Sanctuaire pour tous (2nd partie)
Précédemment dans sanctuary
Policier : Je vais te tendre la main et tu vas l'attraper d'accord ? Allez approche.
Policier 2 : Non de Dieu.
Kavanaugh : En faite je parle dans le vide quand je vous dit qu'on a arrêté le tireur.
Will : Je ne pense pas qu'il y ai eu des coups de feu.
Will : Hé. Hé petit. Attend une minute.
Helen : J'aurais préféré qu'on se rencontre dans d'autre circonstance.
Will : Madame Lutrova, je comprend que vous ayez du passer la nuit la plus atroce de votre vie, mais vous avez menti et ca on le sait tout les deux.
Kavanaugh : Rentrez chez vous Zimmerman.
Will : Pourquoi vous refuser de m'écouter ?
Kavanaugh : Parce que c'est à cause d'aberration de ce genre qu'on vous a mis à la porte du FBI.
Will : Ne soit pas hypocrite, tu m'as toujours pris pour un barjot.
Meg : Si jamais il existe un truc qui te permet de dormir la nuit, j'espère que tu le trouveras.
Helen : Comment va votre tête ?
Will : Quoi ? C'est vous qui m'avez renversé ?
Helen : Vous étiez sur mon chemin.
Will : Comment ça ?
Helen : Je poursuivais le garçon moi aussi. La police détient un innocent mais ce petit garçon que vous avez vu est bien réel, on doit l'aider il en a besoin.
Will : Mais qui êtes vous ?
Helen : Disons que je fais partie des personnes qui on choisi d'accepter la réalité dans ce quelle a de plus extraordinaire.
Helen : Il y a des choses dans cette ville et dans ce monde que les gens refusent d'admettre et qui sont réelle.
John : Effectivement je cherche une chose précise. Ce sanctuaire n'accueille à ce qu'il paraît des invités très particulier.
Helen : Vous devez avoir des question à me poser, non ?
Will : Juste une. Comment se fait il qu'il n'y ai pas d'orgue ?
Helen : Je dois vous prévenir docteur Zimmerman, nous sommes sur le point de quitter votre monde.
Helen : Bienvenu dans mon sanctuaire.
Helen : Ici les patients restent dans leur cellule, on les internes certes, mais c'est pour leur bien. Pour d'autre, c'est un refuge de dernier recours. Ce n'est pas un zoo ici, et encore moins une prison.
Helen : Le plus important, c'est que mes patients disposent d'un endroit où ils sont en sécurité.
Will : Vous êtes entrain de me proposer un boulot ?
Helen : Là où d'autre ne vois que l'entêtement d'un pauvre raté, je vois de grande possibilité. Vous osez imaginer des choses inimaginables.
Will : Vous êtes qui vous ?
Ashley : Je vous retourne la question.
Helen : Tu avais dit que tu le tenais.
Ashley : C'était le cas.
Helen : Arrête, il nous le faut vivant.
Will : Hé, hé, hé, par ici.
Helen : Docteur Zimmerman, voici Ashley ma fille.
Will : Vous aviez quel age quand vous l'avez eu, 12 ans.
Helen : Les détails n'ont aucunes importance. Ashley est ma fille biologique. Et elle m'est indispensable dans mon travail.
Helen : Je vais tout d'abord déterminer le traitement approprié. On a aucun espoir de l'aider si on ne parvient pas à gagner sa confiance.
Will : Il n'y a rien dans mes connaissances qui me permettrais de m'occuper d'un patient tel que lui.
Helen : Regardez plutôt l'enfant et si vous y arrivez alors tout est possible. Dans le cas contraire tant pi. J'admettrais que je me suis trompée sur votre compte. C'est à vous de voir.
Générique
Sanctuaire
Will : Détachez le. S'il vous plait. Tout ira bien. Ca va aller. Je vous assure. Comment ça va ? Tu veux t'assoir ?
Henry : C'est cruel comme entretien d'embauche non ?
Helen : Je n'ai pas besoin de votre opinion Henry.
Henry : Ce que je veux dire, c'est qu'il est novice et qu'on le met en présence d'un nouvel arrivant.
Helen : Qu'il nous a aidé à capturer.
