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#102 : Sanctuaire pour tous (part 2)

Will, qui est un peu chamboulé par ce qu'il vient de découvrir, tente d'aider le jeune garçon lié aux homicides. Pendant ce temps, Helen doit faire face à une vieille connaissance...

 

[Captures]

Popularité


3.8 - 5 votes

Titre VO
Sanctuary for all - Part 2

Titre VF
Sanctuaire pour tous (part 2)

Première diffusion
03.10.2008

Première diffusion en France
17.03.2009

Vidéos

Helen avoue à Will un des ses plus grands secrets (fin de l'épisode)

Helen avoue à Will un des ses plus grands secrets (fin de l'épisode)

  

Plus de détails

Ecrit par: Damian Kindler & Sam Egan
Réalisé par: Martin Wood

Wil et Bigfoot rejoignent le jeune garçon pour tenter de l’aider.

Au même moment Henry retrouve Helen pour lui faire part de ses découvertes sur l‘enfant et il lui parle du meurtre d‘une prostituée.

Wil finit par réussir à gagner la confiance du garçon, il s’appelle Alexei et devient dangereux quand il a peur des gens.

Helen regarde la vidéo de la ruelle ou la prostituée a été tuée et elle reconnaît le tueur, John Druitt !

Pendant ce temps Ashley discute avec son fournisseur d’armes quand elle est attaquée par Druitt. Avec l’aide de son ami, Ashley arrive à neutraliser Druitt et elle le ramène au Sanctuaire sans se douter que c'est un piège.

Henry qui est chargé d’emmener Druit en isolement est pris en otage et Druitt le force à couper le champ de force du Sanctuaire !

Helen apprend qu’Ashley a était attaqué par un homme capable de se déplacer très vite ! Elle comprend de suite que c’est John, mais elle n’a pas le temps de réactiver le champ.

Ashley est prise en otage par Druitt qui la téléporte dans l’enclos d’un phénomène très dangereux pour forcer Helen à lui donner son sang.

Helen active la caméra de l’enclos pour que Wil, Bigfoot et Henry puissent aider Ashley. Pendant ce temps Helen donne un échantillon de son sang à Druitt qui se l’injecte, mais il ressent très vite des douleurs et il comprend qu’Helen a modifié l’échantillon. Druitt arrive à se téléporter, mais avant il prévient Helen que les autres membres des cinq viendront !

Bigfoot est grièvement blessé en tentant de neutraliser la créature quand Wil comprend qu’elle n’aime pas la lumière et il arrive tous les sauver au moment ou Helen les rejoint.

Will s’apprête à rendre visite à Bigfoot quand il croise Ashley qui le remercie de l’avoir sauvé et elle lui demande s’il va rester !

Will arrive au chevet de Bigfoot qui est toujours endormi à l’infirmerie ! Wil lui dit qu’il croit voir des monstres quand il était petit et Bigfoot lui dit qu’il faut y croire.

Will rejoint Helen pour lui faire part de sa décision ! Wil lui dit qu’il sait qu’elle était présente lorsque sa mère a été assassinée et Helen lui explique qu’elle n’a eu le temps que de le sauver lui !

Wil lui parle des incohérences d’âge et Helen lui avoue avoir 157 ans ! De plus, elle lui confirme que Druitt est bien le fameux serial-killer Jack l’Éventreur, qu’il y a 1 siècle ils étaient fiancés et que c’est lui le père d’Ashley.

Au final, Will décide de rester et de rejoindre l’équipe.

 

 

Fait par albi2302

Sanctuaire pour tous (2nd partie)

 

Précédemment dans sanctuary

 

Policier : Je vais te tendre la main et tu vas l'attraper d'accord ? Allez approche.

Policier 2 : Non de Dieu.

 

Kavanaugh : En faite je parle dans le vide quand je vous dit qu'on a arrêté le tireur.

Will : Je ne pense pas qu'il y ai eu des coups de feu.

 

Will : Hé. Hé petit. Attend une minute.

Helen : J'aurais préféré qu'on se rencontre dans d'autre circonstance.

 

Will : Madame Lutrova, je comprend que vous ayez du passer la nuit la plus atroce de votre vie, mais vous avez menti et ca on le sait tout les deux.

 

Kavanaugh : Rentrez chez vous Zimmerman.

Will : Pourquoi vous refuser de m'écouter ?

Kavanaugh : Parce que c'est à cause d'aberration de ce genre qu'on vous a mis à la porte du FBI.

 

Will : Ne soit pas hypocrite, tu m'as toujours pris pour un barjot.

Meg : Si jamais il existe un truc qui te permet de dormir la nuit, j'espère que tu le trouveras.

 

Helen : Comment va votre tête ?

Will : Quoi ? C'est vous qui m'avez renversé ?

Helen : Vous étiez sur mon chemin.

Will : Comment ça ?

Helen : Je poursuivais le garçon moi aussi. La police détient un innocent mais ce petit garçon que vous avez vu est bien réel, on doit l'aider il en a besoin.

Will : Mais qui êtes vous ?

Helen : Disons que je fais partie des personnes qui on choisi d'accepter la réalité dans ce quelle a de plus extraordinaire.

 

Helen : Il y a des choses dans cette ville et dans ce monde que les gens refusent d'admettre et qui sont réelle.

 

John : Effectivement je cherche une chose précise. Ce sanctuaire n'accueille à ce qu'il paraît des invités très particulier.

 

Helen : Vous devez avoir des question à me poser, non ?

Will : Juste une. Comment se fait il qu'il n'y ai pas d'orgue ?

 

Helen : Je dois vous prévenir docteur Zimmerman, nous sommes sur le point de quitter votre monde.

 

Helen : Bienvenu dans mon sanctuaire.

 

Helen : Ici les patients restent dans leur cellule, on les internes certes, mais c'est pour leur bien. Pour d'autre, c'est un refuge de dernier recours. Ce n'est pas un zoo ici, et encore moins une prison.

 

Helen : Le plus important, c'est que mes patients disposent d'un endroit où ils sont en sécurité.

Will : Vous êtes entrain de me proposer un boulot ?

Helen : Là où d'autre ne vois que l'entêtement d'un pauvre raté, je vois de grande possibilité. Vous osez imaginer des choses inimaginables.

 

Will : Vous êtes qui vous ?

Ashley : Je vous retourne la question.

Helen : Tu avais dit que tu le tenais.

Ashley : C'était le cas.

Helen : Arrête, il nous le faut vivant.

Will : Hé, hé, hé, par ici.

Helen : Docteur Zimmerman, voici Ashley ma fille.

 

Will : Vous aviez quel age quand vous l'avez eu, 12 ans.

