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#101 : Sanctuaire pour tous (part 1)

Will Zimmerman, un psychiatre médico-légal est appelé sur une scène de crime qui a fait trois victimes dont deux policiers. Quand il arrive sur les lieux, ses collègues pensent avoir attraper le coupable mais Will n'est pas du même avis. Il est certain qu'un enfant était présent au moment des faits et qu'il a un lien direct avec l'affaire...

 

[Captures]

Popularité


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Titre VO
Sanctuary for all - Part 1

Titre VF
Sanctuaire pour tous (part 1)

Première diffusion
03.10.2008

Première diffusion en France
17.03.2009

Vidéos

Will rencontre Helen Magnus

Will rencontre Helen Magnus

  

Will découvre le labo du Sanctuaire !

Will découvre le labo du Sanctuaire !

  

Ashley raconte des histoires pour faire peur à Will

Ashley raconte des histoires pour faire peur à Will

  

Plus de détails

Ecrit par: Damian Kindler & Sam Egan
Réalisé par: Martin Wood

Deux policiers frappent à la porte d'un appartement, car les voisins se sont plaints du bruit ! Une femme ouvre la porte, mais refuse de les laisser entrer. Les deux agents ne lui laissent pas le choix et entrent. Ils commencent à inspecter les lieux quand la femme les empêche de rentrer dans une pièce, les suppliant de partir.  Les policiers entrent dans la chambre et découvrent un vieil homme mort avec un trou sur le front ! Après avoir demandé des renforts, ils s'aperçoivent qu'un enfant est caché sous le lit. Un des deux policiers s'approche de l'enfant pour le faire sortir quand il est attaqué par une créature ! L'enfant sort de sous le lit et le deuxième policier est surpris de constater que la créature fait partie de l'enfant.

Will Zimmerman, un psychiatre travaillant avec la police est en train de dîner quand il est informé qu'un triple homicide a eu lieu dans un appartement! Arrivé sur les lieux, l'inspecteur Joe Kavanaugh lui annonce qu'ils ont un suspect. Will veut quand même inspecter les lieux. Il demande à Kavanaugh si un enfant vivait dans l'appartement et Kavanaugh lui répond que non. Pour Will, cette affaire est loin d'être résolue ! Il est persuadé qu'un enfant vivait dans l'appartement. En quittant les lieux du crime, Will aperçoit un enfant qui s'enfuit de l'étage où a eu lieu le crime. Il décide de le suivre dans une ruelle. L'enfant, effrayé s'enfuit. Une moto surgit dans la ruelle en poursuivant l'enfant. Will commence à se poser des questions quand une voiture le renverse ! Une femme sort du véhicule pour voir s'il n'a rien et lui parle juste avant qu'il ne perde connaissance !

Will a un flashback provenant de son enfance juste avant de se réveiller en sursaut dans un couloir de la morque ! Un inspecteur l'informe que Kavanaugh l'attend pour une séance d'identification.

Le Dr Helen Magnus arrive à la morgue ! Au même moment, Will arrive en salle d'interrogatoire. Kavanaugh lui montre le suspect, un homme qui vivait juste en dessous de la scène de crime et qui a déjà été condamné ! Will a un doute sur la culpabilité de l'homme, mais la femme de l'appartement vient identifier le suspect. Elle confirme que c'est bien cet homme qui a tué son père et les deux agents, mais Will remarque des signes de stress venant de la femme. Elle est raccompagnée vers la sortie quand Will l'interpelle ! Il lui dit qu'il sait qu'elle a menti et lui parle de l'enfant ! La femme lui dit qu'elle n'a pas de fils et Will lui fait remarquer qu'il n'avait pas précisé que c'était un garçon ! La femme refuse de lui répondre et quitte les lieux !

Les cadavres sont amenés à la morgue au moment où le Dr Helen Magnus arrive ! Pendant ce temps l'enfant continue de fuir pourchassé par la moto conduite par une jeune femme ! Celle-ci descend de son véhicule pour continuer de suivre l'enfant à pieds. Magnus commence la première autopsie. Elle retire un élément du trou sur le front !

Un homme se téléporte dans une ruelle ! Il regarde son médaillon qui contient une photo d'une femme qui ressemble beaucoup au Dr Magnus. Il se fait interpeller par une prostituée qui lui propose ses services ! Il lui  dit qu'il cherche un endroit étrange qui accueille des êtres particuliers. Elle lui parle d'un manoir au bord du fleuve. L'homme l'a remercié juste avant de la tuer !

Le garçon est toujours en fuite, poursuivi par la jeune femme ! Il entre dans un tunnel de métro. Au même moment, WIll et Kavanaugh se disputent au sujet de l'affaire ! Will lui parle de l'enfant, mais Kavanaugh ne le croit pas et lui dit de rentrer chez lui. En quittant les lieux, il est interpellé par Hellen Magnus qui semble tout savoir sur cette enquête. Elle lui dit qu'elle poursuit l'enfant et Will réalise que c'est elle qui l'a renversé ! Elle lui parle de ses théories qui lui ont fait perdre son poste au FBI. Will lui demande qui elle est ! Helen lui donne sa carte et lui fait une proposition ! Will refuse en prétextant qu'il a déjà un job.

Arrivé chez lui, Will tombe nez à nez avec son ex, Meg, qui est venue récupérer ses affaires ! Will et Meg ont vécu ensemble pendant deux ans avant qu'elle ne le quitte. Après le départ de Meg, Will décide d'appeler Magnus !

Will monte dans la voiture d'Helen Magnus ! Ils commencent à discuter dans la voiture avant d'arriver au sanctuaire ! Au même moment, l'homme qui s'était téléporté dans la ruelle apparaît devant le sanctuaire ! Il tente de se téléporter à l'intérieur, mais il est repoussé par un champ de protection.

Will ne comprend toujours pas pourquoi Magnus l'a contacté et il veut connaître la raison pour laquelle elle veut l'enfant ! Elle lui dit que l'enfant est spécial.

Deux policiers trouvent l'enfant caché dans le tunnel du métro ! Ils tentent de le faire sortir quand la jeune femme attaque les deux policiers afin de les assommer. L'enfant a le temps de fuir, ce qui n'a pas l'air de lui plaire !

Helen continue de faire visiter son sanctuaire à Will ! Elle l'emmène au sous-sol pour lui faire découvrir son labo. Will est surpris de voir des monstres tels que des sirènes, des espèces de lézard géant, un homme à deux visages... Helen lui explique que ces monstres, qu'elle préfère appeler Phénomènes (ou anormaux) sont très nombreux et qu'elle veut les protéger !

Will est chamboulé par cette découverte, mais il ne comprend pas ce qu'il fait là ! Helen lui explique qu'elle a besoin de lui et de son don à voir ces choses que les autres ne voient pas. Au même moment, elle reçoit un message l'informant que l'enfant a été retrouvé.

Will et Helen arrivent dans le tunnel où ils retrouvent la jeune femme qui semble bien connaître Magnus. Elles commencent à se disputer quand Will les appelle après avoir repéré l'enfant ! Il s'approche de l'enfant quand la créature sort et s'attaque à lui. Heureusement la jeune femme saute sur Will pour l'empêcher d'être blessé et Magnus tire sur l'enfant pour l'endormir. Magnus explique à Will que la jeune femme s'appelle Ashley et que c'est sa fille !

De retour au sanctuaire, Helen soigne Ashley qui commence à raconter des histoires de monstres à Will pour l'effrayer ! Une fois soignée, Ashley veut partir rejoindre un fournisseur d'armes, mais Helen lui demande de rester au sanctuaire par sécurité. 

Helen et Will regardent l'enfant. Helen souhaiterait que Will tente de gagner la confiance de l'enfant afin de pouvoir l'aider.

 

Fait par albi2302

Sanctuaire pour tous (1ere partie)

 

Dans la rue

 

Policier : Ici la patrouille 7 David 5, nous avons reçu un appel d'urgence à l 'angle de la 149ième et Willis.

Radio : Bien reçu 7 David 5.

 

Devant un appartement

 

Policier : Ouvrez la porte. Police.

Policier 2 : Allez, on se dépêche, ouvrez.

Policier : Madame, les voisins se sont plaint du bruit.

Femme : Nous on veut pas créer problème.