Henry : Oui d'accord, mais il a peut être fait ça d'instinct. Même un écureuil aveugle arrive à trouver une noisette. Ou un macaque une banane. Je m'en souviens jamais.
Helen : Vous avez ce que j'ai demandé ?
Henry : Oui, les analyses de la matière visqueuse que vous avez prélevé dans le lobe frontale des flics. Il y a peu d'endroit où on peut trouver des traces de radiations aussi pure. Il y en a surtout dans l'ex URSS, mais si on compare les traces minérales de l'échantillon de plutonium aux opérations minières recensé dans chacun des pays le l'ex union soviétique.
Helen : Tchernobyl.
Henry : C'est la seule ville au monde où il y a plus de compteur gegère par habitant que de montre.
Helen : La plupart des survivants de cette catastrophe on déménagé et on eu des enfants.
Henry : Oui, si on peut les appeler comme ça.
Helen : Votre délicatesse est vraiment déconcertante.
Henry : Ce gosse est un aspirateur à cerveau. Je suis le plus objectif possible.
Helen : Est ce qu'il y a autre chose ?
Henry : Euh non pas vraiment. On a retrouvé le corps d'une prostitué derrière un entrepôt non loin d'ici, elle a été tuée il y a à peu prêt 4 heures.
Helen : Comment a t-elle été tuée ?
Henry : Elle a été poignardé, c'est un meurtre classique, personne n'a rien vu et la police n'a aucun indice.
Helen : Envoyez moi ce que vous avez.
Henry : Vous croyez c'est important, je compati c'est très triste, mais ca n'a aucun rapport avec…
Helen : Faites ce que je vous dit.
Henry : D'accord, ça marche. D'accord, je vais transférer les images de surveillance de cette partie de la ville sur le réseau centrale qui à ce propos continu de déconner un max. Vous aviez reçu ma demande concernant les mise à jours.
Helen : On verra ça plus tard.
Henry : Ok d'accord. Au faite, si vous voulez nettoyer l'aile 2, je ne veux pas en entendre parler.
Henry : Je croyais que ta mère t'avais privé de sortie.
Ashley : C'est le cas. Je sors juste chercher des trucs de fille.
Henry : Oui, comme par exemple une caisse de mitraillette.
Ashley : Alors tu veux pas que je te rapporte de quoi nous défendre.
Henry : Ah, je t'ai pas vu.
Ashley : T'es super cool.
Will : Whao whao, hé on fait un break deux secondes. On se calme. Tout le monde se calme, on fait un break d'accord ? Je sais que tu es censé me faire peur, mais écoute moi bien, tu vois cet homme là ? Il me fait beaucoup plus peur que toi. Sans vouloir vous vexer. Alors calme toi s'il te plait. Tu es calmé ça y es ? Ca va aller. Ca va aller. Détend toi. Ok dit moi pourquoi tu essayes plus de m'aspirer le cerveau ? Je crois que j'y vois un peu plus claire. Moi j'ai peur de toi, et moi, tu as envie de me manger le cerveau. Ok. Je vais reposer cette chaise. Comment tu t'appelles ?
Alexei : Alexei.
Will : Moi c'est Will. Tu veux me raconter ce qui s'est passé ?
Alexei : Je vivais à Kiev avec mes parents. Ils m'ont dit que j'étais pas en sécurité. Et si des gens découvraient mon existence, ils viendraient m'emmener. Un jour une famille a voulu m'adopter et m'a emmené en Amérique. Ils étaient différents de moi, et quand ils ont vu …
Will : Ce n'était pas vraiment l'accueil que tu avais espérer c'est ça ?
Alexei : Ils avaient peur. J'ai tout fait pour calmer les choses mais c'était la peur qui était la plus forte.
Will : Alors plus on a peur, et plus il se manifeste. Et tu n'arrives pas à le contrôler. C'est un mécanisme de défense qui a son propre raisonnement.
Alexei : C'est pas ma faute. Je ne veux pas tuer.
Will : Non tu cherches juste à te protéger. Écoute moi bien, Alexei. Tu sais ce sentir en sécurité c'est un besoin qu'on partage tous. Il ne faut surtout pas te sentir coupable. Rassure toi, tu es comme tout le monde tu sais.