Helen : Les détails n'ont aucunes importance. Ashley est ma fille biologique. Et elle m'est indispensable dans mon travail.

 

Helen : Je vais tout d'abord déterminer le traitement approprié. On a aucun espoir de l'aider si on ne parvient pas à gagner sa confiance.

Will : Il n'y a rien dans mes connaissances qui me permettrais de m'occuper d'un patient tel que lui.

Helen : Regardez plutôt l'enfant et si vous y arrivez alors tout est possible. Dans le cas contraire tant pi. J'admettrais que je me suis trompée sur votre compte. C'est à vous de voir.

 

Générique

 

Sanctuaire

 

Will : Détachez le. S'il vous plait. Tout ira bien. Ca va aller. Je vous assure. Comment ça va ? Tu veux t'assoir ?

 

Henry : C'est cruel comme entretien d'embauche non ?

Helen : Je n'ai pas besoin de votre opinion Henry.

Henry : Ce que je veux dire, c'est qu'il est novice et qu'on le met en présence d'un nouvel arrivant.

Helen : Qu'il nous a aidé à capturer.

Henry : Oui d'accord, mais il a peut être fait ça d'instinct. Même un écureuil aveugle arrive à trouver une noisette. Ou un macaque une banane. Je m'en souviens jamais.

Helen : Vous avez ce que j'ai demandé ?

Henry : Oui, les analyses de la matière visqueuse que vous avez prélevé dans le lobe frontale des flics. Il y a peu d'endroit où on peut trouver des traces de radiations aussi pure. Il y en a surtout dans l'ex URSS, mais si on compare les traces minérales de l'échantillon de plutonium aux opérations minières recensé dans chacun des pays le l'ex union soviétique.

Helen : Tchernobyl.

Henry : C'est la seule ville au monde où il y a plus de compteur gegère par habitant que de montre.

Helen : La plupart des survivants de cette catastrophe on déménagé et on eu des enfants.

Henry : Oui, si on peut les appeler comme ça.

Helen : Votre délicatesse est vraiment déconcertante.

Henry : Ce gosse est un aspirateur à cerveau. Je suis le plus objectif possible.

Helen : Est ce qu'il y a autre chose ?

Henry : Euh non pas vraiment. On a retrouvé le corps d'une prostitué derrière un entrepôt non loin d'ici, elle a été tuée il y a à peu prêt 4 heures.

Helen : Comment a t-elle été tuée ?

Henry : Elle a été poignardé, c'est un meurtre classique, personne n'a rien vu et la police n'a aucun indice.

Helen : Envoyez moi ce que vous avez.

Henry : Vous croyez c'est important, je compati c'est très triste, mais ca n'a aucun rapport avec…

Helen : Faites ce que je vous dit.

Henry : D'accord, ça marche. D'accord, je vais transférer les images de surveillance de cette partie de la ville sur le réseau centrale qui à ce propos continu de déconner un max. Vous aviez reçu ma demande concernant les mise à jours.

Helen : On verra ça plus tard.

Henry : Ok d'accord. Au faite, si vous voulez nettoyer l'aile 2, je ne veux pas en entendre parler.

 

Henry : Je croyais que ta mère t'avais privé de sortie.

Ashley : C'est le cas. Je sors juste chercher des trucs de fille.

Henry : Oui, comme par exemple une caisse de mitraillette.

Ashley : Alors tu veux pas que je te rapporte de quoi nous défendre.

Henry : Ah, je t'ai pas vu.

Ashley : T'es super cool.

 

Will : Whao whao, hé on fait un break deux secondes. On se calme. Tout le monde se calme, on fait un break d'accord ? Je sais que tu es censé me faire peur, mais écoute moi bien, tu vois cet homme là ? Il me fait beaucoup plus peur que toi. Sans vouloir vous vexer. Alors calme toi s'il te plait. Tu es calmé ça y es ? Ca va aller. Ca va aller. Détend toi. Ok dit moi pourquoi tu essayes plus de m'aspirer le cerveau ? Je crois que j'y vois un peu plus claire. Moi j'ai peur de toi, et moi, tu as envie de me manger le cerveau. Ok. Je vais reposer cette chaise. Comment tu t'appelles ?

Alexei : Alexei.

Will : Moi c'est Will. Tu veux me raconter ce qui s'est passé ?

Alexei : Je vivais à Kiev avec mes parents. Ils m'ont dit que j'étais pas en sécurité. Et si des gens découvraient mon existence, ils viendraient m'emmener. Un jour une famille a voulu m'adopter et m'a emmené en Amérique. Ils étaient différents de moi, et quand ils ont vu …

Will : Ce n'était pas vraiment l'accueil que tu avais espérer c'est ça ?

Alexei : Ils avaient peur. J'ai tout fait pour calmer les choses mais c'était la peur qui était la plus forte.

Will : Alors plus on a peur, et plus il se manifeste. Et tu n'arrives pas à le contrôler. C'est un mécanisme de défense qui a son propre raisonnement.

Alexei : C'est pas ma faute. Je ne veux pas tuer.

Will : Non tu cherches juste à te protéger. Écoute moi bien, Alexei. Tu sais ce sentir en sécurité c'est un besoin qu'on partage tous. Il ne faut surtout pas te sentir coupable. Rassure toi, tu es comme tout le monde tu sais.

Alexei : Vous n'avez pas peur de moi ?

Will : Non.

Helen : Magnifique.

 

Dans un entrepôt

 

Silvio : Un anaconda sueur de cerveau et qui vit à l'intérieur d'un intestin whao. J'aurais bien voulu voir ça.

Ashley : Revenons à nos moutons.

Silvio : Calme toi ma poule. On a bien le droit de plaisanter.

Ashley : Silvio s'il te plait arrête ton char. Je suis sur que tu es entrain de te creuser les méninges pour savoir quel prix tu pourrais tirer de ce gamin sur le marché.

Silvio : La cupidité ça fait parti de mes défauts.

Ashley : Si tu veux travailler avec nous, tu respects nos règles et tu le sais.

Silvio : Oui, oui, oui. J'en ai marre de me cantonner au rôle de protecteur et d'homme à tous faire. D'accord ? Peace love etc …

John : Puis je avoir votre attention ?

Ashley : Merde Silvio, est ce que ca va ?

Silvio : J'ai connu mieux. Ton flingue.

Ashley : On se tire.

Silvio : C'est incroyable ce que ca fait mal nom de Dieu. On le connait lui ?

Ashley : J'en sais rien pour le moment.

Silvio : T'occupes pas de moi. Tire toi.

Ashley : T'es sur ?

Silvio : Ashley, je vais hurler comme une gonzesse alors je veux que tu te casses.

