Dans une forêt à ciel orageux…
Will : Vous êtes sûre qu’on est au bon endroit ?
Hélèn (regardant dans une longue vue) : Ne parlez pas si fort, on essaie de ne pas se faire repéré, alors il faut se faire un minimum discret.
Will (se frottant les mains): Un minimum, je vois… Mais pourquoi on se cache ? On est sur une île au milieu de nulle part, et c’est juste une crypte pas le Pentagone.
Hélèn : Une crypte dans laquelle se trouve un élixir qui pourrait prolonger la vie de quelques siècles. On laisse rarement se genre de chose sans protection.
Will : Et pourquoi on reste là, au lieu de…
Hélèn (le coupant) : Regardez.
Hélèn lui passe la longue vue. Il s’approche et regarde.
Hélèn : On les appels les gardiens des morts, mieux vaut les éviter si possible.
Will : D’accord…
Hélèn et Ashley se font signes puis cette dernière recule.
Will : J’ai compris… Je fonce et contournes les. Mais c’est quoi se signe ensuite.
Will montre le signe qu’il n’a pas compris.
Hélèn : Soit on est solidaire, soit on meurt… Allons-y.
Hélèn se lève.
Will : Ok.
Will se lève.
Ashley, Hélèn et Will se placent.
Hélèn : Allez de l’autre côté, et essayez de faire diversion.
Will se relève un peu sous l’effet de la surprise.
Will : Quoi ?! Vous plaisantez ?
Hélèn : Dépêchez vous avant qu’ils ne v…
Un gardien de la mort se jette sur Will et Hélèn le tue et se retourne.
Hélèn : ASHLEY !
Ashley est entourée de créatures mais elle arrive à toutes les tuées. Hélèn tire sur une créature et Will peut se relever. Ashley, Will et Hélèn forment un cercle. Ils sont tous de dos.
Ashley : Je suis sûre que sa, sa ça ne figurait pas dans notre brochure de vacances !
Hélèn : C’est pour sa qu’on ne travaille pas avec Silvio, il ne nous dit jamais tout Ashley !
Hélèn à Will : Rentrez dans la crypte ! Foncez !!
Ashley : Maman !
Les filles se mettent dos à dos pendant que Will court dans la crypte.
Will allume sa lampe de poche, descend les escaliers, et voit trois tombeaux autour d’un cercle qui englobe un symbole ayant une forme de serpent. Il marche dessus le cercle, et un liquide vers passe dans le serpent. Les trois tombeaux s’ouvrent. Will s’approche.
Dans la forêt…
Hélèn : Je vais à la crypte !
Hélèn se retire et rentre dans la crypte. Will est à genoux devant un tombeau.
Hélèn : Will !
Will : Je veux bien que se soit ma première crypte, mais c’est pas censé renfermé des gens morts ?
Trois femmes en robes blanches, brunes et à la peau pâle sont endormies dans les tombeaux. Will se retourne vers Hélèn qui est toujours à l’entrée.
GẾNẾRIQUE
Au Sanctuaire… Chambre d’Ashley.
Hélèn : Tu es sûre, tu ne veux pas que je t’accompagne ? Tu pourrais peut-être emmener…
Ashley (finissant de boire sa tasse) : Hum… Qui ça ? Bigfoot ? Maman… C’est une simple opération de nettoyage. Y a pas de quoi fouetter un chat. Je me débrouillerai très bien toute seule.
Hélèn : Un caméléon humanoïde errant dans la ville, c’est loin d’être une simple opération. C’est plutôt…
Ashley (la coupant et préparant ces affaires) : Un problème, je sais. Le genre de problème dont on aurai du s’occuper avant de se rendre en Ecosse. Je vais régler sa ! Toi, tu as tant à faire ici !
Hélèn (regardant dans le sac d’Ashley) : Tu as tout ce qu’il te faut ?
Ashley : Oui ! Henry veux me faire tester une nouvelle arme… Et, heum, si jamais sa s’enraye, j’aurais toujours se bon vieux porte-bonheur.
Ashley calibre son fusil.
Hélèn : C’est vrai. Très bien ; je voulais juste discuter, on en a pas souvent l’occasion.
Ashley : Oh, maman… Je suis prête. Attention à toi vilain caméléon des souterrains, me voilà !
Ashley prend ses affaires.
Hélèn : Ashley !
Ashley : Ouai.
Hélèn : Sois prudente.
Ashley : Ah… Je le suis toujours…
Ashley fait un bisou à sa mère.
Ashley : J’y vais.
Dans le laboratoire…
Les trois sœurs sont installées sur des lits différents, Hélèn s’en occupe. Will arrive.
Will : Trois femmes pas tout à fait morte trouvé dans des tombes ; ça doit être la routine ici.
Hélèn : Elles sont dans le coma toutes les trois. Heureusement leurs cerveaux et leurs organes vitaux sont intacts.
Will : Elles sont normales ?
Hélèn : Pour autant que je le sache, oui. Les scanners n’ont détectés aucune anomalie physique. Mais c’est difficile d’en savoir d’avantage. Je vais leur administré un stimulant à effet retard, ça devrait leur faire reprendre conscience tout doucement avec le moins de trauma physique possible.
Will : Et pour le trauma émotionnel ?
Hélèn : Ca, c’est plutôt de votre ressort. Jusqu’à ce qu’elles se réveillent, nous nous appuierons sur des méthodes médicales traditionnelles. Quand à lui, regardez moi sa…
Hélèn déplace une table sur laquelle se trouve un gardien des morts.
Will : Que de bons souvenirs.