Policier 2 : Alors vous permettez qu'on entre 5 minutes.

Femme : Non.

 

Dans l'appartement

 

Policier 2 : Quelqu'un pourrait nous expliquer ce qui se passe ?

Femme : On a eu problème tout à l'heure, mais maintenant plus problème. S'il vous plait. Allez vous en. Monsieur on a pas problème. Je vous assure, ca va.

Policier 2 : Madame, je vais entrer dans cette pièce, soyez gentille, poussez vous.

Femme : S'il vous plait.

Policier 2 : Ca va aller. Vous en faites pas. Russeau, il nous faut des renforts.

Russeau : 7 David 5 on a besoin de renfort à vous.

Radio : Bien reçu 7 David 5.

Russeau : 7 David 5, une ambulance vite.

Radio : Ici le centrale, envoyez une ambulance à l'angle de la 149ieme et de Willis.

Policier : C'est un gosse. Ca va petit ? Tu n'as rien à craindre. Je vais approcher tout doucement. Je vais te tendre la main et tu vas l'attraper. D'accord ? Allez n'ai pas peur. Ca va aller, il faut juste que tu me tendes la main. Allez. Allons n'ai pas peur, ca va aller. Approche et attrape ma main. Allez approche.

Policier 2 : Non de Dieu.

 

Dans un bar

 

Will : S'il vous plait.

Serveuse : Oui. Tout va bien ?

Will : Oui. C'est, … ca va. C'est délicieux mais, le chef est en congé ce soir ?

Serveuse : Euh oui, c'est ca.

Will : Ah.

Serveuse : Pourquoi, il y a un problème ?

Will : Euh non, c'est juste que le filet de vinaigre balsamique a été versé dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Et non pas le contraire.

Serveuse : Oh.

Will : Cela dit, c'est pas grave, c'est juste que … excusez moi.

 

Dans un appartement

 

Will : Je peux ?

Médecin : Oui bien sur.

Will : Merde. Merci.

Inspecteur : C'est une sale affaire.

Policier : Hé. Ah ca y est, le voilà.

Inspecteur : Vous arrivez trop tard Zimmerman.

Will : Oui, j'étais entrain de diner.

Inspecteur : On a déjà l'assassin.

Will : Ah bon ?

Inspecteur : Hum hum.

Will : Whao c'est génial. Oui, génial. Deux collègues c'est ça ? Leurs familles ont été prévenus ?

Inspecteur : On s'en est occupé.

Will : Maintenant que je suis là, est ce que je peux jeter un œil ?

Inspecteur : Bien sur. Après vous.

Will : Pardon. Il y avait beaucoup de gens dans cet appartement. Cinq personnes ?

Inspecteur : Non, quatre. Dont la troisième victime un vieille homme.

Will : Des gens pieux visiblement. Ukrainien non, ou russe ?

Inspecteur : Russe oui.

Will : Et il y avait un gosse ?

Inspecteur : Non, pas de gosse.

Will : Hyperactif. Nerveux. Les rayures sont plutôt récente.

Policier : Vous pouvez me dire de quoi il parle.

Inspecteur : On a arrêté le tueur Zimmerman. Il est a l'hôpital avec un des témoins de la scène.

Will : Ah.

Inspecteur : C'est un psychiatre médico-légale et il se prend pour Sherlock-Holmes. Il parait qu'il s'est fait virer du FBI.

Policier : Ah oui.

Inspecteur : Et on doit se le coltiner. Mieux vaut le tenir à l'œil.

Will : Des suées nocturne. Ca sens la peur à plein nez. Le borchtch aussi mais surtout la peur.

Inspecteur : Mince, peut être bien que c'est liée à cette histoire de triple homicide.

Will : Non, ils avaient peur bien avant ça. Cette porte à un verrou à bouton. Ca se ferme de l'extérieur. Les stores ne sont jamais ouvert mais ils n'essaient pas de cacher ce qu'ils ont. Ils ne sont pas clandestins ?

Inspecteur : Pas du tout.

Will : Alors qu'est ce qu'ils cachent ?

Inspecteur : En faite, je parle dans le vide quand je vous dit qu'on a arrêté le tireur.

Will : Je ne pense pas qu'il y ai eu des coups de feu.

Inspecteur : J'ai pas besoin de rapport balistique pour reconnaître un tire à bout portant avec une arme de petit calibre vous savez. Et on a plusieurs témoins, à moins que vous n'ayez pas écouté ça non plus.

Will : Il y a plusieurs éléments qui ne colle pas. Sur les murs, il y a des éclaboussures dans tous les sens. Ca vient surement d'un objet maculé de sang. Quand il y a cinq personnes dans un petit appartement, l'espace est primordiale pourtant ce tiroir est vide.

Inspecteur : Je vous ai dit qu'il y avait quatre personnes.

Will : Et dans un des tiroirs, il y a une BD caché sous les vêtements.

Inspecteur : Oui et alors ?

Will : Ba, ça n'a rien d'une revu porno. Et pourquoi les quatre adultes dormaient ils tous dans le salon ? Non, il se passe des choses étrange. Des choses inexplicables.

Inspecteur : Qu'est ce que vous entendez exactement par là ?

Will : J'en sais rien.

 

Dans la rue

 

Will : Hé. Hé petit. Attend une minute. Oh hé. C'est vraiment bizarre.

Helen : J'aurais préféré qu'on se rencontre dans d'autre circonstance.

 

Flashback

 

Femme : Will, surtout reste où tu es. Ah.

Will petit : Maman. Ah maman. Ah ah.

 

Fin du flashback

 

Dans un hôpital

 

Policier : Rien de cassé Sherlock ? Vous avez perdu connaissance.

Will : Ah, j'ai des courbatures.

Policier : Attendez, ne dites rien. Vous avez été renversé par un gosse hyperactif c'est ça ?

Will : Non, un automobiliste. Il a déboulé dans la ruelle et il m'a renversé et après il est parti.

Policier : Des que vous serez remis de vos émotions, vous irez retrouver Kavanaugh en haut pour une sérance d'identification.

 

Dans une voiture

 

Helen : J'en ai a peu prêt pour deux heures.

 

Poste de police

 

Policier: C'est pas la peine, il veut rien lâcher.

Kavanaugh : Oui, notre témoin oculaire est ici à l'hôpital. Oui, madame Lutrova. C'était la fille de la victime. Tout à fait. On a fait ça dans les règles. J'ai le suspect juste en face de moi. Absolument. Des que le suspect aura été identifié je vous le dirais. Pas un mot à la presse tant que je n'ai pas eu votre feu vert. D'accord. Très bien.

Will : Joe.

Kavanaugh : Qu'est ce qui vous est arrivé ?

Will : Une voiture a renversé un idiot. Et c'est moi le …

Kavanaugh : On a tous passé une sale nuit alors.

Will : C'est qui votre homme.

Kavanaugh : Verne Kovacks. Appartement numéro 2 juste en dessous de la scène de crime. Il a un casier bien rempli. Il vient d'être mit en conditionnelle après avoir été condamné pour vole à main armée, viole et violence.

Will : Il aurait du éliminer tout les témoins. Il avait déjà tué trois personnes, il était pas à ca prêt.

Kavanaugh : Voyons, on sait qu'il n'est pas du tout du genre à réfléchir.

Will : Vous avez un mobile ?

Kavanaugh : Tout à fait. Mon mobile c'est de résoudre cette affaire. Venez madame Lutrova. Voici le docteur Zimmerman. Il est psychiatre médico-légale au prêt de la brigade criminelle.

Will : Je vous présente toutes mes condoléances.

Kavanaugh : Madame, reconnaissez vous l'homme qui a tué votre père et les deux officiers de police cette nuit. Prenez tout votre temps. On a besoin que vous soyez sure de vous.

Lutrova : Oui, c'est bien lui. Il les a tous tués.

Kavanaugh : Vous en êtes sure et certaine ?

Lutrova : Je ne suis pas prêt d'oublier son visage.

Kavanaugh : D'accord bon, je vous libère pour le moment. Euh, une fois de plus je vous présente toutes mes condoléances. Merci.

Policier : Venez madame.

Kavanaugh : Dieu soit loué.

Will : Écoutez moi.