Alexei : Vous n'avez pas peur de moi ?
Will : Non.
Helen : Magnifique.
Dans un entrepôt
Silvio : Un anaconda sueur de cerveau et qui vit à l'intérieur d'un intestin whao. J'aurais bien voulu voir ça.
Ashley : Revenons à nos moutons.
Silvio : Calme toi ma poule. On a bien le droit de plaisanter.
Ashley : Silvio s'il te plait arrête ton char. Je suis sur que tu es entrain de te creuser les méninges pour savoir quel prix tu pourrais tirer de ce gamin sur le marché.
Silvio : La cupidité ça fait parti de mes défauts.
Ashley : Si tu veux travailler avec nous, tu respects nos règles et tu le sais.
Silvio : Oui, oui, oui. J'en ai marre de me cantonner au rôle de protecteur et d'homme à tous faire. D'accord ? Peace love etc …
John : Puis je avoir votre attention ?
Ashley : Merde Silvio, est ce que ca va ?
Silvio : J'ai connu mieux. Ton flingue.
Ashley : On se tire.
Silvio : C'est incroyable ce que ca fait mal nom de Dieu. On le connait lui ?
Ashley : J'en sais rien pour le moment.
Silvio : T'occupes pas de moi. Tire toi.
Ashley : T'es sur ?
Silvio : Ashley, je vais hurler comme une gonzesse alors je veux que tu te casses.
Ashley : Ok, t'inquiètes.
Will : Ne faites pas ça. Vous avez encore toute la vie devant vous.
Helen : Si vous saviez.
Will : Vous aimez prendre les choses de haut.
Helen : Tout est une question de point de vue. Vous me rejoignez ?
Will : Ah, j'ai tendance à avoir le vertige mais, … allez je me lance. Whao, la vue est imprenable.
Helen : J'aime venir réfléchir ici. Surtout quand je n'arrive pas à trouver le sommeil.
Will : J'imagine que ça se produit souvent.
Helen : Tout ça, ça fait beaucoup pour vous n'est ce pas ?
Will : J'en sais rien. Je crois que j'arrive à concevoir que le monde ne soit pas tel qu'on a l'habitude de le voir.
Helen : Mais vous avez beaucoup de mal à l'accepter, c'est ça ?
Will : Mettez vous à ma place.
Helen : J'y étais, figurez vous. Il y a très longtemps.
Will : Tout cela est extraordinaire. Euh, c'est même plus qu'extraordinaire. C'est juste que … c'est pas mon univers. Et j'ai toutes les difficultés du monde à comprendre, ça c'est sur.
Helen : Je n'ai pas fait ca sur un coup de tête, croyez moi. Des que j'ai fait votre connaissance j'ai su que vous aviez un rôle important à jouer.
Will : Oui, quand vous m'avez renversé dans cette ruelle.
Helen : Non depuis que vous avez huit ans. En faite, depuis que vous avez crier qu'un monstre avait tué votre mère.
Will : Comment vous pouvez le savoir ?
Helen : Personne n'a cru à votre histoire, et tout le monde vous à catalogué. Vous étiez cette étrange enfant qui voyait des monstres tapi dans l'obscurité. L'enfant qui criait au loup, mais les moqueries ont eu raison de vous alors vous vous êtes rétracté. Vous n'aviez pas pu voir ce que vous aviez vu, vous aviez du l'imaginer. Mais vous n'aviez rien imaginé. Et ce traumatisme vous a poussé à consacré votre vie à décortiquer l'esprit humain. La perception des choses est devenu une véritable obsession. Dans vos articles vous parlez de la confusion entre illusion et réalité.
Will : Tout était vrai. Ce que j'ai vu est arrivé.
Helen : Vivre dans le dénie était pour vous la seule façon d'accepter ce que vous avez vu à l'époque.
Will : Comment pouvez vous imaginer que je vais aider ces créatures. Alors que l'une d'elle … m'a prit ce que j'avais de plus chère au monde.
Helen : Vous êtes le seul à avoir la réponse.
Will : Vous saviez ? Vous saviez quel effet ça aurait sur moi ?
