom and dad issued a full description of Robbie when he went missing; this scar was one of the distinguishing marks.

HELEN: If he was the occupant of that little room under the floor, he'd have more than enough reason for payback...

EDWARD: I told you it was me!

WILL: Right now, they're this close to charging your mother for tampering with evidence, and that charge could turn to murder like that, unless we can...

HELEN: Edward! Edward...

WILL: It's okay. Robbie?

HELEN: Aahh! Edward, Edward...

WILL: You got him?

HELEN: Yeah.

 

 

SANCTUARY

ASHLEY: What's his condition?

HELEN: Still guarded. He suffered a Grand Mal seizure. There's still a threat of subarachnoid haemorrhaging.

WILL: I'm sorry. If I hadn't have pushed him so hard, none of this would've happened.

HELEN: No neurologic deficits have surfaced, but clearly now, we have to err on the side of caution.

WILL: What the hell did we see?

HELEN: The dark side to his power.

WILL: It's like his eyes were shooting out heat bursts.

HELEN: That would explain the scorch marks on the walls of that chamber.

WILL: What about the marks on Ruth?

HELEN: I can't imagine that Edward would have inflicted those, at least not intentionally.

ASHLEY: And if it was the husband?

HELEN: Maybe they weren't cigarette burns at all. The M.E.'s file said there was evidence that the father suffered seizures as well.

WILL: If the father was an abnormal, he probably passed it on to Edward.

ASHLEY: The father's abnormality was the burning eyes power.

WILL: Hey, what if he could sense when it was coming on?

HELEN: And had himself locked away to protect his loved ones, yes. Glen Meyers may have built that chamber for himself.

 

 

SANCTUARY

WILL: It's okay, it's okay, it's okay. Listen, I know I pushed you to places in your head that you weren't ready to go, and I'm sorry if...

EDWARD: You don't...have to apologize.

WILL: Is there anything I can get you?

EDWARD: My sketch pad.

WILL: I don't think that's such a good idea.

EDWARD: My Mom didn't do it. I can show them.

 

 

SANCTUARY HENRY’S ROOM

HENRY: So obviously, you don't agree with my decision.

BIG FOOT: Not for me to pass judgment.

HENRY: What would you do?

BIG FOOT: I'm not the one trying to purge his abnormal nature.

HENRY: But if you could.

BIG FOOT: Deny who I am? Why? I'm not ashamed.

HENRY: Well, I'm not suggesting you should be, but...

BIG FOOT: But what?

HENRY: I've spent a lifetime more or less human.

BIG FOOT: You have yet to discover your gift.

HENRY: You think turning into that mongrelized human is a gift? Okay, that thing between my teeth? That's my foot. I...

BIG FOOT: You only see the curse in it. Every gift comes with one.

HENRY: What's your curse?

BIG FOOT: Mm... now... you are on this journey with me. It's something you'll discover.

HENRY: Difference between you and me is, you can control your power.

BIG FOOT: Yeah. And in time, so will you. Now, get to work.

 

 

SANCTUARY

WILL: Now, if you feel the slightest bit uncomfortable, or you want to quit, just let me know, okay?

HENRY: I think I'm pretty much ready to go here, boss.

HELEN: Understand that the computer tries to maintain the laws of both physics and psychology when filling in the blanks. It's not without its flaws.

ROBBIE: Edward... Edward...

EDWARD: It's not safe. It's not safe out there.

ROBBIE: No, that's what he wants you to believe, but...

GLEN: You get away from him, Robbie. You're not taking him away! There's nothing out there but shame and hate. I know. I've seen it!

ROBBIE: It's different for me and Ed! He deserves a life!

GLEN: You get the hell out of here, Robbie! I never want you to experience the pain that I did. I'm so, so sorry!

ROBBIE: Dad... Dad! Dad, please, stop!

ASHLEY: Yeah, we still can't see whose finger's on the trigger. Robbie's body's blocking it.

HELEN: Just wait. There. The reflection in the mirror captured it all.

GLEN: Let go!

ROBBIE: Let go of the gun, Dad! Stop it! Stop it! Stop! Ah!

HELEN: Robbie lets go of the gun, and...

ROBBIE: Get back. Dad... let go of the gun! Stop it, please! Dad!

WILL: The father didn't have to pull the trigger. He ignited the charge directly with his eyes.

 

 

STREET

KAVANAUGH: Hey, watch the car.

DRUNK: You watch it!

WILL: Did you bring the evidence?

KAVANAUGH: Missing persons, Robbie Meyers. Unsolved. Right there.

WILL: Look, I know you want answers...

KAVANAUGH: Yeah, tell me about it.

WILL: What's the matter?

KAVANAUGH: The case, our case, was pulled, erased, eradicated; everything…the files, crime lab, ballistics, everything. The coroner had to surrender the husband's body to a caravan of black four-by-fours.

WILL: Sent by whom?

KAVANAUGH: Whatever's happening here is way above my pay grade. Someone, someone powerful, finds Edward's family very, very important. What, too paranoid?
WILL: Welcome to my world.

 

 

SANCTUARY

WILL: For all we know, Robbie could be blaming himself for his father's death. We've got to try and find him. He could be hiding out of pure fear.

HENRY: You know, I understand that.

WILL: Magnus says you're, uh... going through with the surgery.

HENRY: Yeah. Listen, if I start growing man boobs, I'm depending on you to tell me.

WILL: Who knows, you might look good.

HENRY: Hey, this belonged to the boy, right? Robbie?

WILL: Yeah, I guess so. Why?

HENRY: Just wondering.

 

 

SANCTUARY

HELEN: Your mother should be here in a couple of hours.

EDWARD: What about Robbie?

HELEN: We're making every effort to find him.

WILL: Why were you so afraid to tell us what, in the end, you showed us?

EDWARD: Mom always said it would be the end of us all if the world ever knew about him.

HELEN: Well, you don't have to fear that now. Hello?

HENRY: Dr. Magnus, it's Henry.

HELEN: Where are you?

HENRY: I'm very close to Robbie Meyers.

 

 

TUNNELS

HELEN: Henry said Robbie's been living down here all this time.

EDWARD: Robbie!

HENRY: I told you he'd be coming, didn't I?

ROBBIE: I've missed you so bad.

EDWARD: It's okay. We can both go home now. Mom's waiting.

HELEN: Will...

EDWARD: This is yours?

 

 

SANCTUARY HENRY’S ROOM

HENRY: Come in.

HELEN: You haven't forgotten about today, have you?

HENRY: Oh, I didn't forget. I just kind of changed my mind.

HELEN: You don't want to go through with the operation?

HENRY: No. No, I don't.

HELEN: May I ask why?

HENRY: I'm not sure if there is any one reason. I thought about Edward, Robbie, what I might contribute if I gave the powers a chance. I guess I thought about some butterflies. Wow, I can't believe I just said that.

HELEN: Neither can I. Doesn't sound like you.

HENRY: I guess you can say I'm a changed man.

 

 

Source: Wikia

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choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Hier à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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