Kavanaugh : J'en ai pour une seconde.

Will : D'accord.

Kavanaugh : Tracy, passez moi tout de suite le bureau du procureur. Hé.

 

Will : Hé, Faith, je, il faut que je lui parle 5 minutes.

Policier : Plus tard. Je la ramène chez elle.

Will : Non, maintenant. Madame Lutrova, je comprend que vous ayez passé la nuit la plus atroce de votre vie, mais vous avez menti et ça, on le sait tout les deux. Vous étiez nerveuse, vous avez détourné le regard, vous hésitiez et vous aviez le visage dans vos mains. Vous n'aviez jamais vu cet homme avant n'est ce pas ?

Lutrova : Je ne vois pas où vous voulez en venir.

Will : Et vous m'avez aucun remord ?

Lutrova : J'ai fait ce que je devais faire. Laissez moi tranquille docteur.

Will : J'étais dans votre immeuble cette nuit. Au moment de la tragédie j'ai vu un enfant qui sortait de votre appartement, il devait avoir 10 ans.

Lutrova : Je n'ai pas de petit garçon. Non.

Will : Qui a dit que c'était un petit garçon ?

Lutrova : J'ai eu assez de problème pour cette nuit. S'il vous plait.

Will : Madame Lutrova.

Lutrova : Laissez moi tranquille. Ca suffit stop. Je veux être chez moi.

 

A la morgue

 

Brancardier : Par ici la bonne viande fraiche.

Médecin : Très drôle.

Brancardier : Russeau Albert et Burch Laurence. Deux flics qui se sont fait dessouder cette nuit.

Médecin : Oui, on les attendait. Mets les dans la chambre froide.

Brancardier : J'en apporterais d'autre plus tard. D'après les urgences ça a été une vrai boucherie.

Médecin : C'est souvent le cas maintenant.

Médecin : Helen.

Helen : Eléanore.

Médecin : Ils sont dans la chambre froide.

Helen : Merci.

Médecin : On déjeune bientôt.

Helen : Volontiers.

Médecin : Je t'appelle.

 

Dans la rue

 

Femme : Tu m'as l'air appétissant. Ca tombe bien, j'ai la dalle.

John : Ah bon, vraiment.

Femme : J'imagine que tu dois avoir une grosse envie de te défouler ?

John : Oui, effectivement et je cherche une chose précise. Peut être vas tu pouvoir m'aider.

Femme : Tu es anglais. J'ai toujours adoré les britanniques et leurs politesses.

John : L'endroit que j'aimerais trouver vois tu est assez étrange. Ce sanctuaire n'accueille à ce qu'il paraît que des invités très particulier.

Femme : J'ai entendu parler d'un vieux manoir au bord du fleuve à Greson Strange je crois. J'ai entendu tout un tas de légende, mais je n'y ai jamais prêté attention. Je peux t'y emmener si tu veux, ca te coutera juste un peu plus chère.

John : C'est très gentille de ta part. Mais je crois que je vais pouvoir y aller tout seul.

 

Dans l'hôpital

 

Will : Cette femme nous ment. J'en suis persuadé.

Kavanaugh : Je ne sais pas pourquoi on se donne la peine d'interroger des témoins. Vous vous pointez et c'est réglé. Vous nous faite votre petit numéro de vaudou comme d'habitude et l'affaire et dans le sac.

Will : C'est ce qu'on appelle la psychologie comportementale.

Kavanaugh : Deux flics sont mort ce soir. On a un devoir envers nos collègues. Il faut qu'on retrouve le coupable.

Will : D'accord et qu'est ce qui va se passer quand la police scientifique débarquera et dira que les victimes n'ont pas été tué par balle.

Kavanaugh : Verne Kovacks a peut être utilisé une arme différente et alors ? Ca ne change rien. Rien du tout. Vous avez autre chose à proposer ? Une explication logique ?

Will : J'ai été témoin de quelque chose. Dans la ruelle, j'ai vu un gosse d'à peu prêt 10 ans et il cherchait à fuir la scène de crime. Alors je l'ai suivi , je crois que la personne qui m'a renversé le suivait aussi.

Kavanaugh : Pourtant aucun témoin ne nous a parlé d'un gamin.

Will : Il avait un comportement bizarre. On aurait dit … il n'était pas juste terrorisé, il était sous une emprise particulière.

Kavanaugh : Je vois. En gros on a des témoins oculaire, un suspect avec un casier et vous, vous vous croyez qu'un gosse de dix ans à fait le coup, c'est ça ?

Will : Je dis juste que si vous trouvez ce gosse, alors vous saurez comment ces types ont été tué ce soir.

Kavanaugh : Rentrez chez vous.

Will : Pourquoi vous refusez de m'écouter.

Kavanaugh : Parce que c'est à cause d'aberration de ce genre qu'on vous a mis à la porte du FBI. Alors si j'étais vous je laisserais tombé. Histoire d'éviter une catastrophe.

 

Dans la rue

 

Helen : L'inspecteur a raison vous savez.

Will : Je vous demande pardon ?

Helen : Les éléments que vous lui avez fourni sont inutilisable.

Will : On se connait ?

Helen : Comment va votre tête ?

Will : Quoi ? C'est vous qui m'avez renversé ?

Helen : Vous étiez sur mon chemin.

Will : Comment ça ?

Helen : Je poursuivais le garçon moi aussi. La police détient un innocent. Les éléments de preuve établiront s'ils ne les écartent pas pour l'inculper plus vite. Mais le petit garçon que vous avez vu est bien réel. On doit l'aider, il en a besoin.

Will : Mais qui êtes vous ?

Helen : Disons que je fais partie des personnes qui ont choisi d'accepter la réalité dans ce quelle a de plus extraordinaire . Il y a des choses dans cette ville et dans ce monde que les gens refusent d'admettre qui sont réelle.

Will : D'accord, vous êtes entrain de me foutre la trouille.

Helen : Docteur Zimmerman. Est ce que vous vous êtes déjà demandé pourquoi vous aviez perdu votre poste au FBI ?

Will : Très impressionnant. Vous avez fait des recherches sur moi ?

Helen : Vos théories étaient très controversé, vous étiez une forte tête. Vos échecs sont en réalité ceux du FBI. Ils n'ont pas eu l'intelligence de suivre vos intuitions.

Will : Désolé, on est sous la flotte là. Vous voulez quoi ?

Helen : Vous docteur Zimmerman. De mon point de vue vous avez le choix entre deux options, vous retournez à cette vie où vous n'êtes pas apprécié à votre juste valeur ou vous poursuivez cette quête de vérité qui vous obsède depuis votre plus tendre enfance. Nous savons tous les deux que vous avez touché cette vérité du doigt ce soir. Ne laissez pas tomber.

Will : Mais qui êtes vous ?

Helen : J'ai une proposition à vous faire. Tout ce que je demande c'est un peu de votre temps.

Will : C'est gentille mais si vous voulez des cv pourquoi vous allez pas les chercher sur internet. Merci, mais j'ai déjà un job.

 

Appartement de Will

 

Will : T'es dingue, j'ai failli faire une attaque.

Meg : J'ai toujours la clé Will.

Will : Oui, et tu sais que j'adore les surprises de ce genre. Qu'est ce que tu fais là Meg ?

Meg : Je suis venu parce que j'ai appris que deux policiers avaient été tués. Ca va ?

Will : Comme d'hab. J'ai pas d'appétit et je manque de sommeil. Et toi ?

Meg : Ca va. Impec. Je voulais juste avoir de tes nouvelles. Et récupérer mes affaires.

Will : Ok.

 

Will : Tout est là ?

Meg : Si tu trouves mon défriseur tu peux l'apporter à l'hôpital.

Will : Ton défriseur ouais, ça marche. Si tu préfères, on peut toujours partager la garde du défriseur.

Meg : voilà, les deux dernières années de notre vie se résume à une bonne vanne.

Will : C'était pas ce que je … Écoute, évitons tout ça d'accord, j'ai pas la force de me lancer dans un combat de boxe ce soir.

Meg : Ils te chambrent toujours tes collègues ?

Will : On s'y fait à la longue.

Meg : Surtout, ne le prend pas mal, mais tu cultives le ridicule.

Will : Avec toi, j'ai été à bonne école.