Helen : C'est votre choix Will. En fin de compte ca va bousculer vos convictions les plus profondes.
Ashley : Montre toi espèce de salaud.
John : Tu as l'aire très en colère.
Ashley : Où est ce qu'il est ?
John : C'est à cause de ce que j'ai fait à ton amis ?
Ashley : J'aime pas que les gens se fasse embrocher en ma présence.
John : Il ne mérite vraiment pas que tu t'inquiètes pour lui. Il faudrait peut être que je songe à me rendre.
Ashley : J'ai vraiment pas l'impression que tu abandonnes si facilement.
John : Lâche ça. C'est un jouet beaucoup trop dangereux pour quelqu'un de ton age.
Ashley : C'est un cadeau de ma mère.
John : Je préfère que tu le récupères. Tu dois te demander qui je suis. Ou ce que je suis. Et comment tu peux me descendre.
Ashley : J'étais plutôt entrain de me demander pourquoi tu puais de la gueule, t'as les dents pourris, c'est pas possible autrement.
John : Sois poli si tu n'es pas jolie ma chère.
Ashley : Très bien, trêve de plaisanterie. Passons aux choses sérieuses.
John : Tu as une sacré technique. Ca manque totalement de discipline, mais c'est quand même impressionnant.
Ashley : D'accord. Qui es tu ?
John : Quelqu'un que tu n'as pas pu croiser avant. A part ça, je n'ai pas tellement envie de te gâcher la surprise. Mais pour l'heure, il est temps que tu apprennes à respecter tes ainés.
Au sanctuaire
Helen : Oui, le bouclier fonctionne, si jamais c'est lui, on est à l'abri. Non, je n'ai pas du tout peur qu'il me fasse du mal. J'ai peur de ce qu'il pourrait faire aux autres et de ce qu'il a déjà fait. Si la vérité venait à se savoir, les conséquences seraient dévastatrice.
Dans un entrepôt
Ashley : D'accord. Je suis bien obligée d'admettre que tu te défends plutôt pas mal.
John : Je suis tes exploits depuis un bon bout de temps. Toi et ta mère vous formez un sacré duo, c'est indéniable. Vous protégez les innocents, vous vous intéressez aux choses bizarre et inexplicable
Ashley : On écoute les conneries des barges de ton espèce.
John : C'est un travail très dangereux.
Silvio : Hé vieux. Personne m'embroche moi.
John : Les cellules vivront n'ayez crainte, les immortels et la sainte quinte.
Silvio : La ferme.
Ashley : Merci mon pote.
Silvio : Il doit bien valoir du pognon.
Dans la rue prêt du sanctuaire
Henry : Ce que je veux dire c'est que si tu prenais la fourgonnette de temps en temps au lieu de prendre ta moto, j'aurais pas à me déplacer au beau milieu de la nuit.
Ashley : Franchement Henry, les seules fourgonnette que je conduis elles ont lord Poséidon peint à l'aérographe sur les ailes.
Henry : Quoi ?
Ashley : Les fourgonnettes c'est pour les ringards. Je préfère prendre ma moto.
Henry : Merci. Il me semble pas dangereux.
Ashley : Il s'est pris dix mille volte et une triple dose de tranquillisant.
Henry : Il va avoir une sacré migraine à son réveil. Si jamais il se réveil. Il est quoi comme catégorie.
Ashley : J'en sais rien, c'est maman la spécialiste. Moi tout ce que je sais, c'est qu'il nous a donné du file à retordre. Demande à Silvio.
Henry : Oh Silvio, c'est une poule mouillé. Il pleurnichait en allant chez le docteur Leen. Avec des épices et des herbes médicinales il s'en remettra.
Ashley : Si tu le dit. Occupe toi de lui et préviens maman. Moi je vais me prendre une douche.
Henry : Ok cool. Je le met où, avec les autres ou bien au niouf. Il va dormir au moins pendant deux jours.
Ashley : Au niouf. Il faut des conditions de sécurité maximum pour ce type.
Au sanctuaire
Henry : Bon allez. Amusez vous bien.
John : C'est mon attention.
Henry : Et merde. Vous savez, il y a 9 caméras de surveillance braqués sur vous alors ça va pas être facile de se tirer.