Hélèn : Ces créatures ont vite sentie notre présence, et elles possèdent une force et une rapidité hors du commun.
Will : C’est sûr. Elles n’ont rien de normal.
Hélèn : En tout cas, pas comme vous et moi l’entendons.
Hélèn enlève le masque du gardien des morts. Il apparaît alors un crâne visqueux.
Hélèn (jouant avec le fluide visqueux entre ses doigts récupéré du crâne) : J’étais sur le point de faire un prélèvement de fluide, vous voulez regarder ?
Will : Heu… J’adorerais mais… Je ferais mieux de retourné à mon bureau. Je vous laisse à votre opération de réduction de tête.
Hélèn : Comme vous voulez.
A l’infirmerie…
Les trois femmes sont allongées, l’une d’entre elles remue dans son sommeil, elle se réveille et s’assoit en hurlant : « Noooooon !!! »
Dans le couloir, Will arrive en courant en enfilant sa veste et rentre dans l’infirmerie. Il voit la jeune femme assise, elle semble perdue, il s’approche.
Will : Bonjour.
Dans le laboratoire…
Hélèn examine la main d’un gardien des morts, derrière elle, la télévision est branchée sur la vidéo surveillance de l’infirmerie. On peut y voir la jeune femme assise sur son lit.
Will (télévision) : Content de vous voir enfin réveillée.
Hélèn se retourne vers la télé.
Will : Je suis le docteur Zimmerman ; Will.
A l’infirmerie…
Will : Est-ce que vous comprenez ce que je vous dis ?
Il s’approche du lit ou la jeune femme est assise. Elle se recule légèrement.
Will : Eh… Ca va aller.
La jeune femme pleure. Will avance sa main vers son bras.
Will : Ca va aller, vous en faites pas. Vous êtes en sécurité.
La femme lui prend le bras et passe une main derrière sa nuque. Elle se blottit dans ses bras.
Will : Ca va, ça va, il ne peut rien vous arrivez, calmez vous.
Femme : Hein ?
Elle lui tient toujours la nuque mais le recule pour voir ses yeux. Puis elle enlève ses mains.
Femme : Je… Je m’appelle Danu.
Will : Vous pouvez parler ?
Elle regarde ses sœurs.
Danu : Mes… Mes sœurs… Tatha, Caird, est-ce qu’elles sont…
Will (la coupant) : Elles vont bien. Vos sœurs vont bien, vous vous êtes réveillée en premier. Vous êtes dans un institut médical. Nous vous avons emmenée ici après vous avoir trouvée dans un endroit obscur. Comment vous êtes vous retrouvez là-bas ?
Danu : Heu… Des créatures… Elles… Elles sont venues à notre village… Elles n’étaient pas humaines.
Will : Oui, j’en sais quelque chose.
Il s’assoit sur le lit qui est à côté de celui de Danu.
Danu : Elles… Elles nous ont emmenées et ensuite… Ensuite… Je me suis réveillée ici.
Will : Dans votre village, y a-t-il des amis ou de la famille que nous pourrions contacter pour les rassurés ?
Danu : Je suis désolé mais je… Je ne m’en souviens pas.
Will : Ca ne fait rien. Prenez votre temps.
Danu : Il me semble que cet endroit… est si différent de tous ce que j’ai vu jusqu’ici, oh… c’est… c’est lumineux sans qu’il n’y est une seule chandelle. Il y fait chaud mais… il n’y a aucun feu, aucun rayon de soleil.
Will : Danu, avant que vos sœurs et vous ayez été enlevées… De quoi vous rappelez vous ?
Danu (soupirant) : Il y… il y a eu une messe. Nous pleurions la mort de notre prêtre emporté par le miasmas.
Will : Le miasmas ?
Danu : C’est… c’est une maladie qui a décimé les villages voisins en quelques mois et… c’est incurable.
Will : Vous vous souvenez du miasmas ? Et quoi d’autre ?
Danu (pleurant) : Pourquoi je n’arrive pas à me souvenir ?
Will : C’est une question de temps.
Dans le labo de Magnus…
Hélèn (parlant dans un micro) : Ces créatures ont une terrifiante proportion à la violence. Elles ont une apparence physiologique qui paraît humaine à première vue. La présence d’importantes anomalies au visage et au torse suggère la possibilité qu’il y ait eu une mutation d’ordre génétique.
Elle sort une sorte de tripe du corps de la créature tandis que Will arrive.
Will (avançant une main pour se cacher la vue) : Oh ! Non, je crois que vous devriez… vous devriez mettre un truc sur la porte pour me prévenir que vous faîtes ça.
Hélèn : C’est à coupé le souffle non ?
Will : Ouai, c’est le moins qu’on puisse dire.
Hélèn : Comment se portent nos invitées ?
Will : Elles sont un peu perdues, du moins celle qui c’est réveillée ; elle a parlée d’une épidémie qui c’est abattue sur son village… Le Miasmas. C’est un mot grec qui signifie « air empoisonné ».
Hélèn : La peste en d’autres termes.
Will : La peste bubonique pour être exact.
Hélèn sourit.
Will : Mais la dernière grosse épidémie qui à sévit en Ecosse remonte à l’an 880.
Hélèn : Conclusion…
Will : Elle est folle.
Hélèn : C’est votre avis en tant que professionnel ?
Will : Vous allez encore me dire qu’il y a des tas de choses qui échappent à notre perception mais, en toute logique, si elle avait vécue en 880, elle ne s’exprimerait pas comme nous… La linguistique et la grammaire on bien évoluées depuis.
Hélèn : Certains pensent qu’il y a plutôt une régression.