Meg : Là, t'es pas juste.

Will : Soit pas hypocrite, tu m'as toujours prit pour un barjot.

Meg : Une dernière chose, si jamais il existe un truc qui te permet de dormir la nuit, j'espère que tu le trouveras. Allez à plus Will.

Will : Meg.

 

Dans une voiture

 

Helen : Bonsoir docteur.

Will : Bonsoir.

Helen : Qu'est ce qui vous a décidé à m'appeler ?

Will : Euh, vous avez dit que vous poursuiviez le petit garçon.

Helen : Tout à fait.

Will : Pourquoi ?

Helen : Je vous soupçonne d'avoir la réponse.

Will : Et bien non, j'en sais rien du tout.

Helen : Ah. Dans ce cas je vous promet que vous ne serez pas déçu du voyage.

 

Sanctuaire

 

Helen : Désirez vous un petit thé docteur Zimmerman ou éventuellement quelque chose de plus fort ?

Will : Euh non, non, c'est gentil merci. Ca va aller.

Helen : Vous devez avoir des questions à me poser, non ?

Will : Juste une. Comment se fait il qu'il n'y ai pas d'orgue ?

Helen : Je suis ravi de voir que vous parvenez à garder le sens de l'humour.

Will : Oui, faut dire que c'est indispensable dans la police. Une bonne vanne y'a rien de telle pour égailler une scène de crime.

Helen : La légèreté permet d'échapper aux choses insidieuse du quotidien. L'enfant que vous avez vu, il est très particulier , c'est ce que mon affirmé des personnes à qui je fais confiance pour ce genre d'information.

Will : C'est lui le meurtrier ?

Helen : Oui et non. En faite, ce n'est pas vraiment sa faute.

Will : Si cet enfant est coupable et que vous avez des preuves. Vous devez m'en informer.

Helen : Et si les réponses que vous obtenez soulève d'autres questions.

Will : Je pend le risque. Ca vaut le coup.

Helen : Vous en êtes bien sur ?

Will : Vous savez quoi ? C'est pas parce que vous avez besoin de compagnie qu'il faut donner votre carte au premier venu.

Helen : Le petit sera capturé, il serra ramené dans ce manoir avant la fin de la nuit. D'ici là, j'ose espérer que vous comprendrez que j'hésite à prononcer sur son rôle dans cette histoire.

Will : Et vous pensez que vous le trouverez ?

Helen : J'en suis convaincu. Et quand il sera ici, j'aurais besoin de votre aide.

Will : Ah oui ? Et pourquoi ? Vous dites que cette maison est un sanctuaire, pour qui ?

Helen : Ou pour quoi ?

Will : Ah franchement, c'était une très mauvais idée, je vous ai fait perdre votre temps et j'en suis navré mais je suis encore plus désolé que vous m'ayez fait perdre le mien.

Helen : Vous avez compris d'instinct que cet enfant n'était pas comme les autres. Autrement vous ne seriez pas ici. A l'intérieur de ces murs demeure des êtres prodigieux doté de capacité encore plus fabuleuse. Un sanctuaire pour tous. Ce n'est pas une parole en l'air.

 

Dans le métro

 

Policier : Ce foutu secteur me file la chaire de poule.

Policier 2 : Personne n'aime travailler dans le coin. C'est un vrai cloak.

Policier : Cela dit les loyers sont pas cher. Deux secondes.

Policier 2 : On peut savoir ce que tu fais là petit ? J'ignore d'où tu viens mais ici, c'est bien pire, tu peux me croire . Allez, suis nous. T'as pas le choix je te signale.

Ashley : Je ne ferais pas ça à votre place. Bravo, génial.

 

 

Sanctuaire

 

Will : Vous êtes spécialisé dans quel type de médecine au juste ?

Helen : J'adapte toujours mes pratiques en fonction du patient.

Will : Vous avez quelque chose contre l'insomnie ?

Helen : Je dois vous prévenir docteur Zimmerman. Nous sommes sur le point de quitter votre monde.

Will : J'en déduit que non.

Helen : Suivez moi. Je suis principalement spécialisée en cryptozoologie et en xénobiologie, en tératologie également le cas échéant.

Will : Tératologie ? C'est quoi ce truc ?

Helen : Bienvenu dans mon sanctuaire. Par ici.

Will : Une sirène ? C'est une blague ?

Helen : Tératologie. Du mot grecque Tératos qui signifie difformité, monstruosité. Créatures inconnus.

Will : Comment c'est possible ?

Helen : Les visages inconnus l'effraie toujours.

Will : Je l'effraie ? Qu'est ce que c'est que cette chose ?

Helen : Peu importe sa classification, le simple fait qu'il existe est déjà fascinant en soi. Je l'ai découvert quand son habitat naturel a été détruit par une opération minière en Bolivie. Hélas, c'est peut être bien le dernier de son espèce.

Will : Oh mon Dieu.

Helen : Ne soit pas si timide voyons. La combustion spontanée peut être difficile à maitriser mais nous avons fait de grand progrès. L'objectif de ce sanctuaire est de rassembler ces malheureuses créatures est de les protéger. Elles ont besoin d'être sauvé. Certaine ne peuvent pas rester en liberté dans la nature comme celui ci.

Double tête : Qui voilà ? Qui voilà ? Bienvenu. Je te conseille de te méfier

Helen : Arrêtez ça immédiatement vous deux. Pardonnez leur ils sont incorrigible. La nature est une immense source de diversité. Ici les patients restent dans leur cellule, on les enferme serte, mais c'est pour leur bien. Pour d'autre, c'est un refuge de dernier recours.

Will : Vous voulez dire que certains viennent ici de leur propre gré. Ca veut dire que d'autre …

Helen : Se promène en liberté. Oui, c'est exact. Ce n'est pas un zoo ici, et encore moins une prison.

Will : Oui, mais apparemment certain d'entre eux sont très dangereux.

Helen : Nous avons une double obligation. Étudier ces êtres miraculeux, et nous protéger de ceux qui nous menace.

Will : Oui mais … s'ils sont un danger pour nous alors pourquoi tenez vous à les protéger ?

Helen : Parce que chaque créature nous apprendre quelque chose. Qu'elles soient pacifique ou qu'elles nous veuillent du mal.

Will : Et combien en avez vous ici ?

Helen : Beaucoup.

 

Will : Donc j'imagine que peu de gens ont vu ce que je viens de voir.

Helen : En effet.

Will : Comment faites vous pour garder un tel secret ?

Helen : J'utilise la plus grande prudence. La survie de mes patients en dépend. Je vous en pris.

Will : Whao.

Helen : Tout va bien. Ne vous en faites pas. Sachez qu'il a toute aussi peur que vous. Depuis que j'ai commencé à le soigner il est resté relativement seul. Merci.

Will : Je … Non non. Ce, ce truc c'est votre patient ?

Helen : Un ancien patient pour être précise. Je lui ai enlevé toutes les balles qu'il avait dans le corps. Et il a refusé de partir. Je lui ai proposé un poste au sein de mon équipe. Je ne suis pas sur qu'il apprécierait vraiment le terme de truc.

Will : Pourquoi moi ?

Helen : Parce que docteur Zimmerman, je pense que vous avez un rôle vital à jouer dans mes recherches.

Will : C'est quoi mon rôle, vous aider à capturer des monstres ?

Helen : Nous préférons utiliser le terme de phénomène. Le plus important c'est que mes patients disposent d'un endroit où ils sont en sécurité. Où on peut les aider. Et apprendre …

Will : Whao whao whao. Une minute, j'ai l'impression que tout s'embrouille dans ma tête. Vous êtes entrain de me proposer un boulot, c'est ça ?

Helen : Voyez plutôt ça comme une chance d'explorer un monde que vous avez essayé de comprendre tout seul dans votre coin sans grand sucés. Ma proposition vous fait sourie ?

Will : Non, non, non non c'est juste que …

Helen : Que vous avez peur.

Will : Mais enfin, vous travaillez avec des monstres.