Ashley : Ok, t'inquiètes.

 

Will : Ne faites pas ça. Vous avez encore toute la vie devant vous.

Helen : Si vous saviez.

Will : Vous aimez prendre les choses de haut.

Helen : Tout est une question de point de vue. Vous me rejoignez ?

Will : Ah, j'ai tendance à avoir le vertige mais, … allez je me lance. Whao, la vue est imprenable.

Helen : J'aime venir réfléchir ici. Surtout quand je n'arrive pas à trouver le sommeil.

Will : J'imagine que ça se produit souvent.

Helen : Tout ça, ça fait beaucoup pour vous n'est ce pas ?

Will : J'en sais rien. Je crois que j'arrive à concevoir que le monde ne soit pas tel qu'on a l'habitude de le voir.

Helen : Mais vous avez beaucoup de mal à l'accepter, c'est ça ?

Will : Mettez vous à ma place.

Helen : J'y étais, figurez vous. Il y a très longtemps.

Will : Tout cela est extraordinaire. Euh, c'est même plus qu'extraordinaire. C'est juste que … c'est pas mon univers. Et j'ai toutes les difficultés du monde à comprendre, ça c'est sur.

Helen : Je n'ai pas fait ca sur un coup de tête, croyez moi. Des que j'ai fait votre connaissance j'ai su que vous aviez un rôle important à jouer.

Will : Oui, quand vous m'avez renversé dans cette ruelle.

Helen : Non depuis que vous avez huit ans. En faite, depuis que vous avez crier qu'un monstre avait tué votre mère.

Will : Comment vous pouvez le savoir ?

Helen : Personne n'a cru à votre histoire, et tout le monde vous à catalogué. Vous étiez cette étrange enfant qui voyait des monstres tapi dans l'obscurité. L'enfant qui criait au loup, mais les moqueries ont eu raison de vous alors vous vous êtes rétracté. Vous n'aviez pas pu voir ce que vous aviez vu, vous aviez du l'imaginer. Mais vous n'aviez rien imaginé. Et ce traumatisme vous a poussé à consacré votre vie à décortiquer l'esprit humain. La perception des choses est devenu une véritable obsession. Dans vos articles vous parlez de la confusion entre illusion et réalité.

Will : Tout était vrai. Ce que j'ai vu est arrivé.

Helen : Vivre dans le dénie était pour vous la seule façon d'accepter ce que vous avez vu à l'époque.

Will : Comment pouvez vous imaginer que je vais aider ces créatures. Alors que l'une d'elle … m'a prit ce que j'avais de plus chère au monde.

Helen : Vous êtes le seul à avoir la réponse.

Will : Vous saviez ? Vous saviez quel effet ça aurait sur moi ?

Helen : C'est votre choix Will. En fin de compte ca va bousculer vos convictions les plus profondes.

 

Ashley : Montre toi espèce de salaud.

John : Tu as l'aire très en colère.

Ashley : Où est ce qu'il est ?

John : C'est à cause de ce que j'ai fait à ton amis ?

Ashley : J'aime pas que les gens se fasse embrocher en ma présence.

John : Il ne mérite vraiment pas que tu t'inquiètes pour lui. Il faudrait peut être que je songe à me rendre.

Ashley : J'ai vraiment pas l'impression que tu abandonnes si facilement.

John : Lâche ça. C'est un jouet beaucoup trop dangereux pour quelqu'un de ton age.

Ashley : C'est un cadeau de ma mère.

John : Je préfère que tu le récupères. Tu dois te demander qui je suis. Ou ce que je suis. Et comment tu peux me descendre.

Ashley : J'étais plutôt entrain de me demander pourquoi tu puais de la gueule, t'as les dents pourris, c'est pas possible autrement.

John : Sois poli si tu n'es pas jolie ma chère.

Ashley : Très bien, trêve de plaisanterie. Passons aux choses sérieuses.

John : Tu as une sacré technique. Ca manque totalement de discipline, mais c'est quand même impressionnant.

Ashley : D'accord. Qui es tu ?

John : Quelqu'un que tu n'as pas pu croiser avant. A part ça, je n'ai pas tellement envie de te gâcher la surprise. Mais pour l'heure, il est temps que tu apprennes à respecter tes ainés.

 

Au sanctuaire

 

Helen : Oui, le bouclier fonctionne, si jamais c'est lui, on est à l'abri. Non, je n'ai pas du tout peur qu'il me fasse du mal. J'ai peur de ce qu'il pourrait faire aux autres et de ce qu'il a déjà fait. Si la vérité venait à se savoir, les conséquences seraient dévastatrice.

 

Dans un entrepôt

 

Ashley : D'accord. Je suis bien obligée d'admettre que tu te défends plutôt pas mal.

John : Je suis tes exploits depuis un bon bout de temps. Toi et ta mère vous formez un sacré duo, c'est indéniable. Vous protégez les innocents, vous vous intéressez aux choses bizarre et inexplicable

Ashley : On écoute les conneries des barges de ton espèce.

John : C'est un travail très dangereux.

Silvio : Hé vieux. Personne m'embroche moi.

John : Les cellules vivront n'ayez crainte, les immortels et la sainte quinte.

Silvio : La ferme.

Ashley : Merci mon pote.

Silvio : Il doit bien valoir du pognon.

 

Dans la rue prêt du sanctuaire

 

Henry : Ce que je veux dire c'est que si tu prenais la fourgonnette de temps en temps au lieu de prendre ta moto, j'aurais pas à me déplacer au beau milieu de la nuit.

Ashley : Franchement Henry, les seules fourgonnette que je conduis elles ont lord Poséidon peint à l'aérographe sur les ailes.

Henry : Quoi ?

Ashley : Les fourgonnettes c'est pour les ringards. Je préfère prendre ma moto.

Henry : Merci. Il me semble pas dangereux.

Ashley : Il s'est pris dix mille volte et une triple dose de tranquillisant.

Henry : Il va avoir une sacré migraine à son réveil. Si jamais il se réveil. Il est quoi comme catégorie.

Ashley : J'en sais rien, c'est maman la spécialiste. Moi tout ce que je sais, c'est qu'il nous a donné du file à retordre. Demande à Silvio.

Henry : Oh Silvio, c'est une poule mouillé. Il pleurnichait en allant chez le docteur Leen. Avec des épices et des herbes médicinales il s'en remettra.

Ashley : Si tu le dit. Occupe toi de lui et préviens maman. Moi je vais me prendre une douche.

Henry : Ok cool. Je le met où, avec les autres ou bien au niouf. Il va dormir au moins pendant deux jours.

Ashley : Au niouf. Il faut des conditions de sécurité maximum pour ce type.