Will : On devrait avoir du mal à la comprendre ! Ce qui m’amène à la conclusion que c’est une gentille fille, mais on ne peut pas se fier à ce qu’elle dit.
Hélèn : Ouai, peut-être…
Will : Si vous avez une théorie, faîtes m’en part, je serais curieux de l’entendre.
Hélèn : Le liquide que nous avons trouvé chez ces trois femmes comporte les mêmes propriétés chimiques que la formule utilisée dans les ___ de Vaudou pour les maintenir en sommeil.
Will rigole.
Will : Un corps humain ne peut pas rester intact pendant 1200 ans peut importe les produits magiques dans lequel on le plonge.
Hélèn : Je suis de votre avis… Alors soit, il ne faut pas se fier aux apparences et ce ne sont pas de simple femmes, soit on suit votre très fine déduction, c'est-à-dire…
Will (la coupant) : Que c’est du délire.
Hélèn : La vrai question à se posée ici, c’est pourquoi les gardiens tenaient temps à nous empêchés d’entrés dans cette crypte…
Dans l’infirmerie…
Les 3 femmes se réveillent les unes après les autres.
Hélèn : …Que voulez-t-ils nous cachés sur ces femmes ?
Leurs mains s’accroches et forment une chaîne jusqu’à accrochées celle de Danu qui est debout. Les objets ce mettent à tremblés.
Dans la crypte…
Homme 1 : On a trouvés les traces de deux femmes et un homme, et un sacré paquet d’douille de calibre 45.
L’homme dans la crypte prend le petit objet posé sur un des trois tombeaux.
Homme 2 : Rassemblez vos gardiens des morts, mobilisez l’équipe alpha pour une mission prioritaire, ce qui ont fait ça vont nous le payé.
Dans une grotte …
Ashley rentre silencieusement et charge son arme, elle avance lentement et prudemment lorsqu’elle se fait attaquer. Elle se retourne et tire, mais la bête est déjà partie. Elle avance à reculons vers le fond de la grotte, se retourne et tire deux fois de suite ; alors que la fumée se repend, Ashley se retrouve projetée plus loin.
Elle se relève et se remet sur ces gardes. Derrière elle, la bête, invisible jusqu’à présent se montre et prend Ashley par les épaules. Celle-ci se retrouve dos à terre, son arme entre la bête et elle. Elle plante alors son couteau dans l’épaule de la créature qui s’affaisse sur le coup.
Ashley : Trop facile !
Au Sanctuaire…
Dans le bureau de Will, Tatha et Caird sont assise en face de Danu et le docteur Zimmerman.
Caird : Pourquoi rien ne nous est familier ? Quand je me regarde dans un miroir, je reconnais mon visage, je reconnais Tassa et Danu mais, la personne que je croyais être… Et la, vous êtes en train de me dire qu’il n’y a pas de village ni de contagion, les seules choses dont je me souviens serait fausses ? Il y a de quoi se sentir complètement perdue.
Tatha : Danu a dit que d’après vous, la magie n’a rien à voir avec ce qui nous est arrivé et que nous souffrons toutes les trois d’une simple maladie... ?
Will : Je pense plutôt à un blocage. Nous vous avons trouvées dans une crypte cernée par des monstres ; alors il est peut-être normal que vous vous soyez blindées psychologiquement.
Danu : Nous ne demandons qu’à croire votre diagnostic docteur, et nous vous sommes reconnaissantes pour tout ce que vous avez fait…
Will (la coupant) : Et vous croyez que j’me trompe ?
Danu secoue la tête faiblement.
Will : Le terme clinique est « Trouble schyso-affectif », c’est un état de délire engendré par un stress postromantique aigue…
Tatha : Mais nous souffririons toutes les trois de la même névrose, comment expliquez vous cela ?
Will : Et bien, les délires collectifs sont extrêmement rare mais il n’empêche que sa arrive parfois, surtout entre membres d’une fratrie. En d’autres termes, que se soit d’un point de vue logique ou physique, vos souvenirs ne peuvent être réels. Plus tôt vous l’accepterais, et plus vite nous pourrons faire des progrès.
Dans le centre du Sanctuaire…
Bigfoot arrive avec un plateau portant un petit déjeuner.
Hélèn (enlevant ces gants) : Oh ! Vous tombez bien je meurs de faim.
Bigfoot pose le plateau sur la table chirurgicale puis il observe Will et les trois sœurs sur l’écran de caméra.
Bigfoot : Elles sont magnifiques !
Hélèn (en rangeant ces instruments) : Je trouve aussi, je n’avais jamais rien vu de tel auparavant.
Bigfoot : Elles sont terrifiées.
Hélèn : Oui… Heu… C’est sur… J’imagine que sa doit être perturbant de se réveiller ici, de ne ce souvenir de rien et d’être persuadée de venir du Moyen-âge.
Hélèn boit son café.
Bigfoot : Et c’est l’cas ?
Hélèn : C’est ça le problème, je n’ai pas écartée cette hypothèse. Quand Will à pénétré dans la crypte, il a malgré lui actionné une sorte de mécanisme qui a vidé les tombes d’un liquide verdâtre et que j’ai réussi à prélever heureusement.
Bigfoot : Vous croyez que c’est ça qui les a maintenues en vie ?
Hélèn : Je ne peux pas l’affirmer, mais le fait est qu’il contient des composants clef qui pourraient induire une forme de stase cryogénique chez l’être humain.
Bigfoot : Mais si ce ne sont pas des phénomènes…
Hélèn : Je sais, mais alors pourquoi monter la garde autour d’elles ?
A l’infirmerie…
Will fait passer un entretien à chacune des trois soeurs.