John : Oh, je n'ai pas l'intention de partir d'ici. Dites moi, on est dans quel coin du sanctuaire ? Ca à l'air très accueillant.
Henry : C'est là qu'on garde les plus dangereux. Les pires des spécimens.
John : J'adore ce genre de cri. Arrêtez. Soyez gentil, faites moi faire la visite.
Henry: D'accord.
John : Nous y voilà.
Henry : Oui. Cela dit, toute les bouclier de protections peuvent être réactivé à distance alors je ne crois pas pourquoi hé hé vous énervez pas.
John : Ces installations sont protéger par un champ énergétique ?
Henry : Une bulle électromagnétique qui empêche l'utilisation de système de brouillage.
John : Elle vous a dit que c'était pour ca ? Pas idiot.
Henry : C'est contre quoi alors ?
John : Moi. Éteignez le.
Henry : Attendez une minute, ca n'a pas de sens, comment …
John : Pas de discussion. Faites le.
Henry : D'accord. C'est fait.
John : Merci. Vous êtes bien aimable.
Helen : Ashley.
Ashley : Je sais que tu voulais pas que je sorte.
Helen : Ou étais tu ce soir ? Qu'est ce qui s'est passé ?
Ashley : Rien de bien grave, Silvio et moi on a eu un petit problème.
Helen : Un problème ?
Ashley : Une espèce de type super rapide nous est tombé dessus, mais t'inquiète pas, on a géré.
Helen : Très rapide ?
Ashley : Plutôt impressionnant vu sa taille. Il avait une drôle façon de parler, un peu comme toi mais en plus cruel.
Helen : Reste ici et obéi cette fois.
Ashley : Pas de panique, Henry la mis au niouf, tout va bien.
Helen : Non, tu te trompes.
Ashley : Maman.
Will : Henry. Qu'est ce qui s'est passé ?
Ashley : Maman, pourquoi tu t'excites.
Helen : Récupère un maximum d'arme, on en aura besoin.
Ashley : Non, pas avant que tu m'expliques en quoi ce type est un tel problème.
Helen : Parce qu'il va nous tuer toi et moi. Il s'est laissé capturé volontairement j'en mettrai ma main au feu. Il ne nous reste que très peu de temps.
Ashley : Putain je rêve.
John : Bonsoir Helen.
Helen : John.
John : C'est une immense joie de te revoir.
Ashley : Tu connais ce dingue ?
John : Ta mère et moi, on se connait depuis un bail.
Helen : John, fais pas ca. C'est pas son problème. C'est le notre.
John : Pour le moment. Tu n'as pas idée de ce que j'ai eu à supporter tout seul, à errer dans ce monde maudit des Dieux. Je ne désirais que la paix et retrouver un peu de ce qu'on avait. Ce qu'on avait et que j'ai perdu.
Helen : Tu ne gagneras rien en t'en prenant à ma fille ou à moi.
Ashley : Mais pourquoi tu tires pas ?
John : Trêve de plaisanterie, tu connais très bien la raison de ma présence. Je vais enfin avoir ce que je veux. Tout est à ma porté à présent. Alors donne le moi ou bien elle mourra.
Ashley : Maman.
Helen : Oh c'est pas vrai.
Ashley : Pitié, ne faites pas ça.
John : Je ne connais pas très bien les bestioles de ta mère. Mais si tu veux mon avis, rester parfaitement immobile serait une très bonne attitude.
John : Oh, je l'ai bien connu.
Helen : Où est elle ? Où est elle ?
John : J'aimerai te dire qu'elle va bien, mais je n'aime pas mentir. Oh, c'est vrai, ton assistant dévoué m'a parlé d'un endroit spécialement réservé aux pires des monstres que vous avez capturé.
Helen : Espèce d'ordure.
John : Comme elle a du t'aider à attraper ces créatures, leurs retrouvailles promettent d'être émouvante.
Helen : Pourquoi elle ?
John : Je n'ai pas trop le choix Helen, je peux difficilement m'en prendre à toi. Alors utiliser une de tes précieuses créature comme instrument de ta torture. Je dois avouer que c'est un trait de génie. J'y serais avant toi. Et je la mettrais dans une position encore plus dangereuse. Je ne veux pas qu'elle meurt Helen. Mais c'est exactement ce qui arrivera si tu ne me prends pas au sérieux.