 

Au sanctuaire

 

Henry : Bon allez. Amusez vous bien.

John : C'est mon attention.

Henry : Et merde. Vous savez, il y a 9 caméras de surveillance braqués sur vous alors ça va pas être facile de se tirer.

John : Oh, je n'ai pas l'intention de partir d'ici. Dites moi, on est dans quel coin du sanctuaire ? Ca à l'air très accueillant.

Henry : C'est là qu'on garde les plus dangereux. Les pires des spécimens.

John : J'adore ce genre de cri. Arrêtez. Soyez gentil, faites moi faire la visite.

Henry: D'accord.

 

John : Nous y voilà.

Henry : Oui. Cela dit, toute les bouclier de protections peuvent être réactivé à distance alors je ne crois pas pourquoi hé hé vous énervez pas.

John : Ces installations sont protéger par un champ énergétique ?

Henry : Une bulle électromagnétique qui empêche l'utilisation de système de brouillage.

John : Elle vous a dit que c'était pour ca ? Pas idiot.

Henry : C'est contre quoi alors ?

John : Moi. Éteignez le.

Henry : Attendez une minute, ca n'a pas de sens, comment …

John : Pas de discussion. Faites le.

Henry : D'accord. C'est fait.

John : Merci. Vous êtes bien aimable.

 

Helen : Ashley.

Ashley : Je sais que tu voulais pas que je sorte.

Helen : Ou étais tu ce soir ? Qu'est ce qui s'est passé ?

Ashley : Rien de bien grave, Silvio et moi on a eu un petit problème.

Helen : Un problème ?

Ashley : Une espèce de type super rapide nous est tombé dessus, mais t'inquiète pas, on a géré.

Helen : Très rapide ?

Ashley : Plutôt impressionnant vu sa taille. Il avait une drôle façon de parler, un peu comme toi mais en plus cruel.

Helen : Reste ici et obéi cette fois.

Ashley : Pas de panique, Henry la mis au niouf, tout va bien.

Helen : Non, tu te trompes.

Ashley : Maman.

 

Will : Henry. Qu'est ce qui s'est passé ?

 

Ashley : Maman, pourquoi tu t'excites.

Helen : Récupère un maximum d'arme, on en aura besoin.

Ashley : Non, pas avant que tu m'expliques en quoi ce type est un tel problème.

Helen : Parce qu'il va nous tuer toi et moi. Il s'est laissé capturé volontairement j'en mettrai ma main au feu. Il ne nous reste que très peu de temps.

Ashley : Putain je rêve.

John : Bonsoir Helen.

Helen : John.

John : C'est une immense joie de te revoir.

Ashley : Tu connais ce dingue ?

John : Ta mère et moi, on se connait depuis un bail.

Helen : John, fais pas ca. C'est pas son problème. C'est le notre.

John : Pour le moment. Tu n'as pas idée de ce que j'ai eu à supporter tout seul, à errer dans ce monde maudit des Dieux. Je ne désirais que la paix et retrouver un peu de ce qu'on avait. Ce qu'on avait et que j'ai perdu.

Helen : Tu ne gagneras rien en t'en prenant à ma fille ou à moi.

Ashley : Mais pourquoi tu tires pas ?

John : Trêve de plaisanterie, tu connais très bien la raison de ma présence. Je vais enfin avoir ce que je veux. Tout est à ma porté à présent. Alors donne le moi ou bien elle mourra.

Ashley : Maman.

Helen : Oh c'est pas vrai.

 

Ashley : Pitié, ne faites pas ça.

John : Je ne connais pas très bien les bestioles de ta mère. Mais si tu veux mon avis, rester parfaitement immobile serait une très bonne attitude.

 

John : Oh, je l'ai bien connu.

Helen : Où est elle ? Où est elle ?

John : J'aimerai te dire qu'elle va bien, mais je n'aime pas mentir. Oh, c'est vrai, ton assistant dévoué m'a parlé d'un endroit spécialement réservé aux pires des monstres que vous avez capturé.

Helen : Espèce d'ordure.

John : Comme elle a du t'aider à attraper ces créatures, leurs retrouvailles promettent d'être émouvante.

Helen : Pourquoi elle ?

John : Je n'ai pas trop le choix Helen, je peux difficilement m'en prendre à toi. Alors utiliser une de tes précieuses créature comme instrument de ta torture. Je dois avouer que c'est un trait de génie. J'y serais avant toi. Et je la mettrais dans une position encore plus dangereuse. Je ne veux pas qu'elle meurt Helen. Mais c'est exactement ce qui arrivera si tu ne me prends pas au sérieux.

Helen : Il n'y a qu'une seule raison qui te pousserait à prendre ce risque. Tu fais ca parce que tu vas mourir. Je sais que j'ai raison.

John : On va tous mourir. Tout le monde se bat pour sa propre survie et j'ai l'intention de faire tout ce qui est nécessaire afin d'assurer la mienne.

Helen : Tu irais même jusqu'à la tuer.

John : Sa vie est entre tes mains. Je ne pense pas que tu serais disposé à la perdre rien que pour éviter une simple piqure. Souviens toi, tu m'as déjà sauvé la vie une fois, non ? C'est dans tes cordes.

Helen : John, je peux t'aider, mais pas en prolongeant ce cauchemars. J'ai les moyens de te soigner.

John : A ce que j'ai vu, elle ignore tout.

Helen : Qu'est ce que j'aurais pu lui dire.

John : Elle doit bien se demander d'où lui viens ce formidable instinct de destruction.

Helen : Elle croit que son père est décédé.

John : Je me demande ce que ca lui fera de découvrir la vérité.

Helen : Ton esprit est corrompu John. Et tu n'en es pas responsable.

John : Helen Magnus, féru de nature et de ses abominations et ennemi farouche du bon sens. Donne moi ton sang Helen. Il te reste peu de temps.

 

Will : Attendez, j'imagine que ca c'est pas très normal.

 

Will : Allez chercher Magnus. Ashley, Ashley. Ca va aller Ashley.

 

John : Est ce que c'est bien ton sang ?

Helen : Oui, c'est le mien. Centrifugé, épuré.

John : Merci Helen. Tu n'auras pas à le regretter.

Helen : Je ne peux pas en dire autant pour toi malheureusement. Pardonne moi John.

John : Méfie toi, les cinq, les autres viendront.

 

Will : Venez, il faut y aller. Faut y aller, courage. Restez pas dans le noir.

Helen : C'est bon, je m'en occupe.

Henry : Dis donc, mais t'es cinglé ou quoi ?

Will : C'est très probable oui.

 

Ashley : Hé Will.

Will : Ashley. Whao. Comment vous sentez vous ?