Will : Je veux que vous vous concentriez sur el son de ma voix. Je vais compter à rebours à partir de 5…4…3…2…1… Danu, vous m’entendez ?
Danu (chuchotant) : Je vous entends…
Will : Je veux que vous retourniez à la dernière chose que vous vous rappelez avant de vous être réveillée ici.
Flash back
Un gardien des morts…
Interruption du flash back.
Danu : Les créatures…
Flash back
Les trois sœurs crient d’effrois.
Interruption du flash back.
Tatha : Elles sont trop fortes pour nous… Nous ne pouvons leur échappées…
Flash back.
Les trois sœurs se font emmenées.
Interruption du flash back.
Danu : Pourquoi font-elle cela ! Nous n’avons rien fait de mal !!
Flash back.
Le liquide coule de la bouche à Egate, une créature lui tient la mâchoire.
Danu : Ils nous font boire quelque chose…
Les tombes se referment.
Fin du flash back.
Les trois sœurs : Puis les ténèbres !
Will : Remontez dans le temps… Rappelez-vous un évènement qui se serait passé avant que les créatures ne vous enlèvent.
Flash back.
Danu : Un clair de lune…
Tatha marche.
Tatha : Je suis dans un champ…
Une deuxième sœur se joint à elle.
Tatha : Il fait froid… Je peux sentir la mort…
Elles sont trois.
Tatha : Toutes ces âmes qui s’évanouissent.
Elles marchent et regardent autour d’elle… Le feu, les cendres, les cadavres, la fumée.
Caird : Il ne reste plus que nous…
Fin du flash back.
Au centre du Sanctuaire…
Hélèn : Que pensez-vous de ceci ? Chacune d’entre elles portées cet anneau à l’index droit.
Bigfoot : Vous avez consultez la base de données ?
Hélèn : Pas encore mais c’est prévu. De tel symbole signifie en général une appartenance à une collectivité ou à un groupe…
Bigfoot : Si elles font partie d’une quelconque société secrète alors…
Hélèn : Quelqu’un va certainement remarquer... Qu’elles ont disparues.
Dans un camion…
Homme 1: Ils n’en peuvent plus d’être enfermés ou ils ont hâtent d’être arrivés à destination ?
Homme 2 : Non ils vont très bien… Ont les ramène au bercail !
Dans les couloirs du Sanctuaire…
Will marche vers l’ascenseur avec le téléphone à l’oreille.
Will : Si je suis heureux ? Et bien… heu… Je sais pas quoi répondre, en tout cas tous ce que je peux dire, c’est que je me plaît plus ici, qu’à mon ancien boulot.
Meg : C’est ou ici ? Tu ne veux même pas me dire ou tu travail ?
Will : Je te l’ai dit ! Les gens qui tiennent cette clinique aiment la discrétion et en plus je suis lié par toutes ses clauses de confidentialités qu’ils m’ont fait signer.
Meg : Dit moi au moins quel genre de travail tu fais, est-ce que c’est d’ordre euh… médicaux légal ou clinique ou expérimental ?
Will : Euh… Ben en fait, disons… disons qu’il y a un peu de tout, heu… c’est à la pointe de la technologie.
Will rentre dans l’ascenseur.
Double tête : Retenez l’ascenseur !! Salut le nouveau ! Haha haha ! Je vais te bouffer la gueule !
Meg : Quoi ?! Qui est-ce ?!
Will : C’est… heu… personne, c’est… un patient.
Double tête : Rhaaa…
Will : … Des patients, en fait.
Meg : Alors ça c’est génial ! Ecoute Will, je ne sais pas où tu travail ni ce que tu fais exactement comme boulot, en fait je ne sais rien. Tu n’es jamais chez toi, on dirait que tu as disparu de la surface de la terre !
Will : Ben… Je… Je passe beaucoup de temps à la clinique et c’est le marathon dès le réveil, tu sais ce que c’est. Euh… Enfin bref, je te passais juste un coup de fil, pour prendre un peu de tes nouvelles.
Meg : Ça me va droit au cœur, en tout cas… Quel que soit ton travail, ça à l’air d’aller…
Will : Ca va oui. C’est pas une partie de plaisir, tu peux me croire… Pour tout te dire, je me demande souvent si j’ai pris la bonne décision. Mais… je dors mieux.
Double tête : Rhaaa !
Will : Bizarrement.
Meg : Will ?
Will : Euh… Oui ?
Meg : Tu vois une autre femme c’est ça ?
Will : Euh… Quoi ?! Non Meg, je sais pas où tu vas chercher ça…
Meg : Oubli ça, ce ne sont pas mes oignons. Ecoute, merci d’avoir appelé. Et… Je te souhaite bonne chance avec ton nouveau boulot.
Will : Non attend Meg !!
Meg raccroche.
Will raccroche.
Will : Oh et merde !
Double tête : Ouh ouh hé hé ! Les femmes ! On ne peut vivre avec ! Mais on peut les manger. (Rire)
Sur le toit d’un building…
Le téléphone d’Ashley sonne.
Ashley : C’est réglé m’man, la ville est débarrassée de son vilain caméléon bouffeur de caniche.
Helen : Tu n’as rien ?
Ashley : Non ! Pas une égratignure !
Helen : Je referais tes bandages à ton retour à la maison, mais avant de rentrer j’aimerai que tu fasses des recherches pour moi, les trois femmes de la crypte portaient chacune un anneau…
Ashley regarde l’image sur son portable.
Ashley : Très joli !
Helen : J’ai pu remonter à un ancien culte connu sous le nom de « Camalis Nocturnom ». Une société secrète fondée aux alentours de l’an 700, je n’ai pas encore toutes les données, mais d’après ce que je sais, ils collectionnés des êtres dotés de grands pouvoirs.