Helen : Il n'y a qu'une seule raison qui te pousserait à prendre ce risque. Tu fais ca parce que tu vas mourir. Je sais que j'ai raison.
John : On va tous mourir. Tout le monde se bat pour sa propre survie et j'ai l'intention de faire tout ce qui est nécessaire afin d'assurer la mienne.
Helen : Tu irais même jusqu'à la tuer.
John : Sa vie est entre tes mains. Je ne pense pas que tu serais disposé à la perdre rien que pour éviter une simple piqure. Souviens toi, tu m'as déjà sauvé la vie une fois, non ? C'est dans tes cordes.
Helen : John, je peux t'aider, mais pas en prolongeant ce cauchemars. J'ai les moyens de te soigner.
John : A ce que j'ai vu, elle ignore tout.
Helen : Qu'est ce que j'aurais pu lui dire.
John : Elle doit bien se demander d'où lui viens ce formidable instinct de destruction.
Helen : Elle croit que son père est décédé.
John : Je me demande ce que ca lui fera de découvrir la vérité.
Helen : Ton esprit est corrompu John. Et tu n'en es pas responsable.
John : Helen Magnus, féru de nature et de ses abominations et ennemi farouche du bon sens. Donne moi ton sang Helen. Il te reste peu de temps.
Will : Attendez, j'imagine que ca c'est pas très normal.
Will : Allez chercher Magnus. Ashley, Ashley. Ca va aller Ashley.
John : Est ce que c'est bien ton sang ?
Helen : Oui, c'est le mien. Centrifugé, épuré.
John : Merci Helen. Tu n'auras pas à le regretter.
Helen : Je ne peux pas en dire autant pour toi malheureusement. Pardonne moi John.
John : Méfie toi, les cinq, les autres viendront.
Will : Venez, il faut y aller. Faut y aller, courage. Restez pas dans le noir.
Helen : C'est bon, je m'en occupe.
Henry : Dis donc, mais t'es cinglé ou quoi ?
Will : C'est très probable oui.
Ashley : Hé Will.
Will : Ashley. Whao. Comment vous sentez vous ?
Ashley : Ca va, c'est juste superficiel. J'ai quelque chose à vous dire. Euh, je pense que je vous ai mal jugé, apparemment. Vous m'avez sauvé. Ca c'était cool.
Will : Oui et bien, à votre service.
Ashley : Alors on se reverra ?
Will : J'en sais encore rien.
Ashley : C'est vrai que ma mère peut paraître relativement bizarre, mais elle sait ce qu'elle fait. Laissez tomber les fleurs pour le colosse, il y est allergique.
Will : Entendu.
Will : Il y a deux jours, vous m'auriez foutu une sacrée pétoche. Quand ma mère est morte, j'ai souffert. J'étais terrifié, je voyais des choses étrange, des choses inexplicable. Et maintenant, je sais pas. Peut être que les monstres n'existent pas au fond. Bref, tachez de vous remettre d'accord. Vous avez dit quelque chose ?
Bigfoot : Il faut y croire.
Will : Quoi, quoi, à quoi dois je croire ?
Bigfoot : Il faut croire aux monstres. Ils existent réellement.
Helen : Alors vous nous quittez docteur. Comme c'est dommage.
Will : Ce que vous avez construit ici, les recherches que vous avez faites. 30 minutes dans votre bibliothèque et je me suis posé des question qui m'avait jamais effleuré avant. Dans mon métier, j'étais confronté à des affaires plus qu'énigmatique. J'ai toutes les réponses.
Helen : Et pourtant vous décidez de nous quitter.
Will : Écoutez, laissez moi terminer. Vous étés venu me chercher parce que vous pensiez que j'avais soif de vérité, tout comme vous. Mais je sais qu'il y a des choses que vous m'avez caché.
Helen : De quelle chose parlez vous ?
Flashback
Will : Ah ah ah
Helen : Ca va aller. Tout va bien maintenant.
Fin du flashback
Will : Vous avez tout vu. Pas vrai ?