Ashley : Ca va, c'est juste superficiel. J'ai quelque chose à vous dire. Euh, je pense que je vous ai mal jugé, apparemment. Vous m'avez sauvé. Ca c'était cool.

Will : Oui et bien, à votre service.

Ashley : Alors on se reverra ?

Will : J'en sais encore rien.

Ashley : C'est vrai que ma mère peut paraître relativement bizarre, mais elle sait ce qu'elle fait. Laissez tomber les fleurs pour le colosse, il y est allergique.

Will : Entendu.

 

Will : Il y a deux jours, vous m'auriez foutu une sacrée pétoche. Quand ma mère est morte, j'ai souffert. J'étais terrifié, je voyais des choses étrange, des choses inexplicable. Et maintenant, je sais pas. Peut être que les monstres n'existent pas au fond. Bref, tachez de vous remettre d'accord. Vous avez dit quelque chose ?

Bigfoot : Il faut y croire.

Will : Quoi, quoi, à quoi dois je croire ?

Bigfoot : Il faut croire aux monstres. Ils existent réellement.

 

Helen : Alors vous nous quittez docteur. Comme c'est dommage.

Will : Ce que vous avez construit ici, les recherches que vous avez faites. 30 minutes dans votre bibliothèque et je me suis posé des question qui m'avait jamais effleuré avant. Dans mon métier, j'étais confronté à des affaires plus qu'énigmatique. J'ai toutes les réponses.

Helen : Et pourtant vous décidez de nous quitter.

Will : Écoutez, laissez moi terminer. Vous étés venu me chercher parce que vous pensiez que j'avais soif de vérité, tout comme vous. Mais je sais qu'il y a des choses que vous m'avez caché.

Helen : De quelle chose parlez vous ?

 

Flashback

 

Will : Ah ah ah

Helen : Ca va aller. Tout va bien maintenant.

 

Fin du flashback

 

Will : Vous avez tout vu. Pas vrai ?

Helen : Votre mère avait un courage admirable Will. Et elle est morte pour vous protéger de cette créature.

Will : Vous auriez pu empêcher ça. Il y avait bien un moyen.

Helen : On a essayé Will. Je vous promet qu'on a tout essayé. Ca s'est passé tellement vite qu'on a à peine eu le temps de vous sauver.

Will : Vous n'aviez pas plus de quoi 14 ans, 15 ans maximum. On chasse les monstres à 14 ans ? C'est pas très crédible. Sans compter votre récente invité Druit. Un certain John Druit s'était rendu célèbre. Scotland yard le poursuivait à l'époque de Jack l'éventreur à la fin du 19ème siècle.

Helen : Exact. Il a été mon premier patient.

Will : Si je comprends bien, soit vous pouvez tout les deux voyager dans le temps. Soit vous avez bien plus que vous le dites.

Helen : Will, j'ai aujourd'hui 157 ans.

Will : Whao. Comment tous cela est il possible ?

Helen : Quand vous explorez comme moi les limites de la science, les récompenses et les malédictions sont assez imprévu.

Will : Mon Dieu. C'était l'un des plus célèbre serial killer et vous l'avez soigné quand même.

Helen : Il n'a pas toujours été comme ça. Il était mourant. Je lui ai donné mon sang pour lui sauvé la vie. Bien mal l'on prit.

 

Flashback

 

Femme : Vous cherchez un peu de compagnie ?

John : Toujours sur le pont Molly.

Molly : Monsieur Druit. Vous m'avez fait peur. Pas de repos pour les braves. Vous le savez.

John : A qui le dis tu ?

Molly : Vous ne devriez pas surgir comme ça dans les rues sombre, vu les récent évènement.

John : Oh, c'est idiot de ma part, désolé.

Helen : John, c'est fini tout ça.

John : Helen. Quelle délicieuse surprise. Molly, j'aimerais te présenter ma fiancé ou devrais je dire mon ex fiancé Helen Magnus. Le docteur Helen Magnus.

Molly : Docteur. C'est un plaisir de vous rencontrer madame. Et bien, je vais m'en aller maintenant.

John : Reste, chère amis, j'insiste.

Helen : John, laisse moi t'aider avant que tu commettes l'irréparable.

John : M'aider voyons c'est impossible. J'ai déjà massacré au moins sept prostitués. Une de plus ou une de moins ca ne fera pas une grande différence.

Molly : Massacré.

John : Je n'ai plus rien à attendre.

Helen : Tes pouvoirs te font perdre la raison. Laisse moi t'aider.

John : Mes pouvoirs c'est tout ce qu'il me reste.

Helen : Lâche la John.

John : Si madame le désire.

 

Fin du flashback

 

Helen : J'ai passé les années qui ont suivit à essayer de réparer cette énorme erreur.

Will : Il n'était pas seulement votre patient, n'est ce pas ? Ashley.

Helen : J'ai gardé l'embryon cryogénisé pendant plus d'un siècle jusqu'à ce que la solitude me devienne insupportable. Je l'ai amené à terme en pensant que jamais John ne reviendrait. J'ai sous-estimé sa détermination.

Will : Je vois. Écoutez, si je travaille avec vous, la première condition que j'impose, c'est que vous ne me mentiez plus.

Helen : Je viens de vous confier le plus sombre et le plus profond de mes secrets, n'est ce pas ?

Will : Je sais, c'est juste que je viens de réaliser que ma vie n'a été qu'un mensonge jusqu'ici. Et je ne veux plus qu'on me mente.

Helen : Message reçu.

Will : Je ne plaisante pas. Vous me montrez absolument tout, chaque monstre, chaque vivarium, tout ce qui rampe, qui vole ou se téléporte, je veux tout voir. Si vous voulez que je vous sois utile à quelque chose. J'ai du rattrapage en perspective.

Helen : A qui le dites vous.

Will : Dire que même vous, vous n'êtes pas normal.

Helen : Navré de vous décevoir. Une autre question ?

Will : Vous avez une mutuelle ?

Helen : Non. Mais je vous promet que vous vivrez plein plein d'aventure passionnante. Alors, c'est partie ?

 

FIN

 

 Fait par blanblan54

INT - SANCTUARY ISOLATION ROOM

WILL : Release him. Please. Trust me. It’s okay. It’s okay. How you doing? You want to sit down?

 

 

INT - SANCTUARY OBSERVATION ROOM LOOKING OVER LAB ROOM

HENRY : Kind of harsh for a job interview, don't ya think?

HELEN : Thank you for your opinion, Henry.

HENRY : I’m just saying it's a newbie all alone with the new arrival-

HELEN : Whom he helped capture.