Ashley : Ils avaient un goût de chiot pour les bijoux !
Helen : J’ai de bonnes raisons de penser que cette cabale opère toujours et je veux savoir qu’elle menace elle représente. Vois ce que Skweed sait à propos de ses symboles puis rentre à la maison.
Ashley : Tu as un mauvais pressentiment ?
Helen : Plutôt oui.
Ashley : Bon, j’y vais ! Je t’aime.
Helen : Je t’aime aussi.
Derrière une fenêtre du Sanctuaire…
Danu regarde par la fenêtre alors que Will passe derrière.
Will : Danu ? Qui y a-t-il, vous n’arrivez pas à dormir ?
Danu : Docteur Zimmerman. Je sais que le docteur Magnus nous a dit de rester dans notre chambre, mais vous avez une si belle vue ici… Elle est si captivante. Je n’ai pas pu résister.
Will : Que ressente-vous en regardant dehors ?
Danu : Je me sens intriguée… Et effrayée.
Will : Effrayée par quoi ?
Flash-back
Des hommes tombent, les trois sœurs sont au milieu d’un paysage dévasté.
Danu : Quand je ferme les yeux, tout ce que je vois ce sont des morts. Ces visages me hantent, ils me demandent pourquoi. Vous voulez que nous nous rappelions qui nous étions ? Et bien peut-être l’avons-nous oublié pour une bonne raison !
Danu s’en va.
Dans le bureau d’Helen…
Helen écrit. Quelqu’un toque à la porte.
Will : J’ai vu de la lumière, vous avez une minute ?
Helen : Oui, bien sûr. Vous veillez tard !
Will : Oui, vous aussi. Vous gardez toujours un œil sur ce qu’il se passe ?
Helen : Il est rare que j’aille me coucher avant mes patients. Comment va Danu ?
Will : Elle est sujette à des peurs irrationnelles, elle se sous-estime et elle est submergée par l’émotion. C’est courant chez les victimes de kidnapping qui ont étaient retenues longtemps. En fait, elles finissent par se dépréciées et elles se voient comme la propriété de quelqu’un.
Helen : Vous ne croyez pas si bien dire.
Will : Expliquez !
Helen : Vous avez entendu parler des Morigans ?
Will : Les Morigans ? Non… Je dois vous avouer que je n’ai pas totalement compulsé votre manuel sur les monstres.
Helen : C’est une vielle légende qui remonte à l’époque médiévale et qui parle de trois femmes avec des pouvoirs surnaturels dont le seul et unique but était de détruire les hommes.
Will : Sa y est, on en est revenu à la théorie du bain qui conserve pendant 1200 ans.
Helen : (sourire) Les Morigans sont apparues pour la première fois au cour du règne du roi Arthur. D’après le mythe, quand les Morigans apparaissaient sur un champ de bataille, les ennemis d’Arthur tombaient comme des mouches, leur âme était comme aspirée. Des armées entières ont étaient décimées.
Will : Vous croyez vraiment que ce sont des sorcières du Moyen Age ?
Helen : Souvent celle que l’histoire à définie comme des sorcières étaient simplement des personnes avec des pouvoirs !
Will : Oui, mais elles n’ont pas de pouvoir vous l’avez bien dit vous-même en les examinent.
Helen : Ou ils n’ont pas encore étaient détectés… Ces trois femmes avaient un anneau à leurs doigts. Ils portent la marque d’une vieille cabale constituée de collectionneurs qui exploités des phénomènes pour leur intérêt personnel. Et… apparemment ils gardaient leur possession avec vélocité.
Will : Pour quelles raisons cette cabale… les retenaient-elles prisonnières… si elles ne sont dotées d’aucun pouvoir.
Helen : C’est une des raisons qui fait que je ne dors pas.
A l’infirmerie…
Les trois sœurs se réveillent sous un même cauchemar : Un homme qui tombe.
Caird : Ce n’était pas un mauvais rêve ?
Un autre homme tombe.
Caird : Ce champ…
Trois hommes tombent encore.
Caird : Tous ces morts…
Les trois sœurs se lèvent.
Tatha : Nous étions présentent cette nuit-là.
Danu : Ce n’était pas un hasard. C’était notre œuvre.
Dans le bureau de Will…
Will range des documents. Sa tasse tremble.
Dans le centre du Sanctuaire…
Les animaux s’affolent.
Will arrive.
Will : Tout doux Steve, calme toi !
Les trois sœurs sont dans les airs, elles se donnent la main et tourne ensemble vers la gauche. Il y a un grand vent.
Will : Qu’est-ce que vous faites ?! La maison a surement des règles à propos de ça, la lévitation, ce genre de truc !
Un ordinateur s’électrocute.
Will : Wow wow ! Et si vous descendiez maintenant. On pourrait discuter.
Les pages s’envolent, les vitres se brisent. Will tombe à terre. Les jeunes femmes tombent. Helen Magnus leur tire dessus.
Les trois sœurs : Haaa !!
Helen : Ca suffit comme ça !
Will : Je contrôlais la situation…
Will tombe dans l’inconscience.
Au centre du Sanctuaire…
Henry : Vous vous rappelez quand je vous disais que si sa sautais ça allait coûter cher et que vous me disiez de ne pas dramatiser.
Helen : Henry…
Henry : Ca m’a coûté une fortune.
Helen : Qu’elle est l’ampleur des dégâts ?
Henry : L’unité centrale du labo a été touchée, les appareils d’analyse et d’IRM sont HS, et on a plus de connexion à internet.