Helen : Votre mère avait un courage admirable Will. Et elle est morte pour vous protéger de cette créature.
Will : Vous auriez pu empêcher ça. Il y avait bien un moyen.
Helen : On a essayé Will. Je vous promet qu'on a tout essayé. Ca s'est passé tellement vite qu'on a à peine eu le temps de vous sauver.
Will : Vous n'aviez pas plus de quoi 14 ans, 15 ans maximum. On chasse les monstres à 14 ans ? C'est pas très crédible. Sans compter votre récente invité Druit. Un certain John Druit s'était rendu célèbre. Scotland yard le poursuivait à l'époque de Jack l'éventreur à la fin du 19ème siècle.
Helen : Exact. Il a été mon premier patient.
Will : Si je comprends bien, soit vous pouvez tout les deux voyager dans le temps. Soit vous avez bien plus que vous le dites.
Helen : Will, j'ai aujourd'hui 157 ans.
Will : Whao. Comment tous cela est il possible ?
Helen : Quand vous explorez comme moi les limites de la science, les récompenses et les malédictions sont assez imprévu.
Will : Mon Dieu. C'était l'un des plus célèbre serial killer et vous l'avez soigné quand même.
Helen : Il n'a pas toujours été comme ça. Il était mourant. Je lui ai donné mon sang pour lui sauvé la vie. Bien mal l'on prit.
Flashback
Femme : Vous cherchez un peu de compagnie ?
John : Toujours sur le pont Molly.
Molly : Monsieur Druit. Vous m'avez fait peur. Pas de repos pour les braves. Vous le savez.
John : A qui le dis tu ?
Molly : Vous ne devriez pas surgir comme ça dans les rues sombre, vu les récent évènement.
John : Oh, c'est idiot de ma part, désolé.
Helen : John, c'est fini tout ça.
John : Helen. Quelle délicieuse surprise. Molly, j'aimerais te présenter ma fiancé ou devrais je dire mon ex fiancé Helen Magnus. Le docteur Helen Magnus.
Molly : Docteur. C'est un plaisir de vous rencontrer madame. Et bien, je vais m'en aller maintenant.
John : Reste, chère amis, j'insiste.
Helen : John, laisse moi t'aider avant que tu commettes l'irréparable.
John : M'aider voyons c'est impossible. J'ai déjà massacré au moins sept prostitués. Une de plus ou une de moins ca ne fera pas une grande différence.
Molly : Massacré.
John : Je n'ai plus rien à attendre.
Helen : Tes pouvoirs te font perdre la raison. Laisse moi t'aider.
John : Mes pouvoirs c'est tout ce qu'il me reste.
Helen : Lâche la John.
John : Si madame le désire.
Fin du flashback
Helen : J'ai passé les années qui ont suivit à essayer de réparer cette énorme erreur.
Will : Il n'était pas seulement votre patient, n'est ce pas ? Ashley.
Helen : J'ai gardé l'embryon cryogénisé pendant plus d'un siècle jusqu'à ce que la solitude me devienne insupportable. Je l'ai amené à terme en pensant que jamais John ne reviendrait. J'ai sous-estimé sa détermination.
Will : Je vois. Écoutez, si je travaille avec vous, la première condition que j'impose, c'est que vous ne me mentiez plus.
Helen : Je viens de vous confier le plus sombre et le plus profond de mes secrets, n'est ce pas ?
Will : Je sais, c'est juste que je viens de réaliser que ma vie n'a été qu'un mensonge jusqu'ici. Et je ne veux plus qu'on me mente.
Helen : Message reçu.
Will : Je ne plaisante pas. Vous me montrez absolument tout, chaque monstre, chaque vivarium, tout ce qui rampe, qui vole ou se téléporte, je veux tout voir. Si vous voulez que je vous sois utile à quelque chose. J'ai du rattrapage en perspective.
Helen : A qui le dites vous.
Will : Dire que même vous, vous n'êtes pas normal.
Helen : Navré de vous décevoir. Une autre question ?
Will : Vous avez une mutuelle ?
Helen : Non. Mais je vous promet que vous vivrez plein plein d'aventure passionnante. Alors, c'est partie ?
FIN
Fait par blanblan54