HENRY : Yeah, sure, he might pull it off. You know, even a blind squirrel can find a nut. Or is it monkeys and bananas? I can never remember.

HELEN : Do you have what I asked for?

HENRY : Yeah. The analysis of the goop you took from the cops' frontal lobes? Check. Not many places you're going to find radiation traces that pure, mostly former soviet republics. But if you match up the mineral traces in the plutonium sample to known mining operations in each possible location...

HELEN : Chernobyl.

HENRY : Only city in the world with more personal Geiger Counters than clocks.

HELEN : Many of the survivors of this disaster moved on and had children.

HENRY : Yeah, if you can call them that.

HELEN : Your sensitivity is breathtaking.

HENRY : The kid sucks brains! Not that I’m being judgmental.

HELEN : Is there anything else?

HENRY : Ah no, not really. A working girl was found murdered behind a warehouse down near circle square about four hours ago.

HELEN : Murdered how?

HENRY : Just your typical old school stabbing; no one saw anything, cops are clueless, as usual.

HELEN : Send me what you have.

HENRY :  Really, we care about this? I mean, it's very sad, but-

HELEN : Send it to me.

HENRY : Okay, fine. All right, I’ll transfer the CCTV footage from that part of town to the central network, which, by the way, is still fluxing like a bitch. Did you get the request I sent for those upgrades?

HELEN : We’ll talk about it.

HENRY : Okay, fine. By the way, if there's a cleanup on aisle 2, I don't want to know about it. 

 

 

INT - HALLWAY IN FRONT OF ELEVATOR

HENRY : I thought your mom grounded you.

ASHLEY : She did. I’m just going out to get some, uh... feminine products.

HENRY : Yeah, feminine like a crate of Uzis?

ASHLEY : Dude, you want me to get us some toys or what?

HENRY : Hey, I never saw you.

ASHLEY : Atta boy.

 

 

INT - SANCTUARY LAB ROOM

WILL : Whoa, woah, hey! Woah, woah! Time out a second! Time out! Time out, everyone just calm down. You think that's supposed to scare me, huh? Well, let me tell you something, you see this guy here? He scares me a hell of a lot more than you do. No offence. All right, let's just calm down, all right? Will you give us some space here? It’s okay. It’s okay... just relax... Okay, how come you're not trying to eat my brain anymore? I think I’m getting the hang of things here. The less I’m scared of you, the less you want to snack on my cerebellum? Okay... I’m just going to put this down. Do you have a name?

ALEXEI : Alexei.

WILL : My name's Will. You want to tell me how this all started?


ALEXEI : I lived in Kiev with parents. They told me I was not safe, that if people found out about me, I would be taken away. Family adopt me, bring me here, but they not like me. Not after...

WILL : Wasn’t the kind of reception you were hoping for, huh?

ALEXEI : They were afraid. I tried to stop it, but only more fear comes.

WILL : So the more fear, the more it comes out? And you can't control it. It’s a defense mechanism... with a mind of its own.

ALEXEI : It is not my fault. I not want to kill.

WILL : No, you just want to be safe. Listen to me, Alexei. Feeling safe is something we all need. That is nothing to be ashamed of. All right you’re no different than anybody else.

ALEXEI : You don't fear me?

WILL : No.

 

 

INT - SANCTUARY OBSERVATION ROOM LOOKING OVER LAB ROOM

HELEN : Magnificent.

 

 

INT - WAREHOUSE

SLYVIO : A brain-sucking anaconda living in his intestinal tract... ugh. Sorry I missed it.

AHSLEY : Can we just get down to business?

SLYVIO : Come on, now, baby girl, we're just talking shop.

ASHLEY : Sylvio, please. Right now you're giving yourself an ice cream headache trying to figure out how much that kid is worth on the open market.

SYLVIO : Just my greedy, baseline personality.

ASHLEY : Well, you want to work with us; you play by our rules. You know that.

SYLVIO : Yeah, yeah, yeah. But I’m down with the whole protect and study thing, okay? Peace, love, and incense-

DRUITT : Do I have your attention?

ASHLEY : Sylvio, are you okay?

SYLVIO : Been better. Gun.

AHSLEY : Let's go.

SYLVIO : Stings like a son of a bitch. Anyone we know?

AHSLEY : Can’t tell yet.

SYLVIO : I’ll be fine. Go.

ASHLEY : You sure?

SYLVIO : Ash, I got to scream like a girl now. I don't need witnesses.

AHSLEY : Okay, understood.

 

 

EXT - SANCTUARY ROOF

WILL : Magnus? Don't do it. You've got your whole life ahead of you.

HELEN : If only you knew.

WILL : Aren't you a little cold?

HELEN : Opinion seems to be divided. Care to join me?

WILL : Uh...I'm not usually so good with heights, but...what the heck. Wow, that is quite a view.

HELEN : I come here to reflect, particularly when I can't sleep.

WILL : I'm guessing that happens a lot.

HELEN : You're finding all this too much, aren't you?

WILL : I don't know. I think I’m handling the whole world-turned-upside-down thing pretty well.

HELEN : But you're having a hard time accepting it.

WILL : If you were me, wouldn't you?

HELEN : I was you. A long time ago.

WILL : All this is extraordinary. It's beyond extraordinary. It’s just...it's not my world. I'm having a little difficulty wrapping my head around it.

HELEN : This wasn't an impulse on my part. I've known this was your destiny since you first came to my attention.

WILL : Yeah, since you knocked me down in an alley.

HELEN : Since you were eight years old, actually... when you told the world a monster killed your mother.

WILL : How'd you know about that?

HELEN : Not that anyone believed you. From then on you were the odd one. The strange child who saw monsters lurking in every shadow. The boy who cried wolf, until the fear and mockery became too much and you recanted. You couldn't possibly have seen what you did. You must have imagined it. But you didn't imagine it and that trauma spurred a lifelong commitment to the study of the mind. You became obsessed with perception. You published papers on how easily we mistake illusion for reality.

WILL : It was real. What I saw was real.

HELEN : The life you've built is the only way you could make sense of what happened to you, Will.

WILL : How can you expect me to help these creatures when one of them...one of them took everything from me?

HELEN : Only you can answer that.

WILL : You knew. You knew how this would affect me.

HELEN : It's your choice, Will. In the end, it's a massive leap of faith.

 

 

INT - WAREHOUSE

ASHLEY : Come out, you son of a bitch.

 DRUITT : You seem very angry.

AHSLEY : What the hell?

DRUITT : Is it because of your friend?

ASHLEY : I don't like people getting spiked on my watch.

DRUITT : He hardly seems worthy of your concern. Perhaps I should just give myself up.

ASHLEY : Funny, you don't strike me as a quitter!