Helen : Le système de sécurité marche toujours ?
Henry : La bonne nouvelle c’est qu’aucun phénomène ne manque à l’appel grâce au système de secours. Mais les alarmes anti intrusions sont complètement grillées et ça c’est pas bon !
Helen : Occupez-vous de sa en priorité, le labo peut attendre.
Henry : On risque d’avoir d’autres problèmes ? Ne me dîtes rien, question stupide, je m’y jette !
Helen nettoie les oreilles de Will.
Will : Des sorcières du Moyen Age, d’accord je veux bien le croire, mais… à supposer que leur enveloppe charnelle a été préservée par miracle, comment se fait-il qu’elles s’expriment exactement comme nous ?
Helen : Je suppose qu’elles ont des pouvoirs télépathiques aussi, c’est surement comme ça qu’elles se sont vite adaptées à notre langage.
Will : Des pouvoirs psychiques… Elles lisent dans les pensées ? Oh… Maintenant on sait pourquoi la Cabale les voulait.
Helen : Oui ! Pour ce que ça nous a apportés !
Helen déplace le bras de Will.
Will : Tss !
Helen : Restez tranquille !
Will : Vous ne pouviez pas savoir.
Helen : J’aurai du deviner, au moment où j’ai fait le lien avec la Cabale. J’aurai du faire des analyses plus poussées et leurs données des psychotropes.
Will : Vous vous occupez d’un centre médical, pas de la prison de Guantanamo. Faites preuve d’indulgence.
Helen : Vous ne comprenez pas ! Si la Cabale les recherches et c’est une hypothèse à ne pas écarter, elles peuvent libérer une telle énergie synectique, qu’on les retrouverait en un rien de temps. Sa signifie que nous sommes en danger ! Elles ne peuvent pas rester.
Will : Que voulais vous dire ?
Helen : Je veux dire que si la légende des Morigans est étant soit peu fondée, alors ces trois femmes sont capables d’anéantir des centaines voire des milliers de vies !
Will : Enfin, il ne s’agit tout de même pas de vélosiraptor. Avant qu’elles ne recouvrent la mémoire c’était des femmes rationnelles et calmes, et même quand leur pouvoir s’est manifesté, elles ne m’ont pas tué ! Enfin, elles m’ont juste un peu cramées la cervelle mais…
Helen : Oui et elles ont détruit la moitié de mes locaux !!
Will : Elles ont étaient enfermées pendant des siècles, il y a de quoi se mettre en rogne non ? On peut les raisonnées c’est possible !
Helen : Je crois qu’il vaut mieux les garder sous sédatif, du moins pour le moment.
Will : Combien de temps ? Pour toujours ? En quoi ça pourrait nous différencier de la Cabales si ce n’est qu’ils les ont séquestrées en premier.
Dans des pièces d’isolement…
Danu : Le docteur Magnus a raison, c’est vrai vous n’auriez jamais dû nous réveiller.
Will : Vous ne pouviez pas dormir éternellement. Vous méritez d’être libre.
Danu : Nous n’avons pas vocation à vivre libre. Nous avons pour dessin d’envoyer les ennemis de la Cabale à la mort.
Will : Et vous pensez que les ennemis c’est nous ?
Danu : Vous nous avez enlevées à notre foyer. A nos protecteurs.
Will : Ils vous retenez prisonnières dans une crypte. Et vous appelez ça un foyer ?
Danu : Si c’est la volonté de nos maître alors qu’il en soit ainsi.
Will : Non ! C’est ce qu’ils veulent vous faire penser. Ils veulent vous faire croire qu’ils cherchent à vous protéger mais c’est faux. Ils exploitent vos pouvoirs pour leurs intérêts personnels.
Danu : Ils nous ont donnés la vie. Ils nous ont donnés nos pouvoirs.
Will : Qui dit que vous ne les avait pas depuis toujours ? La Cabale vous a simplement trouvées et vous a obligées à tuer pour son compte… Vous me demandiez comment vous pouvez être touchées par le même trouble. Comment vous pouviez toutes les trois dissocier ce qui est réel et ce qui est imaginaire ? C’est parce que quelqu’un a implanté ce raisonnement dans votre tête. Et plus tôt vous réaliserez que c’est un leurre, plus vite vous vous rappellerez qui vous êtes réellement.
Danu : Il y avait des hommes par milliers.
Will : Danu !
Danu : Des hommes par milliers marchaient sur Badalher ce matin-là. Tous sont morts à la tombée de la nuit.
Flash-Back
Il fait sombre, des hommes sont à terre.
Danu : Et ce sans qu’aucun n’est était transpercé par une épée… Ou une lance.
Les trois sœurs apparaissent et regarde le ciel.
Danu : Et à présent que nous sommes libres, d’autres vont mourir. Nous n’avons pas d’autre raison d’être.
Fin du flash-back
Will : Jusqu’à aujourd’hui, et c’est parce que vous pensiez ne pas avoir le choix. Mais vous l’avez.
Danu : Comment pourrions-nous être libre un jour ? Après ce que nous avons fait ?
Sur un pont brisé…
Ashley arrive sur sa moto.
Ashley : Squid !
Squid : Tu les as apportés ?
Ashley : Ouai ! Voilà tes friandises ! Mange pendant que c’est… vivant.
Squid : Ah ! Il était temps !
Squid s’approche pour prendre le sac de vers.
Ashley : Wow wow wow wow wow !! Tu as dit que tu avais des infos sur la Cabale ?
Squid : Ta mère et toi, vous ne pouviez pas chercher des poux à des ennemis un peu ordinaire ?! Non !! Il a fallu que ce soit la Cabale !! Ce nom à fait frémir tous mes contacts, ils ont filés comme des insectes !!