Helen : Ce sont des êtres qui ont des sentiments. Chacun d'entre eux est digne du respect auquel les hommes et même les animaux ont droit automatiquement. Ces créatures sont la clé de l'évolution de notre espèce passé et à venir. Et pourtant nous les détestons, nous voulons les détruire même. Et pour couronner le tout, nous jusqu'à renier leur existence. Mais ils existent belle et bien docteur Zimmerman. Ils sont perdus comme l'enfant que vous avez vu ce soir. Ils sont méconnu, traqué. Ces créatures comptent sur nous et sur vous également.

Will : Je, je vois toujours pas pourquoi vous me demandez ça à moi.

Helen : Parce que j'ai besoin de quelqu'un qui soit capable de voir, de voir le monde comme il est.

Will : Mais euh, ma spécialité c'est les criminels, pas les monstres.

Helen : C'est assez contradictoire ce que vous venez de dire, vous ne trouvez pas ?

Will : Vous voyez de quoi je parle.

Helen : Vous étudiez l'homme en tant qu'animal. Vous êtes témoins de certaines chose, vous étudiez des donnés comportementales qui selon moi transcende toutes les formes de l'apparence terrestre. Là où d'autre ne voit que l'entêtement d'un pauvre raté. Je vois de grande possibilité. Les bons scientifiques c'est monnaie courante, mais ceux qui sont excellent ont toujours su dépasser les limites de la science, les limites de nos connaissances, les grands savants ont toujours osé imaginer des choses inimaginable. On a trouvé le petit garçon.

 

Dans le métro

 

Policier : Je pourrais pas t'expliquer, j'y comprend rien. C'est dingue.

 

Will : Qu'est ce qu'il leur est arrivé ? C'est le gamin ?

Helen : Vu qu'il sont encore en vie, j'en doute. Mais j'ai ma petite théorie.

 

Will : Ce que je comprend toujours pas, c'est comment vous avez pu savoir où était le gosse ?

Ashley : Grâce à moi. J'ai poursuivi ce petit morveux toute la nuit.

Will : Vous êtes qui vous ?

Ashley : Je vous retourne la question.

Helen : Tu as dit que tu le tenais.

Ashley : C'était le cas jusqu'à l'arrivé de ces crétins.

Helen : Quand même, t'y es pas allé de mains morte.

Ashley : Sans nous, ils s'y seraient passé

Will : Euh attendez. Ne crains rien.

Helen : Arrête, il nous le faut vivant. On est là pour t'aider. Est ce que tu comprends ? Je ne vais pas te faire de mal, tu as ma parole. C'est bien.

Ashley : Ah.

Will : Hé, hé. Par ici. Par ici. Oui, c'est ça. C'est ça. Tout doux, tout doux. Approche. Tout va bien ?

Ashley : Oui, ça va.

Helen : Tout ce cirque n'était vraiment pas indispensable.

Ashley : Ce tunnel est crasseux, j'ai besoin d'un bain, pas d'une leçon de morale.

Will : Sans rire, vous êtes qui ?

Helen : Docteur Zimmerman, voici Ashley, ma fille.

 

Sanctuaire

 

Ashley : Ca va, ça va, j'ai compris. Whao maman. Vas y mollo.

Helen : Ce que je veux t'expliquer c'est qu'on aurait pu mieux coordonner notre action.

Ashley : N'empêche qu'on a réussi à chopper le gosse d'accord alors calme ta joie.

Helen : Je vous prie d'excuser Ashley pour son comportement docteur Zimmerman. Je sais qu'elle n'est pas raffiné, mais je vous assure qu'elle a d'autre compétence bien plus utile sur le terrain.

Will : Ah oui.

Ashley : Quelqu'un vous a sauvé la vie ce soir. Oh attendez, c'était moi.

Helen : Ne bouge pas.

Will : J'imagine que toute les deux vous faites ça souvent.

Ashley : Oh, ça c'était rien du tout. Maman tu te souviens de ce fameux été de mes 18 ans. On s'était fait toute une tanière de loup garou la nuit. Vous savez, on les a capturé, anesthésié, catalogué, il y avait moi maman et quelques excités du coin. Dont un qui était le sosie tout craché d'Adrien Brody.

Helen : Ashley.

Ashley : Oh maman, tu le trouvais canon toi aussi.

Helen : Le docteur Zimmerman est notre invité, je te prie de ne pas l'oublier et d'arrêter de dire des âneries.

Ashley : Bref, on avait plus de balle en argent, c'était la pleine lune …

Will : Vous me racontez des salades.

Ashley : Vous avez visité le sanctuaire, non ?

Will : Oui, mais …

Helen : Et voilà ma chérie. Ca y est, j'ai terminé.

Ashley : Merci. J'aime pas jouer les filles de l'air mais je dois être dans dans l'East Side dans 20 minutes.

Helen : Pour quelle raison ?

Ashley : Sylvio a des petites nouveautés à me montrer dans sa boutique. Du Kevlar dernière génération, des prototypes de balle à fragmentation, fusil …

Helen : En faite, je préfèrerai que tu restes ici ce soir.

Ashley : Tu peux me dire pourquoi ?

Helen : Il y a eu du mouvement dans le bouclier électromagnétique. Si ca se trouve ce n'est rien, mais on ne sait jamais.

Ashley : J'en ai même pas pour 1 heure. Et je te promet que je vais négocier les tarifs à mort. Là bas on peut toujours avoir une ristourne.

Helen : Toi et moi, on est de très loin ses meilleurs clientes, il nous ferra toujours des prix, tu peux me croire. La nuit a été longue, fais moi plaisir.

Ashley : Mais enfin maman. D'accord, je vais sur mon ordi. Ce fut un plaisir, vous êtes parfait, changez rien.

Will : C'est vraiment votre fille ? Vous aviez quel age quand vous l'avez eu, 12 ans ?

Helen : Je suis très flatté.

Will : Vous l'avez adopté ?

Helen : Les détails non aucune importance, Ashley est ma fille biologique et elle m'est indispensable dans mon travail.

Will : Elle les captures, vous les examinez.

Helen : C'est à peu prêt ça oui. Mais selon moi, c'est ce qui se passe après qui a le plus d'importance.

 

Will : Qu'est ce que c'est que ça ?

Helen : Mutation génétique massive induisant l'apparition d'un appendice symbiotique.

Will : Quoiqu'il en soit ça lui a permis de creuser 10 mètres de tunnel avant qu'on le retrouve.

Helen : Probablement son usage le moins dangereux. A cause de leurs imperfections, ces enfants sont souvent adopté par des familles d'immigrant bien intentionné. Parmi eux, il y a des aveugles, des enfants difformes ou mentalement retardé. Je suis sur qu'il avait l'air normal sur la photo si toute fois ils en ont vu une.

Will : Que comptez vous faire de lui ?

Helen : Je vais tout d'abord déterminer le traitement approprié. Mais on a aucun espoir de l'aider si on ne parvient pas à gagner sa confiance.

Will : Quoi ? C'est pour ça que … non, il n'y a rien dans mes connaissances qui me permettrait de m'occuper d'un patient tel que lui.

Helen : Dans ce cas, c'est plutôt sur votre intuition qu'il faudra compter.

Will : Oh, c'est du délire je refuse, désolé.

Helen : Qu'est ce qui vous effraie le plus docteur Zimmerman ? Le jeune garçon terrorisé et perdu que vous voyez là ou votre manque de courage face à la situation ? Alors dites moi. Que voyez vous chez ce jeune homme ?

Will : Ses mouvements trahissent une agitation, mais il ne nous à causé aucun problème depuis son réveil. En faite, la seule chose qui soit hostile dans cette pièce c'est ce truc, son appendice.

Helen : Essayez d'en faire abstraction et regardez plutôt l'enfant. Et si vous s'y arrivez alors tout est possible. Dans le cas contraire tant pis. J'admettrais que je me suis trompée sur votre compte. C'est à vous de voir.

 FIN

 

Fait par blanblan54

EXT - APARTMENT BUILDING, NIGHT

RUSSO : Seven David Five responding to a 10-11, 149th and Cordova.

DISPATCH : Copy that, Seven David Five.

 

 

INT - APARTMENT HALLWAY

RUSSO : Open up! Police!

BIRCH : Let's go! Open up! Ma'am, we've had some complaints about the noise.

MS. MITROVNA : We want no trouble.

BIRCH : Then you don't mind if we come in.

MS. MITROVNA : No.

BIRCH : You folks want to tell me what's going on?