DRUITT : That’s a nasty toy for someone your age.

AHSLEY : It’s a present from my mom.

DRUITT : Then you'd better have it back. You’re thinking, "Who is he? What is he? How will I bring him down?"

ASHLEY : Actually, just focused on your old man breath. That is some nasty bridgework, dude.

DRUITT : Ill manners do not become you, my dear.

ASHLEY : All right, enough of this. Let's get it on.

DRUITT : You have decent technique. Completely lacking in discipline, but impressive enough.

ASHLEY : Okay. Who are you?

DRUITT : Just someone new in town. Beyond that, I wouldn't want to be the one to spoil the surprise. Now...it's time you learned to respect your elders!

 

 

INT - SANCTUARY

HELEN
Yes, the shield is working. If it's him, we're safe. Actually, I’m not afraid of him harming me, more of what he may do to others, what he may have already done. If the truth were to come out, the consequences would be devastating.

 

 

INT - WAREHOUSE

ASHLEY : Okay. I grudgingly admit you've got some game.

DRUITT : I’ve been following your exploits for quite some time. You’re a very intrepid duo, you and your mother. Protect the innocent, study the bizarre, the inexplicable.

ASHLEY : Listen to rants from violent weirdos.

DRUITT : Hazardous work indeed.

SYLVIO : Hey, buddy... Nobody spikes my van.

DRUITT : Only the chosen left alive, immortals all, the holy five.

SLYVIO : Shut up.

ASHLEY : Thanks buddy.

SYLVIO : Now, he's got to be worth something.

 

 

EXT - SANCTUARY SIDE ENTRANCE

HENRY : I’m just saying that if you took the van every now and then instead of your bike, I wouldn't have to do retrievals in the middle of the night.

ASHLEY : Well, Henry, the only vans I ride have Lord Poseidon airbrushed on the side.

HENRY : What?

ASHLEY : Vans are for losers, I like my bike.

HENRY : Nice. Now, see, he looks harmless enough.

ASHLEY : He took 10,000 volts plus a triple tranq.

HENRY : So he's going to have a serious migraine whenever he does wake up. So, what do you think his thing is?

ASHLEY : I don't know, leave that to mom. All I know is he was a serious handful. Ask Sylvio.

HENRY : Sylvio's a baby. He whined all the way to Dr. Lin's. A few special herbs and spices, he'll be fine.

ASHLEY : Whatever. Process the ghoul. Let mom know. Me, I am hitting the showers.


HENRY : Okay, cool. Hey, where do you want him? Gen pop. or the SHU? I mean, he's going to be asleep for, like, two days.

ASHLEY : The SHU. Definitely maximum security for this guy.

 

 

INT - THE SHU

HENRY : Okay, well, enjoy your stay.

DRUITT : I plan to.

HENRY : Ah! Crap. Seriously, dude, you're on, like, nine different security cameras right now. There's no way you're getting out of here.

DRUITT : Oh, I have no intention of leaving. Now...what section are we in? It seems so welcoming.

HENRY : It’s where we keep the bad things.

DRUITT : Mmm.

HENRY : The worst of the worst.

DRUITT : Mm, I like the sound of that. That’ll do. Please...show me around.

HENRY : Yeah.

DRUITT : This is it?

HENRY : Yes, but all security measures can be remotely reactivated so really there's no point in. Wow, okay, we're cool.

DRUITT : This facility is protected by an energy field, is it not?

HENRY : It’s a modified EM bubble, protects outside interference from jamming devices.

DRUITT : Is that what she told you it was for? Clever girl.

HENRY : What is it for?

DRUITT : Me. Shut it down.

HENRY : Wait a minute, that doesn't make any sense. How-

DRUITT : Shut it down.

HENRY : Okay. Done.

DRUITT : Thank you. You've been very helpful.

 

 

INT - SANCTUARY ASHLEY’S ROOM

HELEN : Ashley...

ASHLEY : I know, you told me to stay in.

HELEN : Where were you tonight? What happened?

ASHLEY : Nothing major. Sylvio and I ran into a bit of trouble.

HELEN : Trouble?

ASHLEY : Some super-fast psychopathic dude. Nothing we couldn't handle.

HELEN : How fast?

ASHLEY : Pretty hot moves for a tall guy. He had a great accent, too, kind of like yours only, uh, more evil.

HELEN : Stay here and I mean here.

ASHLEY : Relax, Henry put him in the SHU. We're fine.

HELEN : No, we're not!

ASHLEY : Mom...

 

 

INT - SANCTUARY HENRY’S WORK AREA

WILL : Henry...What happened?

 

 

INT - SANCTUARY HELEN'S OFFICE

ASHLEY : Mom, why are you freaking out?

HELEN : Grab what weapons you can. We'll need them.

ASHLEY : No, not until you tell me why this ghoul is such a problem.

HELEN : Because he'll kill us both! He allowed himself to be captured by you, I'm certain of it. We may only have moments before-

ASHLEY : Bloody hell!

DRUITT : Hello, Helen.

HELEN : John...

DRUITT : Wonderful to see you again.

ASHLEY : You know this ghoul?

DRUITT : Oh...your mother and I go way back.

HELEN : John, don't! This is about you and  me, not her.

DRUITT : For the moment. You have no idea what it's been like... alone, wandering this godforsaken world, wanting only peace. A fragment of what we had. What I lost...

HELEN : You have nothing to gain by harming her. Or me.

ASHLEY : Mom, shoot him!

DRUITT : Shall we drop the pretence? You know exactly why I’ve come and what I want. It's all within reach, everything I’ve ever wanted. And you're going to give it to me, or she will die.

ASHLEY : Mom!

HELEN : Oh, bloody hell...

 

 

INT - SANCTUARY SHU CELL

ASHLEY : Please don't do this.

DRUITT : I don't know much about your mother's pets, but... I would imagine staying very still would be advisable.

 

 

INT - SANCTUARY HELEN'S OFFICE

DRUITT : Ah, I knew him well.

HELEN : Where is she? Where is she?!?

DRUITT : I’d tell you she was safe, but I’d be lying. No, your scruffy little helper mentioned something about where the worst of the worst are kept.

HELEN : You bastard.

DRUITT : Oh, no doubt she helped capture whatever is in there and they can reminisce.

HELEN : Threatening her-

DRUITT : Is my only option, Helen. I can hardly threaten you. Using one of your own precious creatures as the blunt instrument... Some of my best work, I think. I’ll get there first. And just put her someplace more dangerous. I don't want her to die, Helen, but that is exactly what will happen if you test my resolve.

HELEN : There’s only one reason you would have taken this risk, to risk her. Because you have to. You're dying, aren't you?