Ashley : C’est parce que la plus part d’entre eux sont des insectes !
Squid : Oh c’est très drôle Ashley !
Ashley : Qu’à tu découvert ?
Squid : La Cabale, s’amuse à capturer des phénomènes ! Ils les étudient, ils les examinent depuis bien plus longtemps que ta mère et toi !!
Ashley : Hum, tu serais surpris ! Vas-y continu !!
Squid : D’après ce que je sais sur les gens de la Cabale, ils sont chargés de…
Ashley : De capturer des créatures avec d’étrange pouvoir, je sais on a trois de leurs spécimens au frais. Mais ils sont capables de quoi ?
Squid : De tout !!
Ashley : Explique ?!
Squid : Eh bien, la Cabale s’est soit disant éteinte au 19ème siècle, mais la réalité est tout autre !! Ils se sont faits discret, ils ont infiltrés le monde des affaires ! Les… laboratoires de recherches médicales et scientifiques, les banques, les firmes biotechnologiques ! Hum… Ils possèdent même des armements militaires, ils ont le contrôle sur tout !!!
Ashley : C’est pas possible…
Squid : Si !! On dirait que c’est gars sortent d’un film de James Bond, ils sont à deux doigts de dominer le monde !
Ashley : Si on leur prend ce qui leur appartient…
Squid : Oh non ! Sa finirait mal ! Il paraît qu’ils sont en route pour venir ici avec… des cerbères avec des longues griffes et de longues dents…
Ashley : Des gardiens !
Squid : Oui !
Ashley : Combien ?!
Squid : En tout cas assez pour semer la pagaille Ashley ! Quel que soit ce que vous leur avait pris, ils viennent le récupérer ! Je peux ?
Squid regarde le paquet de vers avec envie.
Ashley : Oui, bien sûr ! Bon appétit. Régale toi, sa à l’air délicieux…
Squid : Merci.
Dans le parc du Sanctuaire…
Henry se déplace derrière un grillage en étant accroupi. Il voit des gardiens qui passent. Les gardiens montent la muraille du Sanctuaire.
Henry : Alors ça, sa craint.
Dans les couloirs du Sanctuaire…
Helen : Aussi longtemps qu’elles seront conscientes et qu’elles resteront ici, elles seront une menace.
Will : Danu est dans un état psychologique si fragile à l’heure actuelle, qu’elle ne pourra plus redevenir elle-même si elle subit une autre amnésie ou un autre choc. Je peux la raisonner, il… il me faut juste du temps.
Helen : C’est justement ça le problème, nous manquons de temps !!
Will : Ecoutez-moi s’il vous plait ! On lui a fait un lavage de cerveau, elle croit que cette Cabale est toute puissante, c’est complétement ridicule !
Le téléphone d’Helen sonne.
Helen : Ashley ?!
Ashley : On va avoir de gros ennuis maman, je rentre le plus vite possible. On a…
La vitre derrière Magnus éclate.
Will : Han hu !
Magnus tue deux gardiens.
Ashley : Maman ? Maman !! Merde !
Ashley raccroche et va en route du Sanctuaire.
Dans le parc du Sanctuaire…
Les gardiens continus de sauter par-dessus la muraille tandis que Henry prend son pistolet et son talkie-walkie.
Henry : Magnus ? C’est moi. Les créatures avec les vilaines dents ont franchies le périmètre extérieur. Je vous recommande vivement un verrouillage de niveau 5.
Dans les couloirs du Sanctuaire…
Magnus et Will courent dans le couloir. Magnus s’arrête.
Will : Magnus !!
Helen appuis sur un bouton et des portes blindées s’abaissent.
Will : Sa fonctionne…
Helen : Emmenez les Morigans loin d’ici immédiatement.
Will : D’accord. Une idée ?
Helen : Sous nos pieds. Il y a un tunnel qui débouche sur l’arrière.
BOUM !!
Helen : J’ai une maison ou elles seront en sécurité. L’itinéraire est programmé là-dedans. Prenez sa aussi.
Will : Et vous qu’allez-vous faire ?
Helen : Vous vouliez un peu de temps ? Je vais vous en donner.
Helen s’empare d’un objet et fait un crochet à un gardien qu’elle assomme en le frappant à la tête. Un autre gardien arrive derrière elle, mais Bigfoot l’envoie promener à travers la fenêtre.
Gardien : Haaa !!!!
Helen : Mais où étiez-vous passé ?
Bigfoot : Il nous faut des armes.
Helen : Non, il nous faut Ashley !
Les gardiens pénètrent dans un couloir ou Helen et Bigye descendent les escaliers. Helen se sert de son arme, tandis que Bigfoot se jette sur les gardiens.
Ashley arrive devant le portail du Sanctuaire. Elle compose le code, mais il ne marche pas.
Ashley : C’est pas vrai !
Dans les cellules d’isolement…
Will éteint les stimulants.
Will : Danu ! On va vous faire sortir d’ici.
Danu : C’est nous qu’ils veulent.
Will : Vous n’avez pas à les suivre.
Danu : Non, on ne cesse de nous chercher, nous devons repartir avec eux.
Will : Vous croyez que vous méritez de passer le restant de vos jours dans une crypte ?! Parce que si c’est le cas je ne vous retiens pas.
Danu : Vous nous libérez ?
Will : Oui. Mais il faut partir maintenant.
Dans les escaliers du Sanctuaire…
Helen : Je veux que vous défendiez à tous pris le sanctuaire.
Bigfoot : Oui.