MS. MITROVNA : We have trouble early tonight, but no trouble now.  Please... you go. we have no trouble. It's okay.

BIRCH : Ma'am, I'm going to enter this room. Please, step aside.

MS. MITROVNA : Please...

BIRCH : Relax, it'll be fine. Russo! We need backup!

RUSSO : Seven David Five, requesting backup on that 10-11.

DISPATCH : Copy that, Seven David Five.

RUSSO :  Seven David Five, EMTs, stat. It's a kid. Hey, kid, you okay?  It's okay. I'm just going to come over to you real slow, and you're going to reach out and grab my hand, okay?  No, come on, its okay. You’re okay. Just reach out. Come on. No, come on. It’s okay. Come on, I need you to just take my hand. [yelling] I said come here!

BIRCH : Oh, God...


 

INT - BUSY RESTAURANT

WILL : Um, excuse me?

WAITRESS : Hey, everything good?

WILL : Well, yeah, it's great. It’s delicious, but, um... Is it the chef's night off?

WAITRESS : Uh, actually, yeah.  Is something wrong?

WILL : No, no, it's just that the, uh... the balsamic drizzle is counter-clockwise instead of clockwise.

WAITRESS : Oh.

WILL : Not that it matters. It’s just that, uh...  Hold on.

 

 

INT - APARTMENT BUILDING

WILL : May I? Damn. Thanks.

 

 

INT - APARTMENT 23

KAVANAUGH : It’s part of the job.

FETZ : Now he's here.  

KAVANAUGH : You’re too late, Zimmerman.

WILL : Yeah, I was at dinner.

KAVANAUGH : Well, we got our guy.

WILL : No kidding? Wow, that's great. Really great. Two of our own, huh?  Do their families know?

KAVANAUGH : It’s covered.

WILL : As long as I’m here, you mind if I take a look around?

KAVANAUGH : Sure, whatever.

WILL : A lot of people living in one apartment. Five?

KAVANAUGH : Four, including the third D.B., an old man.

WILL : Religious people. Ukrainian or Russian?

KAVANAUGH : Russian.

WILL : And just the one kid?

KAVANAUGH : No, no kids.

WILL : Hyperactive. Fidgety. These scratches are pretty fresh.

FETZ : What the hell's he talking about?

KAVANAUGH : Yeah, we got the shooter, Zimmerman. He’s at the hospital with one of our eyewitnesses.

WILL : Huh.

KAVANAUGH : The guy's a forensic shrink, thinks he's Sherlock Holmes.

FETZ : I heard the agency gave him the boot.

KAVANAUGH : Yep, now he's all ours. Better go keep an eye on him.

WILL : Night sweats. A lot of fear in the air. Borscht too, but mainly fear.

KAVANAUGH : Gee, maybe it has something to do with the triple homicide.

WILL : No, I mean before that. Deadbolt on the bedroom door, it locks from the outside. And these shades are never up. But they're not trying to hide their heritage, they’re not illegals, right?

KAVANAUGH : That’s right.

WILL : So, what are they hiding?

KAVANAUGH : But what part of "we got the shooter" don't you understand?

WILL : I’m thinking there was no shooting.

KAVANAUGH : I don't need ballistics to recognize the damage of close-range small-calibre, and we got eyewitnesses, or weren't you listening to that part?

WILL : Couple things don't jibe. Multi-directional cast-off on the walls. It’s from a blunt implement, maybe. Five people in one small apartment. Space is precious, but one drawer's empty?

KAVANAUGH : I told you, four people.

WILL : Another drawer's got a comic book hidden under the clothes.

KAVANAUGH : So what?

WILL : Well, it's not as if it's porn. Then there's, why were all four adults sleeping in the living room? No, something else is going on here that we haven't accounted for.

KAVANAUGH : And what the hell's that supposed to mean?

WILL : I don't know.

 

 

EXT - APARTMENT BUILDING NIGHT

WILL : Hey! Hey kid!  Hey, wait a second! Whoa, hey! This is getting weird.

HELEN : Not the way I’d hoped we'd meet.



 

FLASHBACK

WILL'S MOTHER : Will? Stay where you are...

YOUNG WILL : Mother! Ah! Mommy! Ah!


END OF THE FLASHBACK

 

 

INT - HOSPITAL HALLWAY

WILL : Oh, fuh- Ah.

FETZ : You okay, Sherlock? We found you out cold.

WILL : Yeah. A little bit sore.

FETZ : Let me guess, you got decked by a hyperactive kid.

WILL : No, somebody uh, coming down the alley clipped me and kept going.

FETZ : Well, soon as you're up to it, Kavanaugh wants to see you upstairs. Witness ID.

 

 

EXT - HOSPITAL NIGHT

 HELEN : I’ll be a couple of hours.

 

 

INT - OBSERVATION ROOM

KAVANAUGH :  Yeah, we got our eyewitness right here at the hospital. Yeah, a Mrs. Mitrovna, daughter of vic number one. Absolutely. By the book. I’m looking at our guy right now. Yes, sir. As soon as we get a positive ID, I’ll let you know. Not a word to the press without your say so, I understand. Okay, bye.

WILL : Joe...

KAVANAUGH : What the hell happened to you?

WILL : Car versus idiot. I was the, uh...

KAVANAUGH : Right, yeah. Well, bad night all around, I guess, huh?

WILL : Who’s your man?

KAVANAUGH : Vern Kovacs. Apartment two floors below our crime scene. He’s got a whole list of priors there. Just got paroled after doing a dime for armed robbery, rape, and assault.

WILL : You’d think he'd eliminate the witnesses. I mean, after three, what's the downside?

KAVANAUGH : Come on. Chances are he wasn't doing a lot of thinking.

WILL : Do you have a motive?

KAVANAUGH : Yes, I do. Trying to solve this case. Ms. Mitrovna, come in. Now, this is Dr. Zimmerman, he is a forensic psychiatrist attached to homicide.

WILL : I’m very sorry for your loss.

KAVANAUGH : Now, ma'am, do you see the man who murdered your father and those police officers tonight?  Take your time, because we need you to be sure about this, all right?

MS.MITROVNA : He is the one. He killed them.

KAVANAUGH : You’re certain?

MS.MITROVNA : His face I could never forget.

KAVANAUGH : Okay, all right. Well, that's good for now. Um...again... ma'am, my condolences for your loss tonight. Okay?

FETZ : Ma'am.

KAVANAUGH : Thank you, God.

WILL : Joe, listen to me. Just give me a second.

KAVANAUGH : Tracy, yeah, I need to talk to the DA's office right away. Hey...

 

 

INT - HOSPITAL HALLWAY

WILL : Hey, Fetz. I, uh, I need five minutes with her.

FETZ : Later, Doc, I’m taking her home.

WILL : No, no, now.

WILL : Ms. Mitrovna, I realize that you've been through a lot tonight, but you and I both know that you just lied in there.

WILL : Body language, averting your gaze, hands to your face, rising vocal pitch. You’d never seen that man before in your life, had you?

MS.MITROVNA : I don't know what you say.

WILL : And you felt no guilt about it.

MS.MITROVNA : I do what's right. You leave me alone now.

WILL : I was at your building tonight when everything happened. I saw a kid coming from your apartment, maybe 10 years old.

MS.MITROVNA : There is no boy. No.

WILL : I never said it was a boy.

MS.MITROVNA : Enough bad thing happen tonight. You leave me alone now.

WILL : Ms. Mitrovna, please-

MS.MITROVNA : You stop. I go home.

 

 

INT - HOSPITAL CORNOR’S LAB

CORONER'S AIDE : Fresh meat coming through!

ELEANOR : Subtle.

CORONER’S AIDE : Russo Albert and Birch Lawrence. Two cops, bit it tonight uptown.

ELEANOR : Yeah, we've been expecting them. Put them in holding.

CORONER’S AIDE : Got more coming later; EMS says it was a real butcher shop.

ELEANOR : Aren’t they all these days?  Helen.

HELEN : Eleanor.

ELEANOR  : They’re in the cold room.

HELEN : Thank you.

CORONER : Lunch next week?

HELEN : Love to.

ELEANOR : I’ll call.

 

 

EXT - STREET NIGHT

PROSTITUTE : Twenty bucks? I ain't giving it away, pal. Ain’t you a drink of water? And I’m kind of thirsty.