DRUITT : We’re all dying. It simply comes down to survival, and I intend to do whatever is necessary to ensure mine.

HELEN : Even if it means killing her?

DRUITT : Her life is in your hands, Helen. I don't think you want to lose her over something as easily accessible as your own blood. You saved my life once before. You can do it again.

HELEN : I can help you, John, and not by prolonging this nightmare. I can find a cure.

DRUITT : She clearly doesn't know.

HELEN : How could I possibly tell her?

DRUITT : She must have asked how she came by her killer instincts.

HELEN : She thinks her father's dead.

DRUITT : I wonder how she'd feel to learn the truth.

HELEN : Your mind is poisoned, John, through no fault of your own.

DRUITT : Helen Magnus, friend to nature's abominations and enemy of common sense! Your blood, Helen! Oh, time is growing short.

 

 

INT - SANCTUARY MULT-LEVEL ROOM

WILL : Okay, so I’m guessing that's not normal.

 

 

INT - SANCTUARY SHU CELL

WILL : Find Magnus! Ashley...Ashley, we're going to get you out of here, okay?

 

 

INT - SANCTUARY HELEN'S OFFICE

DRUITT : How can I be sure?

HELEN : It’s mine. Centrifuged, pure.

DRUITT : Thank you, Helen. You won't regret it.

HELEN : I’m sorry I can't say the same for you. Forgive me, John.

DRUITT : The Five, the others...will come.

 

 

INT - SANCTUARY SHU CELL

WILL : Ha! Come on we got to go. We got to go. Stay in the light!

HELEN : I’ve got her, I’ve got her.

HENRY : Dude, are you nuts?

WILL : It’s a distinct possibility.

 

 

INT - SANCTUARY HALLWAY NEXT DAY  

ASHLEY : Hey, Will.

WILL : Hey...Wow...How you feeling?

ASHLEY : Fine, it just...broke the skin. So I wanted to say that, uh...I might've underestimated you. A little. Saving my life...was good.

WILL : Yeah, well...any time.

ASHLEY : So, we'll see you around?

WILL : Honestly, I don't know.

ASHLEY : You know, my mom can be pretty dark and weird, but she's good at this. And if those are for the big guy, he's allergic.

WILL : Thanks.

 

 

INT - SANCTUARY INFIRMARY

WILL : Two days ago, you were the stuff of nightmares. After my mom was killed, I, uh... I was terrified... of things that I didn't understand, things that I- I couldn't understand. But now...now. Maybe there is no such thing as a monster. Forget it. Just get better, all right?

BIGFOOT : Will...

WILL : Did you just...

BIGFOOT : It isn't true.

WILL : W- What? What's not true?

BIGFOOT : There is such a thing as monsters.

 

 

INT - SANCTUARY HELEN'S OFFICE

HELEN : Leaving Dr. Zimmerman? How unfortunate.

WILL : What you've built here, and the research that you've done... Thirty minutes in that library, and I got to the bottom of questions I didn't even have the sense to ask. Some of the most confounding cases I'd ever worked on were suddenly crystal clear.

HELEN : And yet you're ready to walk away.

WILL : Just...just hear me out, please. You invited me here because you said I was a truth-seeker, just like you. But I know you've withheld things from me.

HELEN : What things, Will?

 

 

FLASHBACK TO YOUNG WILL

HELEN : It’s all right. You're safe now.

END OF FLASHBACK

 

 

WILL : You were there, weren't you?

HELEN : She was an extraordinarily brave woman. She died protecting you from that creature.

WILL : You could have stopped it! Done something!

HELEN : We tried, Will. I swear to you, we tried. It all happened so quickly, we barely had time to rescue you.

WILL : You couldn't have been more than, what, 14 15 at the time? Teenage monster hunter? I don't think so. And then there's your recent guest, Druitt. Turns out that a John Druitt was one of Scotland Yard's prime suspects in the Ripper Case in the 1880s.

HELEN : Yes, he was my first patient.

WILL : Which means... either one or both of you can travel through time, either that or you're more than-

HELEN : I am 157 years old.

WILL : How is any of this possible?

HELEN : When you work at the frontiers of science for as long as I have, the rewards and curses are...unexpected.

WILL : My God...you treated one of the most notorious serial killers of all time.

HELEN : He wasn't always that. He was dying. I gave him my blood to prolong his life, but it all went wrong.

 

 

FLASHBACK TO 1880s STREET

MOLLY : Lonely tonight, gentlemen?

DRUITT : Still at it, Molly?

MOLLY : Oh...Mr. Druitt, you frightened me. No rest for the gifted, you know that.

DRUITT : Indeed I do.

MOLLY : You shouldn't be in the habit of jumping out at the ladies these days, what with all the troubles.

DRUITT : What was I thinking? Forgive me.

HELEN : John! This ends here.

DRUITT : Helen, what a lovely surprise. Molly, I would like you to meet my fiancée. Or, should I say, former fiancée, Helen Magnus. Doctor Helen Magnus.

MOLLY : Doctor? I'm pleased to meet you, ma'am. Well...I'll be on my way.

DRUITT : Stay. I insist.

HELEN : John, let me help you before you make things worse.

DRUITT : And how is that possible? I've already murdered, what, seven whores? How could one more make the slightest difference?

MOLLY : Murdered?

DRUITT : What more have I to lose?

HELEN : Your power's driving you mad, John. I can help.

DRUITT : My power is all I have left.

HELEN : Let her go.

DRUITT : As the lady wishes.

RETURN TO PRESENT  

 

 

HELEN : I’ve spent all the intervening years trying to undo that mistake.

WILL : He was more than your patient, wasn't he? Ashley...

HELEN : I kept the embryo frozen for over a century, until I could bear the loneliness no longer. I brought it to term believing John was gone for good. I underestimated his determination.

WILL : Okay, here's the deal. If we're going to work together, the first rule, the only rule, is that you're straight up with me.

HELEN : I’ve just trusted you with my deepest, darkest secret.

WILL : I know, it's just...I just know that I've spent a lifetime living a lie and I can't do it anymore.

HELEN : I understand.

WILL : No, I’m serious. You open this place up to me, every monster, every room, everything that crawls, flies, teleports. If I’m going to be of any use to you I've got a... I got a lot of catching up to do.

HELEN : To say the least.

WILL : You know, I was hoping that at least you would be normal.

HELEN : Sorry to disappoint. Is there anything else?

WILL : Is there a health plan?

HELEN : No, but I can promise you the adventure of many, many lifetimes. Shall we begin?

 

 

Source:  Sanctuary Wikia

modifié par Twitalist

 

 

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chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Avant-hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Avant-hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, Hier à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

Viens chatter !