Helen : S’ils sont trop fort, lancé le protocole de sécurité de niveau 9 et cloitrez-vous à l’intérieur.
Bigfoot : Oui, mais…
Helen : Pas de « mais ». Faite ce que je vous dis. Bigfoot remonte les escaliers tandis que Helen continu sa course.
Dans la cour du Sanctuaire…
Les gardiens s’approchent d’une mini piscine. Ashley leur tir dessus puis sort de l’eau.
Dans les sous-sols du Sanctuaires…
Les trois sœurs courent en file indienne.
Caird : Ou allons-nous ?
Will : Loin d’ici.
Les trois sœurs s’arrêtent devant une porte que Will se dépêche d’ouvrir. Danu se retourne et voit des gardiens des morts qui les suivent.
Danu : Will !
Will : Allez-y. Foncez !! Tenez prenez ceci c’est une carte et suivez la ligne violette.
Danu : Mais Will !
Will : Courez !
Will referme la porte. Et part en sens inverse. Il fait tomber des tonneaux à terre pour que les gardiens ne puissent pas passer.
Au rez de chaussé du Sanctuaire…
Ashley : Maman ! Je suis rentrée !!
Ashley cour de côté et tir sur les gardiens.
Dans les caves du Sanctuaire…
Helen tue deux des gardiens et prend son talkie-walkie.
Helen : Bien prend un maximum d’armes et rejoins nous dans les catacombes, Will et les Morigans vont vers la rivière et les gardiens sont à leur trousses. Il faut faire barrage vous m’entendez Henry ?
Henry : Allo ?
Helen : Vous avez compris ?
Henry : Des armes, les catacombes, reçu 5/5. J’arrive.
Henry essaye de tirer mais son pistolet ne marche pas.
Henry : Mais qu’est-ce que tu me fais ?
Homme : Lâche ça !
Henry : C’est bon je me rends.
Homme : Vide tes poches. Allez !
Dans des escaliers du Sanctuaire…
Ashley descend en courant et tir sur plusieurs gardiens.
Dans les catacombes du Sanctuaire…
Helen tir sur des gardiens et retrouve Will et Ashley en plein combat.
Will : Attention !!
Ashley pousse deux gardiens des morts, prend le bras de Will et tir avec son bras.
Will : Waw ! C’est du travail de pro.
Ashley : Faut enlever la sécurité.
Will : Oui et bien, je m’occupe de ce que je sais faire et vous, vous les abattez !
Ashley : Sa marche ! Suivez-moi.
Ashley suivit de Will passe sous une arche et retrouve Helen.
Ashley : Maman ?! Tu n’as rien ?
Helen : Non ! Elles ont puent s’enfuir ?
Will : Oui je crois. Si elles savent lire une carte électronique, elles doivent être loin.
Helen : Mais où est donc passé Henry ?
Henry : Je suis ici.
Des hommes armés entourent Helen, Henry, Will et Ashley.
Helen : Vous êtes dans un centre médical privé ici, c’est une violation de propriété !
Homme : Une violation ? Vous avez pris ce qui nous appartenait. Les Morigans sont à nous. Soit vous nous les rendez, soit nous mettons tous à sec.
Helen : J’ignore de quoi vous parlez.
Homme : Les gardiens des morts finiront par les retrouvées. Peu importe l’endroit.
Helen : Leur corps sont éparpillés un peu partout dans mon manoir. Vous avez autre chose ?
Homme : Dernier avertissement. Je ne plaisante pas.
Helen : Ashley ?
Ashley : Ca va pas être beau à voir. Tu n’as qu’un mot à dire.
Homme : Prenez leurs armes.
Les hommes armés se rapprochent mais une force les envois s’étalé un mètre plus loin en arrière.
Danu : Arrêtez ! Il n’y aura plus de massacre. Nous vous suivrons sans résistance, mais nous vous demandons en échange de ne pas leur faire de mal.
Homme : Nous n’avons pas d’ordre à recevoir de vous, vous vous contentez de faire ce qu’on vous dit !
Danu : Ils ne nous ont pas emmenées par avidité maos par charité. Laissez-les c’est tous ce que nous vous demandons.
Helen : Il semble que le goût de la liberté a changé leur comportement.
Homme : Nous récupérerons ce qui est à nous, et il n’y aura pas de problèmes.
Helen : Ces femmes sont sous ma protection, elles ne s’en iront ni avec vous, ni avec personne.
Homme : Alors on a un problème.
Will : Danu, écoutez-moi, restez avec nous, nous pouvons toutes vous protéger.
Danu : Si nous restons, aucun d’entre vous n’aura la paix.
Caird : Vous nous avez montré le chemin une vérité que nous n’avions jamais vue.
Tatha : Et nous vous sommes reconnaissantes pour tous ce que vous avez faits.
Will : Non ! Vous ne pouvez pas partir, pas maintenant.
Danu : Nous devons gagner notre liberté… Par nous-même. A présent nous savons qui nous sommes.
Les trois sœurs se rapprochent.
Homme : Ne les mettez pas dans le même véhicule. Si j’étais vous je ferai très attention. Mais employeur ne sont pas du genre à pardonner facilement.
Helen : Moi non plus. Dîtes leur bien que la partie n’est pas finie. Et maintenant sortez de ma propriété.
Homme : Mm… Ha ha !
Will : Vous croyez qu’on les a perdues ?
Helen : A vous de me le dire.
Will : Si seulement j’avais eu plus de temps.
Helen : Vous les avez aidée bien plus que vous ne l’imaginez. On leur a offert le choix d’être libre. Ce qu’elles feront ensuite dépend d’elles.
FIN