DRUITT : Is that so?

PROSITUTE : I’m guessing you're looking for a little action yourself.

DRUITT : In fact, I am looking for something. Perhaps you can help me.

PROSTITUTE : English, right? I’ve got a thing for the Brits. So polite and all.

DRUITT : Well, this place, it's rather strange, a sanctuary, and it takes in only the most unusual guests.

PROSTITUTE : There’s a big old place down by the water, Grayson Street, I think. I’ve heard all kinds of stories, but I never put much stock in ‘em. I’ll take you there, if you like, but it'll cost you extra.

DRUITT : How very kind of you. But I think I can find it on my own.

 

 

EXT - STREET OUTSIDE HOSPITAL NIGHT

WILL’S VOICE : The woman is lying, I’m sure of it.

 

 

INT - HOPSITAL

KAVANAUGH : I don't know why we bother interviewing eyewitnesses. I mean, you could just come in and you could work that voodoo crap you've been working for the last six months. It’d be great, right?

WILL : That’s what you think of behavioral science?

KAVANAUGH : Two cops died tonight. Now, we owe it to these guys to do right by them.

WILL : Okay, okay. So what happens when forensics comes back and says those weren't bullet holes in their foreheads?

KAVANAUGH : Well then Kovacs used something else as a weapon. It doesn't change anything. So unless you've got something else; something different...

WILL : I saw something tonight. In the alley. It was a boy maybe 10 years old. It looked like he was running from the crime scene, so I followed him, and I think the person who knocked me down was following him, too.

KAVANAUGH : Well, none of the witnesses mentioned a boy.

WILL : I don't know, there was something about him. It was like... he wasn't just scared. It was like he was in the grip of something.

KAVANAUGH : Right, so we have eyewitnesses, a suspect with priors, but you, you like a 10-year-old kid as the shooter, is that right?

WILL : No. I’m just saying, if you find the kid, then you'll know how those three men died tonight.

KAVANAUGH : Go home, Zimmerman.

WILL : Why don't you want to hear this?

KAVANAUGH :  Because this is...  Because this is exactly the same kind of B.S. that got you bounced from the agency. Now, if I were you, I would just back the hell off.

 

EXT - STREET OUTSIDE HOSPITAL

HELEN : The detective is right, by the way.

WILL : Excuse me?

HELEN : He can't use anything you gave him.

WILL : Do I know you?

HELEN : How’s your head?

WILL : Wait. You ran me over.

HELEN : You got in the way.

WILL : Of what?

HELEN : My pursuit of the boy. The police have the wrong man. The evidence will bear it out if they don't suppress it for a quick conviction. But the boy is indeed real, and he needs our help.

WILL :  Who are you?

HELEN : Let’s just say I’m someone who's chosen to embrace the full spectrum of our reality. There are things in this city - in this world - that no one wants to admit are real.

WILL : Okay, you're creeping me out now.

HELEN : Dr. Zimmerman. Have you ever asked yourself why you lost your job at the agency?

WILL : That’s impressive. What did you do, Google me?

HELEN : Your theories were controversial. You were headstrong. Your so-called failures were really their’s. They failed to keep up with your insights-

WILL : Lady, I’m getting soaked here. What do you want?

HELEN : You, Dr. Zimmerman. As I see it, you have two choices. You can go back to a life where you're unheard and unappreciated, or... you can squarely face the truth you've been seeking since you were a child. We both know you caught a glimpse of that truth tonight. Don’t turn away.

WILL : Who are you?

HELEN : I have a proposal. All I ask is for a little of your time.

WILL : Thanks, but... if you're looking for resumes, why don't you try Monster.com? I already have a job.

HELEN : Hmm.

 

 

APARTMENT BUILDING, NIGHT

WILL : Ah! God, don't do that.

MEG : You know I still have a key.

WILL : Yeah, and you know how I love these surprise visits. What are you doing here, Meg?

MEG : I heard a couple cops got killed at the precinct tonight. You okay?

WILL : The usual. Eating badly, sleeping worse. You?

MEG : Just, you know. Wanted to see if you were all right. And get the rest of my stuff.

WILL : Is that everything?

MEG : If you find my hair straightener, you can bring it by the I.C.U.

WILL : Hair straightener. Got it. It’s kind of like returning a high school ring or something.

MEG : And the last two years of our lives come down to a punch line.

WILL : That wasn't a... Look, let's not do this, okay? I can't go ten rounds tonight. I just don't have it in me.

MEG : They still riding you at work?

WILL : Nothing I can't handle.

MEG : Don’t take this the wrong way, Will, but you invite the ridicule.

WILL : Did you get the same invitation?

MEG : That’s not fair.

WILL : Come on, Meg, you always thought I was a whack-job too.

MEG : Look, whatever it is that finally helps you sleep at night... I hope you find it. Goodbye, Will.

WILL : Meg...

 

 

EXT - WILL’S APARTMENT BUILDING, NIGHT

HELEN : Good evening.

WILL : Hi.

HELEN : So, what made you decide to call?

WILL : Uh, You said you were pursuing the boy.

HELEN : Indeed.

WILL : Why?

HELEN : I suspect you know why.

WILL : Uh, no. Honestly, I don't.

HELEN : Ah... well, then. This will be a very illuminating evening.

 

 

INT - SANCTUARY FOYER

HELEN : Would you like a cup of tea, Dr. Zimmerman, or perhaps something stronger?

WILL : Uh, no. No, thanks. I’m good.

HELEN : You no doubt have questions about this place.

WILL : Just one. How come there's no organ music?

HELEN : I’m glad to see you maintain a healthy sense of humor.

WILL : Yeah, well, it's invaluable in police work. Nothing brightens up a murder scene like the right zinger.

HELEN : Levity helps keep far more insidious things at bay. The boy you saw. He’s very special, or so I was led to believe by people I’ve come to rely on for such information.

WILL : Did he kill those men?

HELEN : Yes and no, not the boy per se.

WILL : If the boy did do it, and you have knowledge either way, I need to know.

HELEN : And if the answers I provide pose even greater questions?

WILL : I’m willing to take that chance.

HELEN : Are you certain about that?

WILL : You know what? Next time that you just want some company, don't give your card out to strangers on the street.

HELEN : By the time the night is out, I expect to have the boy in my custody. Until then, I hope you'll understand that I’m reluctant to speculate on his guilt or innocence.

WILL : But you're saying that you can find him?

HELEN : I believe so. And when I do, I could use your help.

WILL : Really? For what? You call this place a sanctuary. For whom?

HELEN : Or what.

WILL : Ah, you know what? This was a really bad idea. I’m very sorry to have wasted your time, and I’m even sorrier that you've wasted mine.

HELEN :  Your instincts told you that the boy was anything but normal. Otherwise, you wouldn't be here. Inside these walls are beings that make his qualities pale by comparison. "Sanctuary for all" is not an empty motto.

 

 

INT - SUBWAY

FIRST OFFICER : Damn sector gives me the willies, man.

SECOND OFFICER : No one likes working under old city. Place is toxic.

FIRST OFFICER : Rent’s cheap, though. Hold it. What the hell you doing down here, kid? Look, wherever you ran from, this place is worse, okay? So let's go. That wasn't a request, kid.

ASHLEY : I wouldn't do that if I were you. Peachy.

 

 

INT - SANCTUARY

WILL : So you're a doctor of what, exactly?

HELEN : The specific discipline depends entirely on the patient.

WILL : Do you have anything for chronic insomnia?

HELEN : Fair warning, Dr. Zimmerman, you’re about to leave the world you know behind.

WILL : I’ll take that as a no.

HELEN : This way. I specialize mainly in cryptozoology and xenobiology. Teratology, too, when the need arises.

WILL : Teratology, what the hell’s that?

HELEN : Welcome to the sanctuary. Please.

WILL : A mermaid, you got to be kidding me?.

HELEN : Teratology, from the Greek "teratos" meaning "deformity, hideous creature, unknown being."

WILL : How is this even possible?

HELEN : He’s a little frightened of strangers.

WILL : He’s frightened? What the hell is that?

HELEN : His classification is of less importance than the simple reality of his existence. I discovered him after his natural habitat was destroyed by a South American mining operation. Sadly, he may be the last of his species.

WILL : Oh, my God. Whoa!

HELEN : Come, now, don't be shy. Elemental powers can be very difficult to control, but we have been making progress. The purpose of this sanctuary is to find and help the unfortunate creatures of this world. Some need saving, others can't be allowed to roam free. Case in point...

TWO-FACED MAN, NICE FACE : New guy... new guy! Welcome!

TWO-FACED MAN, UGLY FACE : Watch your back!

HELEN : Stop it, both of you! I apologize. They’re incorrigible. Nature is nothing if not diverse.  The patients on this level are kept in cells mainly for their own well-being. For others it's a refuge of last resort.

WILL : What, you mean some come here, what, voluntarily? Does that mean that others are...

HELEN : Running free? Absolutely. This isn't a zoo, and it's certainly not a prison.

WILL : Yeah, but some of these things, they look dangerous as hell.

HELEN : We have a dual obligation: to study the miraculous, and to protect against the perilous.

WILL : Yeah, but... the dangerous ones, what’s the point of even keeping them?

HELEN : Every creature expands our knowledge. We learn from the deadly as well as the benign.

WILL : How many more are there?

HELEN : Hmm...many.

 

 

INT - SANCTUARY HELEN'S OFFICE

WILL : So I’m guessing few people have seen what I’ve just seen.

HELEN : Very few.

WILL : How do you keep a secret this big?

HELEN : Very carefully. The survival of my patients depends on it. Please.

WILL : Whoa!

HELEN : It’s all right. It’s all right... he's just as unnerved by you. He’s been relatively isolated since I first treated him.

HELEN : Thank you.

WILL : I...uh...  No. That... thing is your patient?

HELEN : Former patient actually; after I removed more than a few bullets from him, he refused to leave. So I gave him a position on my staff. I’m not sure he'd appreciate you calling him a thing.

WILL : Why me?

HELEN : Because, Dr. Zimmerman, I believe there's a vital role for you to play here.

WILL : By helping you capture monsters?

HELEN : We prefer to call them abnormals. The most important thing is that my patients have a place where they can feel safe. Where we can help them, learn from them.

WILL : My head's kind of doing the backstroke. Are you offering me a job here?

HELEN : I’m offering you a chance to explore a world that you've been trying to understand on your own, with very little success. You find my offer amusing?

WILL : No, it's not that. It’s just...

HELEN : You’re afraid.

WILL : You work with monsters!

HELEN : I work with sentient beings, each worthy of the same respect that humans, even animals, receive automatically. These creatures are the key to the evolution of our race, past and future, and yet we revile them, destroy them. And worst of all, pretend they don't even exist. But they are out there, Dr. Zimmerman. Lost, like the child you saw tonight. Misunderstood, hunted... and they need our help, your help.

WILL :  I- I still don't understand why you would come to me.

HELEN : Because I need someone who can see beyond the surface, see the world as it really is.

WILL : I, I profile criminals, not monsters.

HELEN : You can't see the irony in that statement?

WILL : You know what I mean.

HELEN : You are a student of the human animal. You see things, you read things in behavior that, that I believe cut across the variations of outward form. Where others see stubbornness and failure, I see great potential. Good doctors come and go, but the great ones have always seen beyond the boundaries of science, beyond the known. The great ones dare to believe in the unbelievable. We’ve found our boy.

 

 

INT - SUBWAY

WILL : What happened to those guys, the boy again?

HELEN : Seeing as they're alive, I doubt it. I have my theories.

WILL : What I still don't understand is, who tipped you off that the boy was down here?

ASHLEY : I did. I’ve been tracking the little dweeb all night.

WILL : Who the hell are you?

ASHLEY : Who the hell are you?

HELEN : You said you had him.

ASHLEY : I did, until the circus arrived.

HELEN : Still, roughing up two policemen.

ASHLEY : They were going to get themselves killed.

WILL : Uh, guys?  It’s okay.

HELEN : Don’t! We need him alive! We want to help you. Do you understand me? We’re not going to hurt you, I promise. That’s it.

WILL : Hey, hey, hey! Over here. Over here... yeah, that's it. That’s it... nice and easy.  Any time... You okay?

ASHLEY : Yeah, I’m fine.

HELEN : This chaos was completely avoidable.

ASHLEY : These tunnels reek and I need a bath. I don't need a lecture.

WILL : Seriously, who are you?

HELEN : Dr. Zimmerman, this is Ashley. My daughter.

 

 

INT - SANCTUARY MEDICAL ROOM

ASHLEY : Ow! Mom, take it easy.

HELEN : All I’m saying is that we could have better coordinated our efforts.

ASHLEY : Again, we got the ghoul, okay? Take a pill.

HELEN : I apologize for Ashley’s unruly behavior, Dr. Zimmerman. What she lacks in refinement, I assure you she makes up for in her field skills.

WILL : Really?

ASHLEY : Somebody saved your life tonight. [gasps in mock surprise] Oh, wait! That was me.

HELEN : Hold still.

WILL : So I take it you guys, uh, do this a lot?

ASHLEY : Oh, this is nothing. Hey, Mom, do you remember the summer I turned 18? We do an entire den of werewolves. You know, as in bag and capture? Sedate and catalogue? It wasn't just me, Mom was there, too, and a few nervous locals, one who seriously looked like Adrian Brody.

HELEN : Ashley...

ASHLEY : Mom, you thought he was hot too.

HELEN : Dr. Zimmerman is our guest. Please bear that in mind as you blather away.

ASHLEY : Anyway, we were low on silver tips, full moon's on the rise-

WILL : You’re making this up.

ASHLEY : You got the tour, right?

WILL : Yeah, but...

HELEN : There we are, darling, good as new.

ASHLEY : Thank you. Hate to bleed and run, but I got to be on the eastside in twenty.

HELEN : For what reason?

ASHLEY : Sylvio has some fabulous new product for me. Top of the line Kevlar, prototype hollow-points, digital fuses...

HELEN : Actually, I’d prefer it if you stayed in this evening.

ASHLEY : What do you mean? Why?

HELEN : There’s been some fluctuations in the EM shield. I’m sure it's nothing, but just to be on the safe side.

ASHLEY : But this won't take an hour, and I promise I’ll grind him down on the price. We buy in bulk, we save a ton.

HELEN : We’re Sylvio's best customers. His amazing deals aren't going anywhere, believe me. It’s been a long night, Ashley please.

ASHLEY : Mom, come on! I’m just... Okay, Facebook it is. Nice to meet you, uh, keep the ice going.

WILL : So she's your daughter? What, did you have her when you were, like, 12?

HELEN : Very flattering.

WILL : Adopted?

HELEN : The details are unimportant. Ashley is my flesh and blood, and she plays a vital role in my work.

WILL : She bags 'em, you tag 'em.

HELEN : Something like that, but I find it's what happens afterwards that matters the most.

 

 

INT - SANCTUARY OBSERVATION ROOM OVERLOOKING ISOLATION ROOM

WILL : What is that?

HELEN : Massive genetic mutation creating a symbiotic appendage.

WILL : Well, whatever it is, it helped him clear twenty feet across an alley earlier tonight.

HELEN : Probably its most benign use. Such imperfect children are often adopted by well-meaning immigrant families. Some are blind. Others have deformities, mental illness. I’m sure he seemed perfectly normal in his photograph, if they even saw one.

WILL : What do you intend to do with him?

HELEN : I’ll determine his physiological treatment, but we have no hope of truly helping him until we gain his trust.

WILL : Wait... is this why... No. There's nothing in my training that even begins to apply to a patient like this.

HELEN : Your training can't help you here as much as your intuition can.

WILL :  Th-this is insane. I can't do this.

HELEN : What’s more terrifying to you, Dr. Zimmerman? That frightened, confused boy down there or the possibility that you lack the courage to help him? Tell me, what do you see when you look at him?

WILL : Body language is... agitated, though he's given us no trouble since he woke up. In fact, the only hostile thing in that room is that... thing.

HELEN : Then see beyond it. See the boy. If you can do that, then you can help him. If not, then so be it. I’ll simply admit that I was wrong about you. I’ll leave it to you.

 

Source:  Sanctuary Wikia

modifié par Twitalist

 

 

 

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